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Febuary 2o12

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4 pages "Areva en Afrique" Depuis 40 ans, le développement du nucléaire est justifié au nom de « l’indépendance énergétique » de notre pays. Pourtant, avant même la fermeture de la dernière mine d’uranium française, en 2001, le combustible nécessaire aux centrales françaises était importé en grande partie. Il l’est maintenant en totalité. Si les sources d’approvisionnement se sont diversifiées, le sous-sol africain a été historiquement, et reste encore aujourd’hui indispensable au fonctionnement de notre parc électronucléaire. Comment peut-on alors parler d’indépendance énergétique ? C’est simple, il suffit à nos dirigeants de considérer que le sous-sol des anciennes colonies françaises continue d’appartenir à l’ex-métropole, ou de payer l’uranium à un prix tellement dérisoire qu’il en devient négligeable. Présence d’Areva sur le continent africain : Survie, le Réseau "Sortir du nucléaire"et le collectif Areva ne fera pas la loi au Niger demandent à Areva, entreprise à capitaux publics :

Les 58 réacteurs nucléaires français aussi fragiles que ceux de Fukushima. Greenpeace a commandité un rapport critique sur les évaluations complémentaires de sûreté, communément appelées “stress-tests”, des installations nucléaires françaises, demandées par le gouvernement à EDF et Areva et analysées par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN). Cette contre-analyse menée par des experts indépendants démontre qu’en cas d’accident entraînant une fusion du cœur du réacteur aucun des 58 réacteurs nucléaires français en fonctionnement ne résisterait mieux que ceux de Fukushima : les risques de ruptures de confinement et de rejets radioactifs importants sont tout aussi réels qu’au Japon.

Sur la méthode d’analyse employée par les exploitants, les experts indépendants sont dubitatifs : les évaluations complémentaires de sûreté ont été faites de manière totalement théorique. Autre point mis en avant par les scientifiques : l’absence de prise en compte des risques liés à certains facteurs extérieurs, notamment le facteur humain. Partagez cet article : Des audits vont être réalisés sur les devis de démantèlement des centrales nucléaires françaises.

Fire broke out at Moscow nuclear research center on Sunday making it third nuclear event in 7 days. A fire broke out at a Moscow nuclear research center on Sunday, but officials say there is no risk of a radiation leak. The facility, situated in the southwest of the city, houses a 60-year old, non-operational atomic reactor. According to officials, the fire broke out in an are of the institute where there are no sources of radiation. All personnel were immediately evacuated, and there are no casualties, the statement said. Russia's nuclear agency spokesman said there were no open flames, only smoke emanating from an area housing power cables which were not connected to any nuclear materials. (rt.com) The environmental group Greenpeace Russia expressed serious concern about the incident. The fire was in a basement at the Institute of Theoretical and Experimental Physics in southwestern Moscow, said Sergei Vlasov, spokesman for the Moscow branch of the Emergencies Ministry.

Grey smoke rose above the institute, which is encircled by a wall, and an acrid smell filled the air. Read more... Unscheduled shutdown of French nuclear reactor Cattenom. Fukushima : le thermomètre du réacteur deux serait en panne. La compagnie gérante de la centrale accidentée de Fukushima a estimé lundi que la hausse de température relevée en un point du réacteur 2 était certainement due à une panne du thermomètre, du fait de chiffres incohérents et en l'absence d'autres signaux probants. «Il est à peu près sûr que le thermomètre est en panne», a déclaré un porte-parole de Tepco, Junichi Matsumoto, lors d'une conférence de presse, insistant sur le fait que dans le cas contraire, «des répercussions seraient constatées par ailleurs». Un des trois instruments de mesure indiquait lundi après-midi une température de 276,4 degrés Celsius, contre 93,7 degrés Celsius quelques heures plus tôt, une progression si affolante qu'elle peut difficilement se produire en l'absence d'autres signaux indiquant un quelconque changement de l'état du combustible dans le réacteur, selon Tepco.

La température affichée est même montée à 342,2 degrés en début d'après-midi, a précisé M. Matsumoto. Injections d'eau par précaution. Rapport énergies 2050: la pensée unique au secours du nucléaire. La synthèse du rapport de la Commission Energies 2050 présentée le 13 février à la presse ne fait pas dans la dentelle en dénonçant «les analyses simplistes celles qui présentent les avantages en oubliant les inconvénients…» et plus loin «certains scénarios ne sont envisageables qu’au prix de révolutions dans les comportements individuels et sociaux qui ne nous semblent ni crédibles ni souhaitables».

Sont visés évidemment les scénarios de négawatt et de Global Chance qui ont l’inconvenance d’envisager de rendre les mêmes services à la population avec moins d’énergie et en particulier moins d’électricité qu’aujourd’hui. Ils sont donc accusés « de prôner la mise en œuvre d’une société autarcique qui ne ferait que gérer la pénurie dans tous les domaines de la vie courante ». Mais c’est plutôt à la validité économique de ces scénarios « révolutionnaires » que s’attaque le corps du rapport. Soit ! Et le débat démocratique dans tout cela ?