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Gone Girl review – two different readings of a modern marriage | Film. The last time David Fincher took a stab at a bestselling potboiler with an enigmatic femme fatale, the disappointing result was The Girl With the Dragon Tattoo, an eye-catchingly stylish but thematically empty (and, frankly, unnecessary) English-language remake of an entirely serviceable Danish/Swedish hit. Now, with this grippingly caustic adaptation of Gillian Flynn’s bifurcated novel (which the author has brilliantly adapted and reconfigured for the screen), Fincher is back on form, mixing the forensic procedure of Zodiac with the playful high-gloss sheen of The Game to ingeniously wrong-foot the audience, leading them on a merry dance of death through the murderous maze of modern marriage.

On the day of his fifth wedding anniversary, bar owner Nick Dunne (Ben Affleck) finds his Missouri home theatrically violated; the front door open; a glass table overturned and smashed; his wife, Amy (Rosamund Pike), unaccountably missing. Gone Girl’s ending: discuss the movie with spoilers. Faut-il aller voir « Gone Girl » de David Fincher ? Gone Girl, un film de David Fincher. Gone Girl - la critique d'un David Fincher jubilatoire. Une réflexion grinçante sur le couple, d’une noirceur totale, mais non dépourvue d’un humour salvateur...

Rosamund Pike est splendide, Ben Affleck, lui, invisible... Ca tombe bien, c’était voulu par l’auteur de Fight Club, au sommet de son art de manipulateur ! L’argument : A l’occasion de son cinquième anniversaire de mariage, Nick Dunne signale la disparition de sa femme, Amy. Sous la pression de la police et l’affolement des médias, l’image du couple modèle commence à s’effriter. Très vite, les mensonges de Nick et son étrange comportement amènent tout le monde à se poser la même question : a-t-il tué sa femme ? Notre avis : Sauvons les apparences... «Gone Girl», le couple jusqu’à la lie. S’il ne possède pas ce charme ambigu de la version originale, le titre français du roman Gone Girl, que son auteure Gillian Flynn a elle-même adapté pour le film de David Fincher, a le mérite de poser clairement les données du problème : les Apparences - paru chez Sonatine l’année dernière tandis que le livre s’arrachait dans les librairies américaines - sont très exactement la source de tous les maux qui s’abattent sur un charmant petit couple - américain, parfois caricatural - jusqu’à le conduire à sa perte dans un tourbillon de folie autodestructrice.

Au commencement, les «apparences» en question sont nettement en faveur de Nick (Ben Affleck, tout en mâchoires saillantes) et d’Amy (Rosamund Pike dans son premier rôle à la hauteur de son inquiétante beauté). Lui est un beau gosse élevé au grain du Missouri, venu chercher gloire et prospérité à New York, où il exerce le métier de journaliste dans un magazine branché. «Baffes». Et ils ont de bonnes raisons d’y croire. Malheur. The Social Network : la critique de Mark Zuckerberg. The Social Network : la critique de Mark Zuckerberg Le co-créateur de Facebook, après avoir vu le film de David Fincher, donne son avis sur la chose.

Et comme on l’imaginait, n’a pas que des compliments. « Film générationnel », « premier film sur l’ère numérique », « chef d’œuvre » : à peu près tous les superlatifs et expressions choc ont été utilisés pour décrire THE SOCIAL NETWORK, film de David Fincher sur la création de Facebook. Après Eduardo Saverin, co-créateur du réseau social, qui donnait son avis voilà quelques jours sur ce qu’il avait retenu du film, c’est au tour de Mark Zuckerberg lui-même de s’exprimer. Alors qu’on lui prêtait l’intention de ne surtout pas voir le film, Mark Zuckerberg a surpris son monde ce week-end lors d’une conférence en admettant qu’il s’était bel et bien rendu en salles pour le regarder (cf vidéo / les propos sur le film sont environ à 5 minutes) et a commenté la chose. Et ce qu’il a à en dire s’avère assez intelligent. M.Zuckerberg. The Social Network. Maîtrisé de bout en bout, The Social Network est une œuvre portant indéniablement la marque de son auteur.

David Fincher signe sans aucun doute l’un des plus beaux films de l’année. L’argument : Une soirée bien arrosée d’octobre 2003, Mark Zuckerberg, un étudiant qui vient de se faire plaquer par sa petite amie, pirate le système informatique de l’Université de Harvard pour créer un site, une base de données de toutes les filles du campus. Il affiche côte à côte deux photos et demande à l’utilisateur de voter pour la plus canon. Il baptise le site Facemash. Le succès est instantané : l’information se diffuse à la vitesse de l’éclair et le site devient viral, détruisant tout le système de Harvard et générant une controverse sur le campus à cause de sa misogynie. Mark est accusé d’avoir violé intentionnellement la sécurité, les droits de reproduction et le respect de la vie privée.

C’est pourtant à ce moment qu’est né ce qui deviendra Facebook. La bande-annonce : ICI © Sony Pictures. Critiques The Social Network. The Social Network, le triomphe d'un traître - Critique et avis par Les Inrocks. Il existe un lien très fort entre capitalisme et libido – les universitaires l’ont prouvé : créer des entreprises, faire des coups de fric, baiser la concurrence est jouissif, paraît-il. Racontant la création et l’envol de Facebook, The Social Network illustre cette théorie en la renversant : c’est la libido d’un étudiant frustré qui a engendré presque par hasard l’une des plus fortes aventures capitalistes récentes. Si le film de David Fincher est fidèle à la réalité, Facebook semble né d’une suite de hasards.

Nerd casse-pied, brillant geek de l’informatique, largué par sa copine, un peu déprimé et très bourré, Mark Zuckerberg a eu un soir l’idée de se venger en piratant le réseau informatique d’Harvard pour y créer un site et faire voter pour la meuf la plus canon du campus. Succès foudroyant. Fincher et son scénariste Aaron Sorkin ont réussi un bijou d’écriture, tant dans la construction générale que dans le détail des dialogues. Un extrait du film avec vodkaster.com. "The Social Network" : plongée dans les eaux troubles de Facebook. REVIEW - Millenium : Un film de Fincher, même mineur, c’est de la haute couture filmique, supérieure à 99% de la production contemporaine. Millénium de David Fincher, la critique de L'Express. "Millenium" : pourquoi le film de David Fincher ne vaut pas 10 euros. Autant le dire tout de suite : "Millenium", c'est nul. Bien entendu, je ne parle pas de la trilogie de Stieg Larsson qui a coûté des nuits de veille à quelque 50 millions de lecteurs passionnés à travers la planète ; je n'évoque pas non plus le "Millenium" scandinave qui avait au moins le mérite d'être le premier, à défaut d'être vraiment génial.

"Seven" et "The Social work" Non, je parle bien du long métrage de David Fincher, "Millenium : Les hommes qui n'aimaient pas les femmes", le remake américain qui, pour durer près de trois heures, ne m'a pas fait lever un sourcil pendant la séance (sauf peut-être les scènes finales, glaciales mais aussi violentes, percutantes. Il était temps !). Dès lors, je vous conseille de résister à la tentation d'aller dépenser 10 euros pour ce film : vous risqueriez comme moi de ressortir de la salle franchement déçu.

Une psychologie un peu bâclée Le déclin de l'empire américain A lire aussi sur Le Plus : - J'ai vu le "Millénium" de Fincher, une claque ! Le "Millénium" de David Fincher, thriller punk et métaphysique. Critique de Millenium: Les hommes qui n’aimaient pas les femmes de David Fincher :: Millenium: Les hommes qui n’aimaient pas les femmes. Mikael Blomkvist, brillant journaliste d’investigation, est engagé par un des plus puissants industriels de Suède, Henrik Vanger, pour enquêter sur la disparition de sa nièce, Harriet, survenue des années auparavant. Vanger est convaincu qu’elle a été assassinée par un membre de sa propre famille. Lisbeth Salander, jeune femme rebelle mais enquêtrice exceptionnelle, est chargée de se renseigner sur Blomkvist, ce qui va finalement la conduire à travailler avec lui. Entre la jeune femme perturbée qui se méfie de tout le monde et le journaliste tenace, un lien de confiance fragile va se nouer tandis qu’ils suivent la piste de plusieurs meurtres.

Ils se retrouvent bientôt plongés au cœur des secrets et des haines familiales, des scandales financiers et des crimes les plus barbares… Au-delà de ces considérations plus larges de politique, de classe et de religion, la véritable portée sociale qui semble intéresser davantage Fincher, c'est la place de la femme dans la société d'aujourd'hui.

"Millenium": la saga suédoise revue avec brio par Fincher - Critique et avis par Les Inrocks. Un liquide noir et visqueux coule sur des surfaces tout aussi obscures. Pétrole, silicone, goudron, encre, sang ? Difficile à dire dans un premier temps. Puis, à mesure que défilent les images de ce générique syncopé, comme déchiré par les hurlements d’Immigrant Song de Led Zeppelin (repris ici par Trent Reznor et Karen O), nous comprenons : ce fluide qui peu à peu recouvre chaque chose, c’est toute la boue du monde. Elle s’agglutine là, sous nos yeux, pour former un être composite, un ange noir et vengeur portant le plus délicieux des noms : Lisbeth Salander – faire chuinter le “th” et rouler le “r.” Avec ce générique, l’un des plus beaux qu’il ait jamais réalisés (la barre était haute), David Fincher pose d’emblée les enjeux de son film, indique fièrement que la seule chose qui l’intéresse dans cette adaptation du roman culte de Stieg Larsson, c’est la fille, la fille du titre original : The Girl with the Dragon Tattoo.

Un royaume de clics pour une fille. Mais cela ne dure qu’un temps. L'étrange histoire de Benjamin Button. "L'Etrange Histoire de Benjamin Button" : à la rencontre du temps perdu. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Thomas Sotinel Souvenez-vous des calendriers dont les feuilles s'envolaient au vent. C'est un truc que les cinéastes avaient trouvé pour montrer le passage du temps. C'était malin, pas assez pour David Fincher.

Lui veut filmer le vent qui emporte les feuilles, le cours du temps même. Pour y parvenir, il s'est emparé d'une nouvelle méconnue de F. Scott Fitzgerald qui racontait, en 25 pages, le destin d'un enfant né avec une physionomie de vieillard qui ne cessa de rajeunir jusqu'au jour de sa mort. Fincher en a fait un grand film de presque 3 heures, majestueux et baroque, assez vaste pour que coexistent les audaces numériques les plus folles et les plus désuets des rêves du cinéma muet, assez intime pour accueillir une histoire d'amour. L'Etrange Histoire de Benjamin Button commence par un double prologue spectaculaire, dont les deux volets sont situés à La Nouvelle-Orléans. Justement, la nuit du 11 novembre 1918, un enfant naît chez les Button. L'étrange histoire de Benjamin Button. David Fincher développe avec brio ses talents de conteur hors-pair.

Style classique superbe au service d’une fable existentielle fascinante. Les statuettes dorées devraient bientôt pleuvoir dans son escarcelle. L’argument : "Curieux destin que le mien... " Ainsi commence l’étrange histoire de Benjamin Button, cet homme qui naquit à 80 ans et vécut sa vie à l’envers, sans pouvoir arrêter le cours du temps. Situé à La Nouvelle-Orléans et adapté d’une nouvelle de F. Scott Fitzgerald, le film suit ses tribulations de 1918 à nos jours. Notre avis : Après Zodiac, ce sublime Benjamin Button vient confirmer l’évolution du cinéma de David Fincher vers une sorte d’épure stylistique remarquable au service d’une histoire ample et foisonnante. . © Warner Bros. Pour ce qui est de l’histoire à proprement parlé, son postulat de départ est simple et efficace : un homme naît avec les symptômes physiques et mentaux d’un vieillard et n’aura de cesse de rajeunir durant toute son existence.

Les photos. Zodiac - la critique + le test DVD. Zodiac, un film de David Fincher. Critique de Zodiac de David Fincher :: Zodiac. FESTIVAL DE CANNES 2007 -Zodiac, l'insaisissable tueur en série qui sévit à la fin des années 60 et répandit la terreur dans la région de San Francisco, fut le Jack l'Eventreur de l'Amérique. Prodigue en messages cryptés, il semait les indices comme autant de cailloux blancs, et prenait un malin plaisir à narguer la presse et la police.

Il s'attribua une trentaine d'assassinats, mais fit bien d'autres dégâts collatéraux parmi ceux qui le traquèrent en vain. Cinq ans après Panic Room, huis clos paranoïaque hanté par la violation de l’intimité, thème également exploité dans Alien3 et The Game, le cinéaste américain David Fincher revient sur le devant de la scène avec certainement son meilleur long métrage à ce jour, justement sélectionné dans la compétition officielle du 60e Festival de Cannes.

Le film débute pourtant comme un Se7en bis. Les citations cinéphiles - Les Chasses du comte Zaroff, L’Inspecteur Harry - ne sont pas innocentes. Par Yannick Vély. Zodiac - Critique et avis par Les Inrocks. Panic Room (film 2002) - Thriller - Critique. PANIC ROOM - Critique et avis par Les Inrocks. Critique de Panic Room de David Fincher :: Panic Room. Meg Altman, récente divorcée, emménage avec sa fille Sarah dans l'immense demeure d'un milliardaire décédé. Ce dernier, paranoïaque, a fait aménager au dernier étage une chambre de survie, une salle secrète dotée d'un réseau vidéo. La première nuit, trois hommes s'introduisent dans la maison, cherchant la fortune cachée du milliardaire. Meg et Sarah se réfugient dans la "Panic Room". Hélas, le butin convoité par les cambrioleurs se trouve précisément dans cette pièce imprenable. Transformer un projet mineur en film majeur, détourner un exercice de style en oeuvre personnelle, c'est l'apanage des grands cinéastes, des génies du 7ème art.

David Fincher prouve avec Panic Room, le cinquième opus d'une filmographie forte et cohérente, qu'il est bien l'un des rares metteurs en scène capable par sa maîtrise de l'art cinématographique de transfigurer un genre - ici le thriller en huis-clos - pour donner une éclatante leçon de cinéma. Avec Seven, il avait livré l'ultime film de serial-killer. Fight Club : avis et critiques des lecteurs - L’Internaute Cinéma. Fight Club - Critique et avis par Les Inrocks. Fight Club, David Fincher.

Fight Club est typiquement le film qui vient poser une frontière infranchissable entre le public et la critique dite « sérieuse ». On en parlait sur la critique du second Twilight, il s’agit bien là du film culte d’une génération, celle des adultes de l’an 2000, le public a aimé, et même plus… au contraire de nos gardiens de la bonne morale cinématographique, qui ont pour sale habitude de démolir tout film qui prend la voie de l’insolence (je rigole encore des critiques de Dobermann, du caviar!). Et dans un seul et même cri de douleur, Télérama, les Cahiers du Cinéma, les Inrocks, le Monde et Libé ont détesté, usant même d’un très mauvais goût au moment de justifier leur effroi… Comme quoi on peut appartenir à une élite autoproclamée et ne rien comprendre à ce qui se passe à l’écran.

Fight Club a été taxé de film fasciste… mouais il faudrait déjà revoir la signification de ce mot et surtout apprendre à faire preuve du recul suffisant pour ne pas prendre le film au premier degré. Fight Club (film 1999) - Thriller. The Game (film 1997) - Thriller - L'essentiel. Nicholas Van Orton est un grand requin de la finance, un monstre gris et froid dont l'existence minutieusement quadrillée ressemble à une prison de luxe. Il a le visage peu amène d'un Michael Douglas particulièrement crispé. C'est son anniversaire, mais ça ne le fait pas rigoler plus que cela. Il faut dire qu'au même âge son papa, déjà grand requin de la finance, s'est suicidé en sautant du toit de la propriété familiale.

Pas du genre ludique, ce Van Orton. Et pourtant, quand son turbulent petit frère déboule (c'est Sean Penn) et lui offre, en guise de cadeau, de participer à un mystérieux jeu de société, il se laisse tenter. Cela commence par une simple carte de visite. Puis par une série de tests, un peu comme à l'armée. François Gorin. The game. Game (The), de David Fincher. [critique] The Game de David Fincher. Se7en, de David Fincher. Seven (film 1995) - Thriller. Movie Review - Seven - FILM REVIEW; A Sickening Catalogue of Sins, Every One of Them Deadly. Seven - Critique et avis par Les Inrocks. Critique : Se7en de David Fincher | Cinephilia. Critique Cinéma Seven ( Se7en ) | Version Cinéma | Sortie 1996 | Tonyo | Retro-HD. David Fincher.