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Actualités marchés du travail

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Six PME sur dix n'ont pas effacé la crise. Pour les PME, le redémarrage de l'activité sera long et très progressif si l'on croit les derniers résultats du baromètre Ipsos réalisé pour le compte de La Tribune et LCL. En mars, 59% des dirigeants de PME interrogés estimaient que le niveau d'activité de leur entreprise était inférieur à celui affiché avant le déclenchement de la crise à l'automne 2008. Dans ce contexte, il n'est guère étonnant de constater une baisse de deux points de l'indice mesurant le moral des dirigeants en mars.

Cette mollesse de la reprise s'explique essentiellement par la faiblesse de la demande, qu'elle provienne de la grande consommation, des PME et surtout de l'international, celle-ci s'inscrivant en forte baisse en mars. "La demande en provenance de l'export est très volatile depuis le début de l'année, fluctuant au gré des incertitudes géopolitiques et économiques", constate Axelle Lacan, économiste chez LCL.

Seule bonne nouvelle "Ces résultats sont compatibles avec notre scénario. Les secteurs qui ne connaîtront pas la crise en 2011. Que vous soyez jeune diplômé, demandeur d’emploi ou en recherche de mobilité externe, vous souhaitez que 2011 vous ouvre des opportunités de carrière ? Voici la synthèse des métiers et secteurs qui recruteront cette année ! Les entreprises du CAC 40 qui recrutent en France Les entreprises du CAC 40 qui recrutent en France Nous avons interrogé les entreprises du CAC 40 pour connaître leurs prévisions d’embauche en France pour 2011. Voici enfin des perspectives de recrutement heureuses ! Dans le secteur hôtelier, le Groupe ACCOR fort de 1400 hôtels en France, envisage 3000 recrutements pour cette année.

Les personnes peu diplômées peuvent ainsi espérer des évolutions de carrière intéressantes dans ce groupe. GDF SUEZ est en pleine croissance. Dans le secteur des télécommunications, le groupe ALCATEL-LUCENT présent dans 300 pays et comptant 10 000 collaborateurs, envisage 200 recrutements en 2011. Recrutement : les entreprises mettent plus d'un mois pour pourvoir un poste vacant.

Avant d'embaucher les employeurs prennent de plus en plus de précautions, selon un récent sondage du cabinet de recrutement Robert Half. Excès de précaution ou de candidatures ? En France, les employeurs mettent en moyenne entre 4 et 5 semaines pour pourvoir un poste vacant. Il faut même plus de trois mois à 14% des 2.400 managers interrogés par le cabinet de recrutement Robert Half pour trouver la perle rare.

"Depuis deux ans, le processus de sélection des candidats s'allonge", constate Bruno Fadda, directeur associé de Robert Half France. De plus en plus de strates hiérarchiques sont impliqués, ce qui ralentit les décisions. "A trop traîner, les entreprises se privent des meilleurs, qui ne prendront pas le temps d'attendre avant de changer de job", prévient Bruno Fadda. Les pires sont les managers allemands. Pour éviter les désistements de dernière minute, les managers ont aussi tendance à multiplier le nombre de candidats en short-list.

Fonction publique

Emploi des jeunes. Les transports et la logistique offrent un wagon de métiers. Actu | Insertion pro, Relations entreprises Séverine Tavennec | Publié le , mis à jour le Le secteur des transports et de la logistique va devoir renouveler près d’un cinquième de son effectif total dans les dix prochaines années, en raison des départs en retraite. 95.000 conducteurs à remplacer d’ici à 2020 Selon l’OPTL (Observatoire prospectif des métiers et des qualifications dans les transports et la logistique), il faudra ainsi remplacer 130.000 salariés, dont 95.000 conducteurs, d’ici à 2020, et en marchandises, cela concernera 93.000 salariés, dont 60.200 conducteurs.

Les professionnels des transports et de la logistique communiquent beaucoup auprès des jeunes pour leur faire connaître davantage ce secteur qui compte aujourd’hui 1,4 million de salariés mais qui peine à embaucher. De bac + 2 à bac + 4 : des profils très courtisés « Ce secteur comporte une palette de métiers très variés » Pourquoi penser que le travail est dans le pré....?

Avez-vous vu l’émission de CAPITAL hier soir sur M6 ? Le sujet traité était l’emploi et la qualité de vie – rien d’extraordinaire me diriez-vous, mais je souhaitais vous parler en particulier d’un reportage qui a attiré plus particulièrement mon attention : les problèmes de main d’œuvre en AUVERGNE. Et oui, cette région située géographiquement au centre de notre territoire, est aujourd’hui stratégiquement choisie par de nombreuses sociétés pour s’implanter – 500 kms de PARIS, 500 kms de BORDEAUX, 500 kms de tout client potentiel faisant l’attractivité de la région. L’autre motif qui motive les entreprises est également le prix de l’immobilier, les terrains étant 50 fois moins onéreux qu’en région parisienne !! Évolution des taux de chômage localisés en moyenne trimestrielles. Votre futur emploi est peut-être bien dans le pré…… Après le smic, le salaire maximum. N’avez-vous pas entendu depuis quelques semaines que certains partis politiques, à la veille des futures élections présidentielles de 2012, évoquent de mettre en place un salaire maximum ?

Comme aucun coup de pouce n’est prévu pour le smic en 2011, certains essaient de trouver des idées, même les plus farfelues, pour réduire les inégalités de salaires et de revenus qui se sont creusées en France ces dix dernières années. Le dernier portrait social établi par l’INSEE en 2009 constatait qu’en 2007, 1% des salariés les mieux rémunérés du privé, soit 133.000 personnes, disposaient en effet en moyenne d'un salaire brut de 215.600 euros. C'était trois fois plus que le salaire moyen des autres salariés du même décile (les 10% les mieux payés) et près de sept fois le salaire moyen de l'ensemble des salariés à temps complet du secteur privé (31.984 euros). Toutefois, mettre un plafond aux revenus des salariés va-t-il réellement aider les plus défavorisés à gagner plus ?

21 SSII proposent 5 500 offres d'emploi. Les patrons jugent le dialogue social "bon", pas les salariés. Une majorité écrasante de patrons (93%) juge "bonne" la qualité du dialogue social dans leur entreprise, tandis que du côté des salariés ils ne sont plus que 57%, selon un sondage Ipsos/CESI/Figaro/BFM réalisé fin 2010 et publié ce lundi. Plus de quatre salariés sur dix (43%) considèrent "mauvaise" la qualité du dialogue entre la direction et le personnel. Seuls 4% des chefs d'entreprise sont de cet avis. Par ailleurs, près d'un salarié sur deux (46%) s'estime "mal informé" des missions et pouvoirs des représentants du personnel, contre 53% qui pense l'inverse. Les salariés interrogés sont très partagés sur l'efficacité de leurs représentants: 50% pensent qu'ils sont efficaces pour "faire connaître et défendre leur droits" et 46% pensent le contraire.

L'opinion des chefs d'entreprise est plus positive: à 62%, ils estiment que leurs interlocuteurs syndicaux préservent un bon climat social. Avec. Les mères de famille effrayent les recruteurs. La reprise progressive des embauches dans le monde ne profite pas à tous les salariés, à en croire le cabinet Regus, spécialiste des espaces de travail, qui publie une étude sur le recrutement des femmes avec enfants dans 78 pays. Basée sur les déclarations de 10 000 professionnels, l'enquête montre que la proportion des entreprises qui envisagent d'embaucher d'avantage de salariées mères a diminué de 8% en un an : 36% seulement sont concernées, alors qu'elles sont 45% à vouloir recruter en 2011.

"Les perspectives de carrière des femmes se sont dégradées depuis le début de la récession", observent les auteurs. "Vieux préjugés" Au total, 31% des recruteurs hésitent à employer des salariées avec enfants. Ils sont 37% à les imaginer moins investies dans leur travail, un chiffre qui grimpe à 41% chez les chefs d'entreprises français. Salaire Marketing et communication. Emploi en 2011: Les cabinets de recrutement. Une année déterminante pour les cabinets de recrutement 2011 sera sans doute une année charnière pour les cabinets de recrutement. Car si leur intervention dans la recherche de certains profils reste incontournable, de nouveaux outils de recrutement viennent directement les concurrencer.

Des acteurs du marché de l’emploi pas si secondairesAlors qu’au Royaume-Uni, les cabinets de recrutement sont des acteurs centraux du marché de l’emploi, ils semblent n’occuper encore qu’une place secondaire en France. C’est ainsi qu’en 2010, « seulement » un tiers des entreprises a fait appel pour ses recrutements à un cabinet extérieur (contre 60% outre-Manche).Cela étant, parmi les prestataires extérieurs, les cabinets de recrutement demeurent l’option incontournable des entreprises. Des secteurs porteurs identifiésLes cabinets de recrutement vont exprimer certains besoins au cours de l’année 2011, dans les métiers du bâtiment d’abord. Article rédigé par Frédérique Robin pour CarriereOnline. 2011-017 - L'emploi dans les très petites entreprises en décembre 2009. Les entreprises de 1 à 9 salariés (très petites entreprises ou TPE) regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel, hors agriculture et hors intérimaires et stagiaires.

En moyenne, une TPE emploie trois salariés, mais plus d’un tiers des TPE n’emploie qu’un seul salarié. En outre, la moitié des TPE déclare qu’au moins un non-salarié (gérant, membre de la famille, etc.) travaille aussi dans leur entreprise. Les TPE recourent davantage aux contrats à durée déterminée, au temps partiel ou à des contrats aidés que les entreprises de 10 salariés ou plus. Au 31 décembre 2009, 26,1 % des salariés des TPE travaillent à temps partiel, 11,2 % sont en CDD et 8,4 % en contrat aidé. Parmi les contrats aidés, environ 81 % relèvent des dispositifs de formation en alternance (apprentissage, contrats de professionnalisation). Salaires, carrières, emploi... La réussite, c'est quoi pour vous ?

"Amour, gloire et beauté" : le concept de la réussite en trois points a vécu. Désormais les actifs de la planète n'en garderont qu'un item : l'amour. Pour le reste, les priorités ont bien changé. Y compris celles de gagner beaucoup d'argent ou d'occuper un poste en vue. C'est, en résumé, ce que révèle une étude de l'Essec menée par l'institut CSA auprès de 3.000 actifs CSP+ de dix pays différents. Tous ont, globalement, à leur stade, le sentiment d'une vie réussie. « Quelle réussite si, avant la fin de sa vie, on ressemble, même de loin, à ce que l'on a toujours voulu être », disait Marcel Jouhandeau. Les Français - pas si dépressifs que cela - se placent en deuxième position, juste derrière les Indiens et devant les Américains, les Allemands et les Britanniques. À bas le star système Unanimement et étonnamment, la célébrité ne fait plus rêver.

On est loin des moteurs habituels attribués aux leaders. Ensemble, c'est mieux Signes extérieurs de réussite Propos recueillis par Sophie Péters.

Emploi cadres

Emploi séniors. Le traitement fiscal et social des indemnités de rupture: ce qui change. Au travail, les Français désenchantés mais déterminés. Quel sens donnez-vous à votre travail? Quel est l'état des relations humaines dans votre entreprise? Qu'attendez-vous des employeurs, des syndicats, des politiques? Douze axes et quelque quatre-vingt-dix questions composent l'enquête Radio France conduite autour de l'ambitieuse interrogation "Quel travail voulons-nous? ". Derrière l'avalanche de données récoltées pointe un résultat sans appel: le profond pessimisme des Français. Du rêve à la réalité La désillusion est palpable. Ce pessimisme serait, pour Dominique Méda, symptomatique du "décalage entre l'ampleur des attentes des salariés français, leur volonté d'épanouissement, et la déception ressentie dans le monde du travail réel".

Le management remis en cause? Des employeurs, syndicats et politiques, les sondés n'attendent rien, ou presque. 74% affirment ne compter que sur eux-mêmes pour assurer leur bien-être au travail, et 19% ont une sensation similaire quand ils recherchent un emploi. Les interrogés désavouent les hommes politiques.