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Epuisement des ressources naturelles. Les ressources en matières premières ne sont pas inépuisables ! Comme les énergies fossiles, les matières premières nécessaires aux TIC (notamment les métaux) ne sont pas inépuisables. L’industrie électronique en est très friande (métaux, autres matériaux, eau, énergie, ...). De nombreuses études se risquent à estimer la probabilité d’épuisement des réserves des matières premières nécessaires à nos économies. Si ces prévisions sont toujours sujettes à débats, des indicateurs factuels montrent clairement que nous avons d’ores et déjà épuisé les gisements les plus faciles, même si les techniques d’extraction progressent. La baisse des concentrations La tendance globale de l’évolution des concentrations de métaux dans le minerai est à la baisse depuis plusieurs décennies. Fig. 1 Évolution de la concentration des principaux minerais en Australie [1] Fig. 2 Évolution de la concentration du minerai de cuivre dans divers pays [2] ; L’augmentation de la profondeur d’extraction Conclusions.

L'humanité a épuisé les ressources naturelles annuelles depuis jeudi 13 août. Depuis le jeudi 13 août, l'humanité puise dans les réserves de la planète : les ressources que la Terre peut produire en une année ont été épuisées, selon Global Footprint Network. A la veille de la COP21, cet indicateur sert d'alerte. Dans le contexte d'accueil de la 21e conférence des parties (COP21) en décembre à Paris, le calcul du jour du dépassement prend une résonnance particulière en France. Chaque année, l'organisation non gouvernementale Global Footprint Network estime en effet le jour à partir duquel l'humanité a épuisé l'intégralité des ressources naturelles que la planète peut produire en une année.

En 2015, notre consommation "à crédit" a commencé le 13 août, selon cette dernière. L'année dernière, le point de bascule s'est opéré légèrement plus tard, le 19 août, tandis qu'en 1992, il n'a débuté que le 21 octobre. Un besoin d'1,6 planèteLes besoins de l'humanité nécessiteraient aujourd'hui 1,6 planète, selon le WWF. Un jour du dépassement, le 16 septembre en 2030 ? L'humanité épuise les ressources naturelles  Un rapport de l'ONU avertit que si la croissance mondiale reste aussi gourmande en matières premières, leur consommation triplera d'ici à 2050. Si l'humanité continue sur sa lancée, elle consommera en 2050 trois fois plus de matières premières qu'aujourd'hui. «Bien au-delà de ce qui est supportable.» L'avertissement est clair.

Et il ne provient ni de Lester Brown, président du Earth Policy Institute qui multiplie depuis des décennies les livres sur l'épuisement des ressources de la planète, ni du WWF ou de Greenpeace mais de l'ONU. Dans quarante ans, les quelque 9 milliards d'être humains consommeront 140 milliards de tonnes de minerais, d'hydrocarbures et de biomasse (bois, cultures, élevage), selon le rapport du PNUE (Programme des Nations unies pour l'environnement). Soit 16 tonnes de ressources naturelles englouties chaque année par chaque habitant de la planète. Faire plus avec moins Au sein des pays riches, les écarts sont aussi impressionnants. 709sig. Revues. Snapchat ou l’art d’envoyer des messages éphémères à ses contacts. Rapport GESI : Internet pollue mais dépollue aussi. Par Stéphane Larcher, le 07 octobre 2015 11:30 Une étude publiée récemment met en exergue le rôle des technologies de l’information et d’Internet dans la pollution mondiale.

Toutefois, nombre de confrères ont oublié de préciser que ces mêmes technos sont susceptibles de diminuer les émissions de CO2 de 16,5% à l’horizon 2020. C’est une nouvelle fois l’histoire du verre à moitié vide ou à moitié plein. En effet, si l’on se réfère à des chiffres bruts, le 6ème pays le plus pollueur au monde est un pays virtuel : Internet. En effet, à quelques semaines de la grande conférence sur le climat qui se tiendra à Paris du 30 novembre au 11 décembre, une étude menée par la Global Esustainability Initiative (GESI) affirme que le réseau des réseaux et aussi polluant que l’ensemble de l’aviation dans le monde et, rapporté à un pays, il serait le 6ème pollueur au monde. L’ensemble des actions menées par les internautes représenteraient 2% des rejets de CO2 dans le monde.