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Pour ou contre : analyses & points de vue

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SILex. On a appris la semaine dernière qu’une loi est en cours d’adoption en Allemagne destinée à taxer les moteurs de recherche et les agrégateurs de contenus qui indexent les articles de la presse en ligne et pointent par des liens vers leurs sites. Ce texte a été surnommé Lex Google, car c’est principalement la firme de Mountain View qui est visée, à travers son service Google Actualités. Cette loi va contribuer à modifier en profondeur l’équilibre du web tel que nous le connaissons, en faisant payer pour de simples liens hypertextes, pour des titres et pour de courts extraits.

Le bateau presse prend l’eau et souffle à l’oreille du législateur des projets de lois inquiétants (Newspaper Boat. Par R. Aussitôt, le Syndicat de la Presse Quotidienne Nationale (SPQN) a interpellé les pouvoirs publics français afin qu’un dispositif similaire soit instauré dans notre pays. Des solutions alternatives existent pour la presse en ligne Contribution créative et presse en ligne Like this: J'aime chargement… Actualitté. On a appris la semaine dernière qu'une loi est en cours d'adoption en Allemagne destinée à taxer les moteurs de recherche et les agrégateurs de contenus qui indexent les articles de la presse en ligne et pointent par des liens vers leurs sites.

Ce texte a été surnommé Lex Google, car c'est principalement la firme de Mountain View qui est visée, à travers son service Google Actualités. Cette loi va contribuer à modifier en profondeur l'équilibre du web tel que nous le connaissons, en faisant payer pour de simples liens hypertextes, pour des titres et pour de courts extraits. Avec S.I.Lex - Calimaq Aussitôt, le Syndicat de la Presse Quotidienne Nationale (SPQN) a interpellé les pouvoirs publics français afin qu'un dispositif similaire soit instauré dans notre pays.

Des solutions alternatives existent pour la presse en ligne A condition d'abandonner les œillères idéologiques dont les producteurs de contenus ne veulent (peuvent?) Contribution créative et presse en ligne Pour approfondir. ElectronLibre. David Monniaux. Webrank infp. Zeb a écrit:en revanche il faut noter que pour tous ceux qui font dans l'éditorial, c'est au contraire rassurant de voir un mouvement de contestation envers cette pratique du "je reformule ton contenu pour que ça me rapporte" dans la mesure ou elle les impactera tous un jour ou l'autre de façon très large (et on a encore pas tout vu). ce qui pourrait se retourner contre eux : ton éditorial tu le fais comment ? En général à partir d'autres sites, que ce soit en sport, politique, people, geek, en général tu n'es pas à la création de l'info. Zeb a écrit:Quand je pense au nombre d'intervenants qui gueulent contre les agrégateurs RSS, je me demande si ils voient une grosse différence fondamentale avec les SERPs de GG.

Olivier Brillanceau. Aurélie Filippetti, ministre de la culture et de la communication, s'est prononcée récemment en faveur de la création d'une taxe Google pour la presse, relançant un débat ouvert en France il y a plus de deux ans. Olivier Brillanceau, directeur général de la Société des Auteurs des arts visuels et de l'image Fixe (Saif) explique pourquoi l'adoption de cette loi est plus nécessaire que jamais. Photographie.com : Interrogée par les sites Aqui.fr et Rue 89, Aurélie Filippetti, ministre de la culture et de la communication, a déclaré que les "gros acteurs" de l'internet devaient participer au "financement de l'information.

" Est-ce une bonne nouvelle ? C'est effectivement une très bonne nouvelle. Par contre, il faut rappeler à Madame Filippetti que cette rémunération à l'intention des auteurs et des ayants-droit pour l'utilisation par Google des oeuvres protégées ne doit pas seulement concerner la presse et Google Actualités, mais également Google Images. Propos recueillis par Roxana Traista.

La taxe et le droit

Enssib. Suite à l’adoption de la loi « Lex Google » par le gouvernement allemand visant à obliger les agrégateurs de contenus – dont Google Actualités – à verser des commissions aux journaux dont ils référencent les contenus, les éditeurs de presse français ont décidé de monter eux aussi au créneau et réclament par l’intermédiaire de l'association IPG (Information politique et générale), créée en mai 2012, l’instauration d’une loi permettant une "rémunération équitable" forfaitaire pour les entreprises de presse et les agences dont les contenus sont référencés par le moteur de recherche de Google. Du côté français, on souhaite donc aller plus loin qu’outre-Rhin où la loi récemment adoptée ne concerne que « Google Actualités » ; c’est le moteur de recherche général qui est ici visé, les entreprises de presse estimant qu’elles doivent être rémunérées pour la matière première qu’elles fournissent au moteur et dont le géant d'internet tire profit par l’intermédiaire de liens sponsorisés.

Obey ?

Contre

PC INpact. Petit à petit, le principe de la taxe sur les liens fait son chemin. L’idée ? Taxer en France les moteurs et agrégateurs pour financer la Culture. Selon les derniers éléments, toutefois, on s’oriente désormais, non vers un nouveau droit voisin, mais une taxe sur le clic. Cette transformation se constate dans les derniers propos de la ministre de la Culture. « Les menaces sur la presse écrite pénalisent tout le monde.

Il faut y remédier, notamment parce que certains sites, des moteurs de recherches issus d'acteurs économiques qui ne sont pas localisés en France et pas fiscalisés en France utilisent, énormément, de matière première issue de la presse numérique » a expliqué la ministre de la Culture dans une interview Aqui.fr-Rue89. Nouveau droit voisin, nouvelle rémunération L’idée de faire payer les agrégateurs et les moteurs a été poussée en France par le syndicat de la presse nationale (SPQN). Une rémunération selon le nombre de clics... ...Qui devient une taxe sur le clic Pourquoi ? IDBoox. La presse française veut faire payer Google et consorts Le Figaro, les Echos et le Nouvel Observateur ont demandé au gouvernement de rédiger un projet de loi pour que les moteurs de recherche comme Google, Yahoo ou encore Bing rétribuent l’utilisation de leurs contenus en ligne.

Et l’on reparle de la fameuse taxe Google. Ils réclament la création d’un « droit voisin ». Google a tout de suite réagi en jugeant cette demande « néfaste pour internet ». Il faut tout de même se souvenir d’une affaire ayant opposé la firme américaine à la presse Belge dans un autre contexte mais qui démontre le pouvoir de Google dans ce genre de « conflits » (lire nos articles). Alors la « prise d’otage virtuelle » est possible aussi en France et sur ce terrain le moteur de recherche le plus puissant du monde sera certainement le gagnant à terme.

Consultez notre rubrique Presse numérique Source : AFP.