La subjectivité chez Frédéric Bastiat. Frédéric Bastiat s’est montré un fin analyste de la subjectivité en économie. Par Patrick de Casanove. Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas est une des plus importantes œuvres de Bastiat. On y lit : « Dans la sphère économique, un acte, une habitude, une institution, une loi n’engendrent pas seulement un effet, mais une série d’effets. De ces effets, le premier seul est immédiat; il se manifeste simultanément avec sa cause, on le voit. Les autres ne se déroulent que successivement, on ne les voit pas; heureux si on les prévoit. » Les individus appréhendent différemment la réalité parce que leur perception en est subjective. C’est flagrant pour la manière dont le politique approche et appréhende une situation. Le marché est l’ensemble des échanges libres et harmonieux entre les hommes. . « L’économie politique conduit à renoncer de manière absolue à la découverte de toutes les combinaisons artificielles, (…). Et : « Au point de vue économique, la Société c’est Échange.
«Les hommes échangent. Ce qu’on doit à Frédéric Bastiat, par Roman Bernard : STALKER - « L'amour l'après-midi d'Éric Rohmer, par Francis Moury | Page d'accueil | Le beau mariage d'Éric Rohmer, par Francis Moury » Ce qu’on doit à Frédéric Bastiat, par Roman Bernard À propos de Pamphlets de Frédéric Bastiat paru aux éditions Les Belles Lettres, 2009, coll Bibliothèque classique de la liberté dirigée par Alain Laurent. LRSP (livre reçu en service de presse). Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas ou l’Économie politique en une leçon (1850).
On sait depuis Luc et Matthieu que nul n’est prophète en son pays. Méconnu en France, l’économiste libéral Frédéric Bastiat (1801-1850) fut assez prophétique pour inspirer des penseurs aussi illustres que Friedrich Hayek ou Milton Friedman. Notes (1) Jean-Jacques Rosa, Bastiat : illusions et désillusions libérales, in Commentaire (printemps 2005, Vol. 28, n° 109), pp. 258-260. (2) Frédéric Bastiat, Pamphlets (Éditions Les Belles Lettres, Bibliothèque classique de la liberté, 2009), p. 395. (3) Voir article cité.
Commentaires Et merci. @ Ygor. Ce qu'on doit à Frédéric Bastiat.