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Lutte pour le respect de l'humain

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Revue Hommes et migrations. Tactikollectif. Rencontres avec Saïd Bouamama En attendant le festival "Origines Contrôlées", Tactikollectif propose durant l'année des rencontres en lien avec ses thématiques: mémoire, quartiers, immigration, culture, etc. Avec la venue de Saïd Bouamama à Toulouse le 22 avril prochain, invité par la librairie Terra Nova, nous proposons deux temps de rencontres avec ce sociologue et militant associatif autour de son dernier livre, "Figures de la révolution africaine. " À 12h30 à l'Université du Mirail, dans le bâtiment de l'arche (Salle AR304 - 3e étage). À 19h à la Librairie Terranova (18 rue Gambetta - Métro Ligne A - Arrêt Capitole) Ces deux temps sont proposés en partenariat étroit avec la librairie Terra Nova, avec le soutien de la Maison de l'Afrique à Toulouse et la revue "Horiz...

Culture noir

LE CRAN. Antilles. Groupe de recherche Achac : Colonisation, immigration, post-colonialisme. Chronologie. Première expansion (1534-1789) 1534-1542 : voyages de J. Cartier au Canada. 1604 : établissement d’une colonie française au Canada (Acadie). 1635 : installation en Guadeloupe et en Martinique (cession à la Compagnie des îles d’Amérique par Richelieu). 1642 : installation à Saint-Domingue. 1642 : annexion de l’île Bourbon. 1656 : révolte d’esclaves en Guadeloupe. 1659 : fondation du comptoir de Saint-Louis au Sénégal. 1660 : révolte d’esclaves en Martinique. 1664 : première occupation de Madagascar par la France. 1667 : l’Acadie revient à la France. 1671 : révolte d’esclaves à Saint-Domingue. 1673 : la France s’engage dans la traite atlantique. 1674 : départ des Français de Madagascar. 1674 : installation sur l’île Bourbon. 1677 : conquête de la Guyane. 1677 : installation à Gorée (Sénégal). 1682 : annexion de la Louisiane. 1685 : promulgation du Code noir. 1686 : comptoir de Chandernagor (Inde). 1697 : rattachement de Saint-Domingue (future Haïti) aux Antilles françaises. 1742 : annexion des Seychelles.

Achac - Contact / Commander le coffret. 01 : Le dossier : Introduction : Femmes au pouvoir. Obtenue le 21 avril 1944, l’égalité des droits politiques a peu modifié peu la distribution sexuée du pouvoir exécutif. La fonction gouvernementale reste masculine, et les rares femmes nommées ne marquent ni l’histoire, ni la mémoire nationale, à l’exception de Simone Veil et, dans une moindre mesure, de Françoise Giroud.

L’alternance de 1981 permettra à davantage de femmes de s’affirmer comme ministres. Les premières femmes au Gouvernement ressemblent donc à des oubliées de l’histoire et sont trop peu nombreuses pour intéresser la science politique. Janine Mossuz-Lavau et Mariette Sineau, qui ont impulsé en France les études sur le genre en politique, s’intéressent, pour la première, surtout au vote et, pour la seconde, au personnel politique féminin sous la Ve République. L’intérêt est faible du côté de l’histoire politique du temps présent, la thèse de William Guéraiche étant l’exception qui confirme la règle.

. « Trois hirondelles ne font pas le printemps[5] » : 1936. Marie Gouze, dite Olympe de Gouges. Olympe de Gouges Née à Montauban en 1748, morte à Paris le 3 novembre 1793, Marie Gouze est issue d’une famille modeste, son père est boucher et sa mère servante. Il semble néanmoins qu’elle serait la fille naturelle du marquis Le Franc de Pompignan. La rumeur publique ira même beaucoup plus loin en laissant entendre qu’elle serait la « bâtarde » de Louis XV. Quand elle est interrogée sur le sujet elle répond : « Je ne suis point fille de roi mais d’une tête couronnée de lauriers. » En 1765 elle épouse Louis Aubry, officier de bouche de messire de Gourgues.

Deux plus tard c’est la naissance de son fils. Elle rêve de célébrité, elle se fabrique un nom à partir du prénom de sa mère et du patronyme « Gourgues » et devient Olympe de Gouges. Ce n’est qu’à partir de la Révolution qu’elle va montrer à quel point elle est en avance sur son temps. Elle se lance dans la lutte pour l’égalité des droits. Mais c’est à partir de 1791 qu’Olympe de Gouges va montrer toute sa grandeur.

Olympe de Gouges. Certification - Le label Diversité. Le label consiste à répondre précisément aux items d’un cahier des charges spécifique et à se soumettre à l’avis d’une commission externe multipartite composée d’experts et de parties prenantes. Il est délivré aux organismes pouvant attester de leur exemplarité en matière de diversité. La labellisation est : une évaluation régulière de la gestion de la diversité dans l’organisme, un système d’évaluation construit dans une logique d’amélioration continue, une approche souhaitée et soutenue par les pouvoirs publics, un dispositif associant l’ensemble des acteurs oeuvrant pour la promotion de la diversité, une démarche menée en collaboration avec le Ministère de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du développement solidaire auquel se sont associés plusieurs autres instances d’Etat.

L’obtention du label se déroule en 4 étapes : Le label Diversité vous permet : de porter l’image d’un organisme socialement innovant : En interne : En externe. National Association for the Advancement of Colored People.