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Résumé des épisodes précédents

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La « taxe Google 2.0 » Marini. Le désaccord se cristallise une nouvelle fois sur la publicité en ligne, aux revenus très inférieurs à ceux l’e-commerce, en touchant bien plus de sociétés aux profils divers, dont des startups. Pour en discuter, ZDNet.fr a interrogé Philippe Marini, sénateur UMP à l’origine de la proposition de loi, et Giuseppe de Martino, président de l’Association des sites Internet communautaires (ASIC), secrétaire général de Dailymotion et membre du Conseil national du numérique (CNN).

"Obligation pour les acteurs étrangers de déclarer leur activité en France" La position du sénateur Philippe Marini est claire. « La nouveauté de cette taxe Google 2.0, c’est qu’elle soit applicable aux régies en France et à l’étranger. On est obligés de l’appliquer aux acteurs français. Sans quoi l’Union européenne dirait que ce serait une législation discriminatoire. Sur les 2,5 milliards d'euros annuels du marché publicitaire, 1 milliard est capté par Google. » Et de poursuivre : « Je veux viser Google en Irlande. Google fait un geste vers les éditeurs. L'accès à l'information sur Internet est devenu un champ de bataille entre géants du Web.

C'est un petit coup de canif porté au tout-puissant algorithme qui régit les faits et gestes de Google depuis plus de dix ans. Le géant du Web s'ouvre à l'intervention humaine et lance la rubrique «Le choix des rédactions» sur son service d'agrégation d'articles Google Actualités. Cette nouvelle rubrique propose aux internautes une sélection d'articles -trois à cinq par jour au moins- choisis par les sites d'information en ligne qui les ont produits.

Le service a déjà séduit, entre autres, Le Figaro, L'Express, Le Nouvel Observateur, France 24, L'Équipe et Ouest-France. Le lancement de cette fonctionnalité intervient alors que les relations entre Google et les éditeurs de journaux s'étaient tendues au cours des dernières années. Google se défend de vouloir ainsi chercher à apaiser la presse. Taxe google. Faire payer Google (Joffrin/Libération)

Ça s’en va et ça revient. Fiscalité. Petite histoire de la "taxe Google"