La Comédie française poursuit son mouvement de grève. Affaire Karachi : Donnedieu de Vabres reconnaît avoir imposé Takkiedine comme informateur - FTVi. Renaud Donnedieu de Vabres a admis avoir imposé des informateurs, dont le Franco-Libanais Ziad Takieddine, dans la négociation de contrats d’armement avec le Pakistan et l'Arabie saoudite en 1994.
L'information provient d'un procès-verbal consulté samedi 31 décembre par l'AFP. L’ex-ministre de la Culture a été mis en examen le 15 décembre dans l'affaire Karachi pour "complicité d'abus de biens sociaux" par les juges d'instruction Roger Le Loire et Renaud Van Ruymbeke. Dans cette affaire, les juges tentent de déterminer si des rétrocommissions provenant de ces contrats auraient pu contribuer à un financement illicite de la campagne présidentielle d’Edouard Balladur, en 1995. Par ailleurs, l'attentat du 8 mai 2002 à Karachi (Pakistan), qui a coûté la vie à quatorze personnes, pourrait être lié à l'arrêt de ces rétrocommissions, selon les familles des victimes. C'est pourquoi cette affaire est désignée sous le nom d'"affaire Karachi". Mis en cause par plusieurs témoins. Lettre ouverte d’une parasite sociale.
Lettre ouverte et écorchée à tous ceux qui estiment qu’avec 456 euros par mois nous parasiterions la société française Voilà encore une erreur de Pôle Emploi qui va me pénaliser à l’approche de Noël.
Ils ne m’ont jamais aidé à trouver un emploi, un remplacement, un stage, une formation et en bonne citoyenne bienveillante qui ne doit pas manifester trop d’acrimonie, être contente d’être dans un système qui a pensé la question sociale, je souris souvent même quand je réclame un droit, un dû. Je suis même emplie de bienveillance parce que j’entends leur mal être depuis le remaniement et la fusion Assedic ANPE.
Le fichier des « gens honnêtes » repasse à l’Assemblée. Les députés débattront, ce mardi 13 décembre en fin d'après-midi et dans la nuit, de la création du "fichier des gens honnêtes" (sic), du nom donné par le rapporteur (UMP) de la proposition de loi relative à la protection de l'identité.
L'objectif affiché est de lutter contre l'usurpation d'identité, et donc de ficher l'état civil, l'adresse, la taille et la couleur des yeux, les empreintes digitales et la photographie de 45 à 60 millions de "gens honnêtes". Le sujet est "tendance" : l'usurpation d'identité en ligne est en effet devenue un délit, en janvier, à l'occasion de l'adoption de la LOPPSI2. Le mois dernier, le gouvernement a par ailleurs créé un fichier relatif à la lutte contre la fraude documentaire et l'usurpation d'identité, qui fichera usurpateurs et victimes «présumés». Mais pourquoi, dès lors, créer un fichier de 45 à 60 millions de "gens honnêtes" ?... Le « fichier des gens honnêtes » ? Le fabuleux destin du passeport pipométrique. Des chiffres totalement farfelus pour le ministère de l’Intérieur, qui s’y connaît en chiffres farfelus.
C’est ainsi que la place Beauveau a qualifié le nombre de 500.000 à 1.000.000 de passeports biométriques infalsifiables falsifiés et en circulation. Pas de doute, le farfelu, ça nous connaît, en France… Et tout commence par un article du Parisien qui nous révèle qu’une grosse quantité de passeports biométriques, réputés pourtant infalsifiables, seraient plus ou moins bidons et circuleraient sur le territoire (et au-delà) à la plus grande stupéfaction d’une administration française pourtant irréprochable et à la pointe du travail bien fait. Quand je dis « Tout commence », c’est plutôt une figure de style puisque l’aventure chaotique de l’Etat Français dans le royaume magique du biométrique et du marquage au fer de ses citoyens n’est pas toute neuve.
Le référendum "partagé" entre citoyens et parlementaires examiné à l’Assemblée. Ce dernier volet de la révision constitutionnelle de 2008 a mis un certain temps à arriver dans l’hémicycle.
Les socialistes puis les écologistes, qui s’impatientaient, avaient déposé des propositions de loi sur le sujet en 2009 et 2010, sans succès. Le texte débattu mardi, qui met en oeuvre le nouvel article 11 de la Constitution et qui sera voté le 10 janvier, traîne depuis un an sur le bureau de l’Assemblée. Aux termes de la réforme, l’initiative de ce référendum prendra la forme d’une proposition de loi présentée par au moins 185 parlementaires. Voté, rétabli, rejeté... Où en est le vote du budget 2012 ? - Politique. Le chassé-croisé entre l'Assemblée et le Sénat sur les mesures de rigueur des deux plans Fillon a repris mardi, les députés ont rétabli le budget rectificatif de fin d'année qui avait été revu et corrigé par les sénateurs, tandis que ces derniers ont rejeté le budget 2012.
La France résonne de tous les accents du monde. Prostitution : les putes vierges du PS. Un journaliste colombien pas assez « loyal » pour devenir français. Capture d’écran d’une interview d’Hernando Calvo Ospina « Encore aujourd’hui, quand je la relis, je n’arrive pas à croire ce qui y est dit », témoigne Hernando Calvo Ospina.
Pentagone français: Bouygues soupçonné de corruption. Lancement de data.gouv.fr, site de partage de données publiques. Par Chine Labbé PARIS (Reuters) - Le gouvernement français a officiellement lancé lundi sa plateforme en ligne de partage des données publiques, data.gouv.fr, qui vise à rendre facilement accessibles et réutilisables les informations produites par les institutions.
Avec ce site internet, l'Etat français rejoint quelque 28 pays et cinq villes françaises déjà engagés dans le mouvement dit d'open data, dont l'objectif est double : assurer une plus grande transparence de l'Etat et encourager le développement d'innovations et de nouveaux services en ligne. Aux Etats-Unis, par exemple, les citoyens se servent d'un site similaire pour comparer les performances des compagnies aériennes et leur ponctualité. Données publiques / Open Data.