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Do you care ? Do you care ?

Do you care ?

[mercredi 26 mai 2010 - 00:00] Le care est sur toutes les lèvres. Soin, sollicitude, souci des autres (et de soi), compassion, dévouement… Une sorte de bruissement s’empare du langage politique et universitaire. L’ère de l’individualisme effréné, c’est fini. Place au décentrement du regard. La droite britannique arrive au pouvoir en jurant de réparer une société brisée ("a broken society") en partie grâce au conservatisme compassionnel.

Pour défricher le terrain, et prendre un peu de recul, nonfiction.fr vous propose cette semaine de revenir sur les racines de la notion de care, rejeton lointain de la philosophie morale d’Adam Smith, véritablement travaillée à l’aune de la psychologie morale américaine et théorisée dans ses aspects éthiques, politiques et sociales par les penseuses féministes américaines Carol Gilligan et Joan Tronto. Ce dossier complet comprend : Plaidoyer pour un journalisme loyal, un internet poli et inversement. Dites monsieur, ça vous dérange si je publie des informations susceptibles de vous causer du tort ?

Plaidoyer pour un journalisme loyal, un internet poli et inversement

Dans l'attente de votre réponse... Plaidoyer pour un journalisme loyal, un internet poli et inversement Par David Carzon On nous le répète assez souvent : internet, c’est le mal. C’est lui qui a détruit la musique. Deux mouvements de fond se rejoignent à l’heure actuelle : certains journalistes corporatistes qui voient en internet une remise en cause de leur fond de commerce (sauf quand ça peut servir leur personal branling) et les politiques qui voient en internet une remise en cause de leur commerce de fonds (sauf quand ça peut servir leur personal branling). Commençons par Jean-Michel Aphatie, le sympathique éditorialiste à l’accent chantant.

Sur le fond, Jean-Michel aurait peut-être raison si les vertus qu’il prétend défendre étaient au rendez-vous mais l’exemple est mal choisi. Donc depuis l’affaire Tardy, l’Assemblée réfléchit à l’interdiction du live-twitt. Page 1 Page 2-3 Page 4 Page 5. GENERATION Y, Génération why not ? : L'Observatoire des Tendance. La génération Y : c'est la compossibilité, l'ambivalence, le non choix, le principe du why not...C'est aussi une génération décomplexée, désinhibée, libérée qui discute d'égal à égal sans tenir de l'âge de l'interlocuteur ou de son niveau d'autorité.

GENERATION Y, Génération why not ? : L'Observatoire des Tendance

Ils sont à fond en mode latéral et non vertical. Leurs racines sont donc horizontales. Ils ne sont pas fanas des transmissions ascendantes des savoirs et savoir faire dans les familles ou les entreprises, car ils savent déjà (de leur point de vue...). S'ils sont très bisounours et rêvent plus au bonheur qu'à la réussite dans le travail, pour autant ils sont très concrets quand il s'agit de leur intérêt personnel (peut être l'expérience d'histoires de vie de parents laminés par la crise les a rendus lucides avant l'âge). Ce cynisme, cette absence de culpabilité et de détachement par rapport aux exigences du monde réel, donne cet effet cool. Mais soyons rassurés, ils sont paradoxalement prudents dans leur prospective personnelle. A suivre !!! Signe du Temps » Les 7 merveilles du web. Il n’y a pas si longtemps, Signedutemps.fr suggérait 7 adresses de blogs à visiter.

Une nouvelle rubrique s’ouvre maintenant pour vos découvertes web : vidéos, focus, articles, podcasts…Chaque mois, on pointe les trends. Ce mois d’avril, le web a dit : - L’AFP doit devenir une agence vidéo qui emprunte les réseaux sociaux pour subsister : Le Figaro - Google Chrome lance une nouvelle pub TV, toujours aussi esthétique et trendy : Blogopub.tv - Une campagne anti EasyJet germanique, silencieuse en bulles de mots façon BD : superbe vidéo : Minutebuzz - Des tatouages d’artistes en édition limitée, tout un concept, dévoilé ici : Pixiome - Facebook et la pub, changements : Journal du Net - Blogueur-cible qui es-tu ? - ‘Mission impossible’ en pleine composition avec Lipton, une vidéo créa très jolie : Le publigeekaire Merci à nos confrères pour ces petites perles printanières !