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AUGUST 2011

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SLOVAR les Nouvelles - Expressions libres. Comment neutraliser les effets d'une grève ?

SLOVAR les Nouvelles - Expressions libres

A la RATP, selon le syndicat SUD, on a sa petite idée : faire appel à des volontaires rémunérés ... même en l’absence de grève ! Les grèves des transports en commun ont toujours été la pire angoisse des gouvernements. Confronté à l'une des plus importantes qu'ait connue la France, Alain Juppé y perdit son crédit de Premier Ministre. Nicolas Sarkozy soucieux de ne pas se retrouver dans la même situation avait inscrit dans son programme la notion de service minimum des transports en commun. Ce qui lui permettait le 5 juillet 2008, de lancer la fameuse provocation : « Désormais, quand il y a une grève en France, plus personne ne s'en aperçoit » Même si l'histoire lui a prouvé le contraire, il n'en reste pas moins que la grève dans les transports en commun est soumise à présent à des restrictions. Néanmoins, la grève reste un droit pour tous les salariés des transports en commun. Cette idée de la RATP est-elle une « atteinte au droit de grève » ?

LES DOCUMENTS TAKIEDDINE, OU LA SALE VÉRITÉ DU SARKOZYSME. [Edwy Plenel - Mediapart - jeudi 4 août 2011] Les documents Takieddine, dont Mediapart a commencé la publication le 10 juillet, dévoilent la vérité de la présidence de Nicolas Sarkozy.

LES DOCUMENTS TAKIEDDINE, OU LA SALE VÉRITÉ DU SARKOZYSME

Et cette vérité est sale. Ayant pour fil conducteur l’argent noir des ventes d’armes, cette documentation sans précédent dans l’histoire de la République met à nu un système dont l’intérêt financier est le seul mobile, au détriment des lois en vigueur et de la morale publique. Ces pratiques ou ces tentations ont toujours existé, et les affaires politico-financières qui ont terni les présidences de François Mitterrand et de Jacques Chirac en témoignent abondamment. Mais jamais elles n’avaient été installées avec tant d’ampleur au coeur du pouvoir comme le démontrent nos révélations qui attestent la place centrale occupée par Ziad Takieddine dans le dispositif sarkozyste. Le fil noir de l’aventure Sarkozy Les documents déjà révélés par Mediapart à propos de l’Arabie saoudite et de la Libye le confirment. How to Escape From Plastic Handcuffs.

Alain Bauer et le consortium de la peur. « Le crime n’est pas en récession.

Alain Bauer et le consortium de la peur

C’est un secteur extrêmement porteur. Il faut investir dedans. La crise est un accélérateur du crime. Elle lui ouvre des perspectives en lui donnant, couplé aux nouvelles technologies, de nouvelles opportunités. » Alain Bauer [1]. Alain Bauer, comme Yves Roucaute et de nombreux néoconservateurs, vient de la gauche libérale et anticommuniste. Né le 8 mai 1962 à Paris dans une famille de bourgeois du textile, il adhère au Parti socialiste dès l’âge de 15 ans et va s’investir dans la construction de la gauche anticommuniste. Comme Yves Roucaute, Alain Bauer entame des études de droit qui le mènent vers les « questions de défense et de sécurité ». Dans le courant des années 1980, le grand patronat industriel doit s’assurer une production idéologique répondant à ses intérêts sous un gouvernement de social-démocratie.

Créée en 1969, cette firme géante et extrêmement influente est longtemps restée méconnue, même aux États-Unis. Gaz de schiste : pourquoi les écolos officiels ont réagi avec retard. Le décret qui entube en douce les assos pour l'environnement. Des tubes (Sean Rogers1/Flickr/CC).

Le décret qui entube en douce les assos pour l'environnement

Les mauvais coups se font généralement le 14 juillet ou le 15 août. C’est encore plus tentant en période de crise majeure, comme actuellement. C’est sans doute pour cette raison que le Journal officiel du 13 juillet publie un nouveau décret concernant les associations. Celui-ci fixe les modalités d’application au niveau national de la condition prévue au premier point de l’article R.141-21 du code de l’environnement, concernant les associations et fondations souhaitant participer au débat sur l’environnement dans le cadre de certaines instances.

Pour pouvoir participer, une association devra désormais compter au moins 2 000 adhérents. Les seuls organismes ayant le droit de le faire entendre leur voix sur les politiques environnementales sont des organismes publics au sein desquels seules ces grandes associations ont le droit d’être représentées.