background preloader

Blog

Facebook Twitter

La Bergerie de Villarceaux - Bienvenue sur le site de la Bergerie de Villarceaux. Le conseil général du Val d'Oise n'aime pas la presse locale et encore moins les blogs citoyens - Le blog de Martine. Un article de CERGYVIE "Quand le conseil général tue la presse locale" m'a fait réagir. CERGYVIE se plaint de ne pas être subventionné par le conseil général qui ne subventionne que VO TV. CERGYVIE est une presse officielle de qualité et j'admire le courage de ses créateurs qui essayent de continuer à le faire vivre et à essayer à terme d'en vivre. Je leur souhaite de tout coeur qu'ils y parviennent. Ils le méritent. CERGYRAMA n'est pas une presse officielle et ne veut surtout pas l'être c'est un blog amateur qui se veut rester un blog et n'a aucune prétention à concurrencer la presse locale et à obtenir des subventions.

Il y a une place pour toutes les formes d'expression. Il manquait à Cergy ce type de communication citoyenne régulière et je suis fière de l'avoir créée et j'invite tous ceux qui veulent participer à cette aventure en écrivant des articles à le faire et pourquoi pas à terme à faire vivre Cergyrama sans moi. Photo Didier Pagès / Photographe de la ville de Cergy. A propos: Loi de la honte - communiqué de la Cimade. Communiqué de presse - 10 juin 2011 Immigration : les sages valident la loi de la honte Au conseil constitutionnel, les débats sur le projet de loi sur l'immigration, en discussion depuis sept mois, viennent de prendre fin. Malgré les nombreuses mises en garde des associations, l’essentiel du projet, qui porte gravement atteinte aux droits fondamentaux des migrants, a été validé.

Un seul des 111 articles contenus dans le projet a été censuré : il ne sera pas possible de placer en rétention un étranger condamné pour des actes de terrorisme ou en lien avec des « activités à caractère terroriste pénalement constatées », pendant 18 mois mais « seulement » pendant 6 mois. Au delà de cette infime modification, le conseil constitutionnel a donc entériné un régime d’exception pour les étrangers privés de liberté. S’inscrivant dans la droite ligne d’une politique de l’immigration ouvertement répressive, parfois jusqu’à l’absurde, cette nouvelle loi n’a pas fini de défrayer la chronique. A propos: Le Conseil constitutionnel a osé valider la loi de la honte ! La suppression du droit, pour un étranger qui n'a pas effectivement accès aux soins dont il a besoin dans son pays, à séjourner sur notre territoire pour y être soigné ?

Validée. Le report à cinq jours (au lieu de deux) du contrôle par un juge judiciaire de la rétention de l'étranger en instance d'éloignement, permettant ainsi des expulsions sans même que la personne privée de liberté n'ait pu voir un juge ? Validé. La possibilité d'une assignation à résidence prononcée par le préfet et permettant d'échapper au contrôle, par un juge judiciaire, de l'interpellation ? Validée. La création d'un véritable bannissement (l'interdiction de retour) prononcé par une simple autorité administrative, sans aucun contrôle judiciaire et quasiment sans recours possible ?

Validée. Etc, etc.. Une seule mesure a été invalidée, celle qui portait à … dix-huit mois (!) La loi scélérate a été portée successivement par Eric BESSON, Brice HORTEFEUX, Claude GUEANT, ministres. Honte à eux. A propos. Une décision du conseil d'administration de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) du 16 décembre 2013 vient ajouter l'Albanie, la Georgie et le Kosovo sur la liste des pays sûrs établie par la décision du 30 juin 2005. Un pays d'origine est "considéré comme sûr", au sens du Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CESEDA, art. L 741-4 (2°)) "s'il veille au respect des principes de la liberté, de la démocratie et de l'état de droit, ainsi que des droits de l'homme et des libertés fondamentales". Ne vous étonnez pas si vous jugez surprenant l'octroi d'un tel statut à des pays pour lesquels vous n'auriez pas spontanément imaginé qu'ils satisfaisaient à ces exigences : dans le cadre d'une politique visant à limiter certains flux migratoires, un tel statut risque fatalement de devenir un outil opérationnel.

Quels sont les éléments ayant amené l'OFPRA à décider de classer l'Albanie, la Georgie et le Kosovo parmi les pays sûrs ?