Cette nuit en Asie : à Fukushima, des fissures inquiétantes au cœur du réacteur 3. Fukushima : un permafrost bientôt créé autour de la centrale - Dernières infos - Société. Pour ce faire, des tuyaux contenant de l’azote liquide vont être installés à une profondeur de 30 mètres.
La construction d’un gigantesque réfrigérateur souterrain va bientôt commencer. La fin des travaux est prévue pour 2015. Depuis l’accident qui a touché les réacteurs nucléaires de la centrale de Fukushima, la situation reste grave. La majorité des experts s’accordent à qualifier ce qui s’y passe actuellement de crise. Or cette crise pourrait se muer en catastrophe si les fuites d’eau radioactive issue de la centrale se poursuivent. . « Pour ce qui est de la congélation des sols, il est possible, bien sûr, de résoudre techniquement ce problème. Cet expert estime que de toute façon, le gel des sols ne contribuera pas à détoxiquer intégralement les matières dangereuses. . « Les Japonais attendent le dernier moment, et une fois que la situation aura dégénéré, qu’elle commencera à menacer l’humanité entière, alors ils se mettront à imaginer des projets compliqués. International marine science organization releases. If you've heard about Fukushima radiation spreading to the Pacific Coast of North America but were "corrected" by sources both official and expert that this was based more on rumor than reality, then consider the information presented at the October 2013 North Pacific Marine Science Organization (PICES) annual meeting.
Researchers from Fisheries and Oceans Canada confirmed that the radioactive plume from Fukushima is indeed reaching the shores of Canada and the United States - and was detected at least six months ago - carried both in the ocean surface water and the atmosphere on similar but slightly different courses. Fukushima Crisis Goes Global. ISIS Report 06/01/14 Massive radioactive leaks continue from the badly damaged structures as the dangerous operation of moving spent fuel rods begins, and still greater challenges of decommissioning the meltdown reactors yet to come; international help is urgently needed to stem the ongoing release of deadly radioactive isotopes and remediate the badly contaminated environment Dr Mae Wan Ho TEPCO’s risky operation goes ahead amid calls for international oversight In a desperate attempt to cope with the continuing crisis since the March 2011 Fukushima nuclear meltdowns, TEPCO (Tokyo Electric Power Company) began the risky and complex operation of moving more than 1 300 spent fuel rods from a badly damaged storage pool towards the end of November 2013 [1] amid stern warnings that it should not tackle the task unaided.
The Unit 4 pool is precariously perched on top of a tilting, sinking building that could come crashing down in the next earthquake or all by itself [2]. Health impacts. Radioactivité sur la Côte Ouest des USA, quels sont les risques ? - A. Gundersen 08.01.14. Nucléaire : entretien avec Sezin Topçu. Niger: toujours pas d'accord entre l'Etat et Areva - Niger / Areva. La date butoir du 31 décembre est passée et il n'y a toujours pas d'accord entre l'Etat du Niger et Areva.
Les deux partenaires devaient renégocier d'ici la fin de l'année 2013 les contrats miniers comme tous les dix ans mais les négociations n'ont toujours pas abouti. Et depuis le 1er janvier Areva a décidé de suspendre la production d'uranium sur les deux sociétés d'Arlit la Cominac et la Somaïr. Faute d'accord avec l'Etat du Niger, Areva a décidé de stopper la production minière. Les représentants syndicaux nigériens ont appris la nouvelle par les responsables de la Cominac et de la Somaïr, deux sociétés dont l'actionnaire majoritaire est le groupe français. Pourtant jeudi 2 janvier au soir, tous les salariés étaient à leur poste dans les deux usines d'Arlit comme l'explique Salifou Chipkaou, secrétaire général adjoint de la Synamin, le syndicat des mines. « Nous avons été appelés par le préfet de la part du gouverneur, pour nous demander d’être à notre poste de travail.
Des sans-abri recrutés pour nettoyer Fukushima. Des entreprises sous contrat avec le gouvernement les embauchent pour assurer les travaux de décontamination autour de la centrale nucléaire.
Certains sont payés en dessous du salaire minimum. «Sans décontamination, pas de reconstruction», répète le gouvernement japonais qui veut reconquérir le plus rapidement possible la plus grande partie des territoires contaminés. Près de trois ans après la catastrophe de Fukushima, l'État fait travailler quelque 10.000 hommes pour nettoyer la surface hautement contaminée autour de la centrale ravagée, qui s'étend sur près de 2000 km². Près de 35 milliards de dollars ont été investis par l'État pour cette tâche. Mais le projet initial de décontamination a pris du retard et pourrait se prolonger jusqu'en 2017.
Alors que les volontaires manquent à l'appel, un reportage de l'agence Reuters décrit comment des sans-abri sont recrutés aux alentours de Fukushima par des entreprises de nettoyage financées par les autorités.