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Quentin Chevalier

§. Donc on y est : la femme, cette obsession du religieux qui enterrait la femme sous terre avant l’islam et qui l’enterre sous du tissu avec l’islam. Question franche et brutale : l’Algérie a-t-elle une chance de sortir vivante de la lente talibanisation de son peuple ? Kamel Daoud De l’usure. Des députés, femmes aliénées par la haine de soi ou hommes marqués au front par l’obsession de la femme, ont fait l’événement international de l’Algérie pauvre et triste : la femme harcelée est coupable de provoquer l’excitation de l’homme par ses habits.

C’était à l’occasion du vote sur la loi du cas la semaine dernière. Pourquoi accepte-t-on aujourd’hui de l’islamiste ce qu’on lui refusait en 1992 alors ? Donc on y est : la femme, cette obsession du religieux qui enterrait la femme sous terre avant l’islam et qui l’enterre sous du tissu avec l’islam. À peine. Par Kamel Daoud(source) Mariées de force. « J’ai haï mon mari dès le premier soir.

Dès que je l’ai vu, je voulais qu’il meure. » La voix brisée, les larmes aux yeux, l’auteure d’origine algérienne Samia Shariff a raconté l’enfer des mariages forcés auxquels sont astreintes tant de filles, un enfer dans lequel elle a été elle-même plongée à l’âge de 15 ans, lorsqu’on a uni son destin à celui d’un homme plus vieux, qu’elle n’avait jamais vu. Elle est venue ainsi donner un fracassant coup d’envoi à l’exposition photographique itinérante Trop jeunes pour le mariage, de Stephanie Sinclair, présentée jusqu’au 29 septembre au Gesù à Montréal, l’une des deux villes canadiennes hôtes.

Parrainée par le Fonds des Nations unies pour la population, cette expo photo, dont le porte-parole est le comédien Paul Ahmarani, s’inscrit dans la campagne « J’aime mon corps, j’aime mes droits » d’Amnistie internationale Canada francophone, visant à sensibiliser aux droits sexuels et aux mariages des mineures, y compris des fillettes. Dureté et lumière. Elle se suicide pour refuser un mariage forcé à Mostaganem ! La violence faite aux femmes n’est pas un apanage propre à la rue. De nos temps, il s’avère que le foyer familial lui-aussi exerce fréquemment de la brutalité et de la pression sur la femme pour l’amener à accepter le mariage forcé.

Ce que certaines jeunes filles acceptent à contrecœur et avec répugnance à trainer le long de leur vies désormais brisées, alors que d’autres choisissent de fuir leurs familles et leurs villages, si ce n’est pas la décision d’en finir simplement avec la vie à laquelle elles optent. Ce qui vient d’être vécu dans le douar de H’ssayniya dans les alentours de la petite ville de Mesra au sud de Mostaganem. Yanarou, une bourgade relevant de la commune de Sour, semble une localité campagnarde paisible à première vue. Mais en-est-il vraiment le cas, quand derrière les murs des maisons, les esprits et les mentalités ne s’avèrent pas toujours d’entendements faciles à vivre notamment pour la gent féminine ? Une autre jeune fille qui fugue ! Ilies Benabdeslam. Quels sont les droits et obligations des époux résultant du mariage. Article mis à jour le 02/01/2013 A partir du moment où vous êtes mariés, certaines dispositions légales s’imposent à vous quel que soit le régime matrimonial que vous avez choisi.

La loi vous oblige à un minimum d’association, mais elle garantit à chacun de vous un minimum d’indépendance. Droits et obligations des époux : un minimum d’association 1) Vous êtes tenus de contribuer aux charges du ménage Les époux doivent contribuer aux charges du ménage à proportion de leurs ressources respectives à moins qu’un contrat de mariage ne contienne une disposition particulière sur ce point.

Ces charges concernent l’entretien du ménage et l’éducation des enfants (dépenses quotidiennes) mais aussi les dépenses d’agrément en fonction du train de vie du ménage (vacances, sorties, maison de campagne…). Bien souvent, lorsque l’un des époux quitte le domicile familial, il cesse alors de participer aux dépenses quotidiennes. Liens sponsorisés. Mariage forcé au Nigeria : Wasila, 14 ans, jugée pour avoir tué son mari. Le Parisien | 15 Août 2014, 08h48 Son procès qui devait débuter le 4 août, aura lieu dans les prochaines semaines, en raison d'une grève du personnel judiciaire.

Selon la police, Wasila Tasi'u a avoué avoir mis du poison dans le repas qu'elle avait préparé pour une fête organisée début avril dans le village d'Unguwar Yansoro, à une soixantaine de kilomètres de Kano, plus grande ville du Nord, pour célébrer son mariage deux semaines auparavant. «Elle l'a fait parce qu'elle a été forcée par ses parents à épouser un homme qu'elle n'aimait pas», expliquait début août le porte-parole de la police de l'Etat de Kano, Musa Magaji Majia.

La jeune fille est accusée du meurtre de son mari mais aussi de celui de trois autres personnes qui ont consommé la nourriture empoisonnée. Selon son avocate, Hussaina Aliyu, les aveux de Wasila Tasi'u ne sont pas recevables en justice car la mineure a été interrogée sans la présence d'un parent ou d'un avocat. Des mariages très répandus dans le Nord musulman. Droit de la famille : le mariage par L. Gauvenet Avocat - guide. Le Mariage Au regard du droit, le mariage est un acte juridique solennel par lequel un homme et une femme établissent une union dont la rupture ne peut être obtenue que dans des conditions déterminées.

Si le mariage est souvent perçu comme une institution sociale, imprégnée de caractères religieux, il ne faut pas oublier qu'il s'agit également d'un acte juridique. En tant que tel, il est soumis à des conditions et va produire des effets parfois mal connus. I. Les conditions légales du mariage En France, le mariage n'est admis qu'entre deux personnes de sexe différents, un homme et une femme. Lorsque l'un des futurs mariés est mineur, il lui faudra obtenir une autorisation parentale pour pouvoir se marier. Pour des raisons de moralité, le code civil interdit le mariage entre deux personnes ayant un lien de parenté entre elles. Retour au sommaire II. Le droit civil met à la charge des époux un ensemble de droits et d'obligations qu'il convient de respecter. 1. 2. III. 1. 2. 3. 4. Droits de l’homme, droit de se marier et différence de sexe. Brève par Mélina Douchy-Oudot, Professeur à l’Université du Sud Toulon-Var 1.

Voici les textes : Toutes les déclarations de droits reconnaissent le droit au mariage, hormis, ce qui n’étonnera pas, celle qui est plus particulièrement nôtre, celle de 1789[1] : l’article 16 de la Déclaration universelle des droits de l’homme (1948) – « 1. A partir de l’âge nubile, l’homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution. 2. L’article 12 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales (1950) – « A partir de l’âge nubile, l’homme et la femme ont le droit de se marier et de fonder une famille selon les lois nationales régissant l’exercice de ce droit » -, La question soulevée est celle de l’articulation des textes internationaux et de leur application en France. 2. 3.

Protocole à la Charte africaine des droits de l'Homme et des peuples relatif aux droits des femmes en Afrique / Instruments juridiques / CADHP. CONSIDERANT que l'article 66 de la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples prévoit l'adoption de protocoles ou accords particuliers en cas de besoin, pour compléter les dispositions de la Charte, et que la Conférence des chefs d'État et de gouvernement de l’Organisation de l’Unité Africaine, réunie en sa trente-et-unième session ordinaire à Addis-Abeba (Éthiopie) en juin 1995, a entériné, par sa résolution AHG/Res.240(XXXI), la recommandation de la Commission africaine des droits de l'homme et des peuples d'élaborer un protocole sur les droits de la femme en Afrique ; CONSIDERANT EGALEMENT que l’article 2 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples interdit toutes les formes de discrimination fondées sur la race, l’ethnie, la couleur, le sexe, la langue, la religion, l’opinion politique ou toute autre opinion, l’origine nationale et sociale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ; Article premier: Définitions j) « UA », l’Union Africaine ; 1. 2.