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Ecologie relationnelle

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La Théorie de la Traduction. La Théorie de la Traduction LATOUR Bruno CALLON Michel Théorie Ces deux chercheurs se sont intéressés, entre autres sujets, à l’innovation.

La Théorie de la Traduction

Lorsque dans un secteur d’activités s’avère nécessaire une innovation, le chercheur (du département Recherche & Développement par exemple) la propose, l’ingénieur doit la comprendre ainsi que le technicien. Pour cela, tous deux doivent la « traduire » dans leur langage professionnel et savoir ensuite la « traduire » pour le client. Si les uns et les autres ne sont pas en capacité d’opérer cette « traduction », l’innovation risque de prendre du temps pour se réaliser, d’être refusée ou d’échouer.

La réussite de la « traduction », c’est la coopération dans l’innovation de tous les acteurs concernés. Etude de cas Les coquilles Saint-Jacques (CSJ) En 1970, les CSJ commencent à se faire rares en baie de Saint-Brieuc. Les acteurs concernés sont : - les pêcheurs qui, face à cette fatalité, craignent de devoir changer de pratiques de pêche, Théorie de l'acteur-réseau. Pour les articles homonymes, voir ANT.

Théorie de l'acteur-réseau

Effet réseau (Network effect) Principes fondateurs[modifier | modifier le code] Pour ces théoriciens, le monde ne doit pas être pensé en termes de groupes sociaux, mais en réseau (en un sens précis qui ne correspond aucunement à celui de réseau internet). Ce qui fait le social, c'est l'« association », la formation de « collectifs » et l'ensemble des relations et les médiations qui les font tenir ensemble (voir Latour, Changer de société, refaire de la sociologie).

Cette conception se veut « symétrique » (voir David Bloor et le projet d'une « anthropologie symétrique » proposé par Latour dans Nous n'avons jamais été modernes, 1991) et tout se trouve alors être d'égale importance pour l'analyse, qu'il s'agisse des facteurs organisationnels, cognitifs, discursifs ou, plus généralement, des entités « non-humaines » qui entrent dans la composition des collectifs.

Concepts et méthode[modifier | modifier le code] Concepts de base[modifier | modifier le code] Bibliographie. Se former pour coopérer, quelques pistes de réflexion. Autour de l’atelier du 2 juillet du Forum des usages coopératifs : Se former pour coopérer, pourquoi et comment ?

Se former pour coopérer, quelques pistes de réflexion

A l’ère du numérique, où l’intérêt du travail collaboratif pour conduire des projets complexes est réel, des praticiens-formateurs et chercheurs questionneront ces « savoir-agir collaboratifs » et les pratiques de formation qui les développent. Voici quelques éléments, en contribution au débat L’atelier fera ensuite une large place à la contribution des participants L’atelier « Former aux compétences collaboratives, pourquoi, comment ? » va examiner différentes facettes des compétences collaboratives. Collaborer ou coopérer [1], c’est à dire travailler conjointement avec les autres, n’est pas nouveau mais dans une société où le numérique favorise la coopération et les échanges de pair à pair, ce savoir-agir collectif prend une ampleur et un sens élargi. Mais le savoir coopérer ne vient pas« naturellement » en mettant simplement les personnes à travailler ensemble.

Holacratie - Pilotage Dynamique. La Sophocratie (du grec Sophos - sage/sagesse et Kratos - pouvoir) signifie littéralement « le pouvoir de la sagesse » et s’inspire de méthodes de gouvernance qui l’ont précédé – comme la sociocratie ou l’holacratie – mais en y ajoutant un élément majeur : une méthodologie de transcendance des egos qui permet d’assurer la pérennité de ses résultats dans le temps.

Holacratie - Pilotage Dynamique

Quand elle est correctement facilitée, la gouvernance sophocratique permet de faire émerger l’essence, la capacité d’innovation et le potentiel collectif de l’organisation… en la libérant des egos et donc des peurs et des ambitions individuelles qui nuisent à l’organisation. C’est une pratique pour les organisations en recherche de davantage d’efficacité et d’agilité dans leur organisation, leur processus de décision et leurs réunions. L’évolution des systèmes de gouvernance au fil du temps L’organisation idéale est une organisation qui rend l’être humain heureux.