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Article 12 avril

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Et si l'infobésité était un faux débat ? Un point de vue de l'agence ELAN. Chaque mois, « Infolab » traitera d’une grande thématique autour des enjeux de l’information.

Et si l'infobésité était un faux débat ? Un point de vue de l'agence ELAN

Nous démarrons le projet avec les conséquences d’un monde toujours « connecté » à l’ère des smartphones, tablettes et autres objets connectés. 3ème contribution du mois, cette fois-ci par un binome de l’Agence ELAN une agence de Conseil en Stratégies d’Influence. Marion Darrieutort est Présidente de l’Agence ELAN, experte en stratégie d’influence auprès des entreprises et de leurs dirigeants.

Elle est également experte en storytelling, notamment pour le développement et l’accompagnement des marques corporate. Luc Mandret est consultant à l’Agence Elan, spécialiste de la communication digitale. Parler de mobilité à un instant donné s’avère toujours bien compliqué. Rien qu’en France, Bouygues Telecom annonce qu’un téléphone sur deux vendu en 2011 sera un smartphone.

La mobilité va donc encore accroître la masse d’informations locales devenue mondialement accessible. TIC- L’infobésité, mal de notre société de l’information - Culture et TIC. Infobésité : arrêtez avec ce non-sens. J’ai déjà abordé le sujet de l’infobésité (appelée également information overload) à plusieurs reprises sur ce blog, et récemment à travers l’article Death by information overload.

Infobésité : arrêtez avec ce non-sens

J’expliquais en effet que cette situation de surabondance d’information était déjà présente avant même l’ère de Gutenberg. Aujourd’hui je reviens à la charge en affirmant encore une fois que l’infobésité relève plutôt du non-sens puisque c’est une caractéristique intrinsèque de l’évolution de l’Homme et de son rapport à la connaissance. Récemment, le New York Times a publié un article invitant ses lecteurs à faire des pauses régulières dans l’utilisation des terminaux électroniques : iPad, Smartphone, Laptop… Selon le journal, le cerveau a besoin d’un temps de repos, (ah bon!

Je le savais pas!) Et ce de manière régulière, pour éviter le burnout, et lui préserver toutes ses capacités de « calcul ». What a glut of books! Droits Photo : 1/ Yvan KAFKA 2/Wikipedia Articles similaires: Consommer mieux, autrement, moins. Sociologue, président de l’Institut pour un Développement Durable Le développement durable consiste à faire en sorte que nos activités produisent le plus de bien-être possible pour le plus grand nombre d’être humains d’aujourd’hui et de demain et par conséquent qu’elles fassent un usage optimal des ressources naturelles.

Consommer mieux, autrement, moins

Maximiser la contribution au bien-être de nos activités en en minimisant l’impact environnemental suppose qu’on s’interroge d’abord sur ce qui dans ces activités est générateur net de bien-être. Notre société dite « de consommation » se caractérise par la priorité donnée à la consommation dans la définition du bien-être. Évidemment, c’est oublier qu’avant de consommer, il faut d’abord produire, que nos modes de consommation sont aussi des modes de production et que l’ensemble n’a pas seulement un coût environnemental mais aussi un coût humain (travail, fatigue, risques). 1 Paru dans « La Libre Belgique » du 16/04/2008.

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