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Références et histoire peuple noir

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Robert Le Noir. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Lenoir (1896-1973) est un artiste français, peintre, dessinateur de presse et illustrateur sous la signature de Robert Le Noir, Lenoir, Robert Black, Black, ou encore Bob Pencil. Biographie[modifier | modifier le code] Au cours de sa vie, il réalise des peintures, des eaux fortes, des gravures sur bois... "Une longue et riche carrière, un style dépouillé aux personnages solidement campés"[1] Robert Le Noir est un remarquable observateur de la rue. Avec J-L Merlet, il travaille aussi sur le bagne. Il expose au Salon des humoristes, au Salon des indépendants ainsi qu'au Salon d'automne où, en 1929, sa toile Madame est malade bien que primée par le jury est décrochée à la demande du même jury qui craint un scandale prétendant qu'elle apporte "un élément de perversion inadmissible".

Il fait aussi une carrière de chansonnier et de guitariste, ce qui lui vaut un article élogieux dans le Ciné Miroir n°668 du 22/01/1938. Portail de la peinture.

Antille

W. E. B. Du Bois. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. William Edward Burghardt Du Bois W.E.B. Du Bois en 1918 William Edward Burghardt Du Bois ; « W. E. B. » Du Bois ( - ) était un sociologue, historien, activiste des droits civiques, militant panafricain, éditorialiste et écrivain américain. Du Bois se fit connaître au niveau national en devenant le chef du Niagara Movement, un groupe d'activistes afro-américains demandant l'égalité des droits pour les noirs. Le racisme était la principale cible de Du Bois et il protesta fermement contre le lynchage, les lois Jim Crow et la discrimination dans l'éducation et au travail.

Jeunesse[modifier | modifier le code] Durant sa jeunesse, Du Bois se rendait à la Congregational Church de Great Barrington et ses membres se cotisèrent pour payer ses frais de scolarité universitaires[1]. La communauté essentiellement blanche de Great Barrington était assez tolérante et Du Bois fut peu victime de discriminations. Études supérieures[modifier | modifier le code] W.

Leo Frobenius. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Leo Frobenius Leo Viktor Frobenius (29 juin 1873 à Berlin - 9 août 1938, Biganzolo, Lac Majeur, Piémont, Italie) est un ethnologue et archéologue allemand, essentiel de l'ethnographie germanique. Biographie[modifier | modifier le code] Leo Frobenius entreprend en 1904 sa première expédition en Afrique, dans le Kasaï congolais, et formule à cette occasion sa théorie de l'Atlantis africaine.

Jusqu'en 1918, il voyage, dans l'Afrique du nord et du nord-est, en particulier le Soudan central et occidental. En 1920, il fonde l'Institut pour la morphologie culturelle à Munich. Frobenius est l'un des premiers ethnologues à remettre en cause les bases idéologiques du colonialisme, en contestant notamment l'idée que les Européens auraient trouvé en Afrique des peuples véritablement sauvages, auxquels ils auraient apporté la civilisation : Il eut une grande influence sur les théoriciens et poètes de la négritude. Œuvres[modifier | modifier le code] Pierre Aliker. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Aliker (né le au Lamentin en Martinique et mort le à Fort-de-France à l'âge de 106 ans[1]) est un médecin et un homme politique français de Martinique partisan de l'autonomie de son île.

Il est aussi cofondateur du Parti progressiste martiniquais. Biographie[modifier | modifier le code] Étudiant en médecine, Pierre Aliker est le premier Martiniquais interne des Hôpitaux de Paris. En 1945, il s'engage en politique auprès d'Aimé Césaire, et figure sur la liste communiste conduite par ce dernier aux élections municipales à Fort-de-France. Le 28 mars 1958, Pierre Aliker fonde avec Aimé Césaire un nouveau parti politique, le PPM (Parti progressiste martiniquais) dont le mot d'ordre est une région Martinique autonome dans un ensemble français décentralisé.

Pierre Aliker est premier adjoint au maire de Fort-de-France de 1957 à 2001. Il est conseiller général du canton 3 de Fort-de-France de 1958 à 1970. Sa devise[modifier | modifier le code] Victor Schœlcher. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Victor Schœlcher Victor Schœlcher /ʃœlʃεr/ est un homme politique français, né à Paris le [1] et mort à Houilles le [1]. Il est connu pour avoir agi en faveur de l'abolition définitive de l'esclavage en France, via le décret d'abolition de l'esclavage du 27 avril 1848, signé par le gouvernement provisoire de la deuxième République[2] le .

Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Victor Schœlcher naît le à Paris (5e arrondissement ancien, aujourd'hui 10e arrondissement) au 60 rue du Faubourg-Saint-Denis[3], dans une famille catholique bourgeoise. Il fait de courtes études au lycée Condorcet, côtoyant les milieux littéraires et artistiques parisiens[1], faisant connaissance avec George Sand, Hector Berlioz et Franz Liszt[4]. Son père l'envoie au Mexique[7], aux États-Unis et à Cuba en 1828-1830 en tant que représentant commercial de l'entreprise familiale[1]. L'engagement[modifier | modifier le code] Profil d'Alexandre Pétion. Fils d'une affranchie noire et d'un colon blanc du nom de Pascal Sabés, Alexandre Pétion naquit à Port-au-Prince le 2 avril 1770.

Son père qui ne pouvait admettre qu'un petit garçon au teint sombre porta le nom de ses ancêtres gaulois, refusa d'assumer ouvertement sa paternité en lui léguant son nom. Le jeune Alexandre devint toutefois son protégé par l'intermédiaire d'amis qui l'éduquèrent et le pourvurent d'une profession: Pétion fut un maître argentier. La légende rapporte qu'il décida d'adopter le nom Pétion après que le surnom lui ait été collé par une femme du cercle don père qui, le prenant en affection, l'appelait "mon petit", ce qui, dans un fort accent méridional, sonnait "mon p'chio". Très tôt, le jeune Alexandre s'intéressa aux arts militaires, ayant grandi près d'une garnison.

Il s'enrôla dans la milice à l'âge de 18 ans. Le nouvel état devint vite une abérration dans un monde colonialiste et une civilisation promouvant ouvertement et sans pudeur le racisme et l'inégalité. Il était une fois Jean-Pierre BOYER. Toussaint Louverture, qui était informé des projets du Premier consul, donna l'ordre à ses lieutenants de faire une guerre d'extermination aux français.

Le 17 février 1802, le commandant de l'armée expéditionnaire mit les chefs noirs hors la loi. Toussaint fut arrêté le 11 juin et déporté en France. Les chefs de couleur, irrités par ce manque de foi et convaincus des desseins secrets de l'expédition, s'en détachèrent. L'armée française perdit son général et la plus grande partie de son effectif en quelques mois : par l'effet des maladies bien plus que par le fer de l'ennemi.

Mais la guerre qui éclata bientôt entre Pétion et Christophe amena la division de l'ancienne partie française de Saint-Domingue en deux États : l'un au Nord, gouverné par l'empereur Christophe, avec des principes despotiques ; l'autre au Centre et au Sud, par le général Pétion, véritable président d'une république. En 1822, Boyer fit une expédition contre la partie espagnole de l'Île.

Personnalités du XXè siècle

Personnalités du XIXè siècle. Part 3. Part 2. Part 1. [Comité pour la Mémoire de l'Esclavage] : Le Comité pour la mémoire et l'histoire de l'esclavage. L’article 4 de la loi du 21 mai 2001 tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité a prévu la création d’ « un comité de personnalités qualifiées, parmi lesquelles des représentants d’associations défendant la mémoire des esclaves, chargé de proposer, sur l’ensemble du territoire national, des lieux et des actions qui garantissent la pérennité de la mémoire de ce crime à travers les générations ».

La loi confiait à un décret en conseil d’État sa composition, ses compétences et ses missions. Un décret en date du 6 mai 2009 a remplacé le précédent décret du 5 janvier 2004 afin de définir les nouvelles missions du comité, désormais nommé comité pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage et dont le mandat a été ramené à trois ans. L’article 4 du décret du 6 mai 2009 précise que le Comité pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage : 1° Les commémorations ; Le comité compte désormais 15 personnalités qualifiées au lieu de 12. Esclavages CIRESC - Filmographie.