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10 idées dingues de Trump en politique étrangère - 29 février 2016. Comment le milliardaire incendiaire voit-il le monde ? Quel rôle veut-il que l’Amérique joue sur l’échiquier planétaire ? Malgré ce que l’on croit, Donald Trump, qui décroche succès sur succès dans la primaire républicaine et pourrait donc bien obtenir l'investiture pour l'élection présidentielle, a des idées certes dingues mais assez cohérentes en matière de politique étrangère. Ce corpus implicite, cette doctrine disent certains, fait de lui l’archétype du populiste américain modèle années 30, isolationniste et protectionniste. S’il gagne, le monde en sera bouleversé – pour le pire. Voici les dix propositions qu’il a mises sur la table. 1Construire un mur entre le Mexique et les Etats-Unis Et faire payer l'ouvrage par le gouvernement mexicain. 2Saisir le pétrole Saisir manu militari les puits de pétrole irakiens et syriens au bénéfice des compagnies américaines. 3Ne pas se mêler du dossier Daech 4Rétablir la torture 5Haro sur l'islam 8Réduire aussi la présence militaire américaine en Europe.

Le Mexique fait déjà les frais de l'élection de Donald Trump - Amériques. Avec notre correspondante à Mexico, Emilie Barraza Au Mexique, personne ne s’attendait à une victoire de Donald Trump. Alors, sur toutes les chaînes de télévision du Mexique, la confiance a vite laissé la place à l’inquiétude, puis la consternation. Que va devenir le Mexique avec cet « ouragan Trump » ? Car selon la Banque mondiale, le Mexique sera le pays le plus affecté par la victoire de Trump. Et certaines conséquences se sont déjà fait sentir dès cette nuit : en quelques heures, la monnaie nationale a perdu 13 % de sa valeur. C’est son plus bas niveau depuis 20 ans. Le PIB mexicain pourrait aussi perdre 3 à 5 % dans les prochaines années car l’économie du Mexique est ultra dépendante des Etats-Unis. Il y a aussi la question du mur, des millions de mexicains illégaux aux Etats Unis, que Trump veut déporter au Mexique.

Tension et crainte à Mexico Mais il n’empêche qu’au Mexique, la tension est à son comble. . → A (RE)LIRE : Donald Trump élu 45e président des Etats-Unis. Voici le programme qu’a annoncé Donald Trump: un mur avec le Mexique, la fin du conflit israélo-palestinien en deux semaines et la vente libre des armes d’assaut. L’immigration. Donald Trump a dit vouloir faire construire un mur entre les États-Unis et le Mexique et faire payer la construction au gouvernement mexicain. « Le Mexique nous envoie des gens qui ont beaucoup de problèmes.

Ils ramènent de la drogue, du crime, ils envoient leurs violeurs », a-t-il expliqué. Il revendique aussi « l'arrêt total et complet de l'entrée des musulmans aux États-Unis ». Une mesure qu’il veut appliquer aux immigrés comme aux touriste. Seuls les soldats américains de confession musulmane seront autorisés à pénétrer sur le territoire mais ils seront surveillés. La politique étrangère. « L'armée américaine sera si puissante que je ne pense pas que nous aurons besoin de l'utiliser. Il a annoncé qu’il qu’il réglerait le conflit israélo-palestinien en deux semaines. Il semble qu’il entretienne de bonnes relations avec Vladimir Poutine. L’économie. Une réforme fiscale est à son programme.

Donald Trump a annoncé une « guerre commerciale » contre la Chine. La santé. Vu du Mexique. Colère après la visite surprise de Donald Trump. Donald Trump s’est rendu, mercredi 31 août, à Mexico, où il a rencontré le président Enrique Peña Nieto. La visite du candidat à l’élection présidentielle américaine a suscité hostilité et incompréhension. En visite au Mexique mercredi 31 août, le candidat républicain n’était pas le bienvenu. Et pour cause : durant toute sa campagne, Donald Trump n’a cessé d’accuser le pays d’envoyer par-delà la frontière des criminels, des violeurs et des trafiquants de drogue. Alors, quand le président Enrique Peña Nieto l’a invité au Mexique, comme si de rien n’était, face aux caméras, la presse mexicaine s’est très vite enflammée. “Le président Enrique Peña Nieto a passé plus de deux heures à dialoguer’ avec un homme qui, durant toute l’année, a insulté de tous les noms possibles et imaginables le Mexique et les Mexicains”, s’exclame Salvador Garcia, éditorialiste d’El Universal.

Qui n’hésite d’ailleurs pas à faire une comparaison entre Donald Trump et Hitler. Un président trop silencieux ? Mur avec le Mexique : l'incroyable idée de Trump pour le financer - le Parisien. Construire un mur entre les Etats-Unis et le Mexique pour mettre un terme à l'immigration illégale : c'est l'une des mesures-phares défendues par Donald Trump depuis le début de sa campagne électorale.

Plus surprenant, le candidat républicain assure que ce mur, dont il estime le coût à environ 8 millions de dollars, sera payé par le Mexique, et non par les contribuables américains. Si l'idée fait mouche durant ses meetings, elle suscite également l'incrédulité chez tous les observateurs. Pour savoir comment Trump s'y prendrait pour faire payer le Mexique, deux journalistes du Washington Post, dont Bob Woodward, célèbre pour avoir révélé le scandale du Watergate, lui ont posé la question par écrit.

Le quotidien américain a obtenu en réponse un mémo de deux pages. Trump veut que le Mexique paie «5-10 milliards» de dollars «C'est une décision facile pour le Mexique», écrit-il dans ce mémo. Une «décision facile ?» Vu du Mexique. Colère après la visite surprise de Donald Trump. Donald Trump: «le Mexique paiera le mur à 100%» | Maison-Blanche 2016. Le candidat républicain à la Maison-Blanche a notamment contredit mercredi le président Enrique Peña Nieto, qui a affirmé sur Twitter que le Mexique refuserait quoi qu'il arrive de financer la construction du mur que Donald Trump promet de construire à la frontière pour tarir le flot de clandestins en provenance d'Amérique latine.

«Le Mexique paiera pour le mur, croyez-moi, à 100%», a déclaré Donald Trump lors d'une grande réunion consacrée exclusivement à l'immigration clandestine à Phoenix, dans l'Arizona, Etat frontalier du Mexique. Quelques heures plus tôt, à Mexico, Donald Trump avait vanté lors d'une courte conférence de presse les qualités de l'«incroyable» peuple mexicain et témoigné de son admiration pour les Américains d'origine mexicaine. Lors de cette visite éclair de trois heures, à l'invitation du président Peña Nieto, M. «Beaucoup de vies pourraient être sauvées des deux côtés de la frontière» a dit M. Expulsions massives «Il n'y a pas d'autre Donald Trump. Voyage au Mexique. Élection américaine : Donald Trump peut-il vraiment construire un mur entre les Etats-Unis et le Mexique ?

LCI : Construire un mur entre le Mexique et les Etats-Unis, c'est possible ? Jean-Eric Branaa : Je crois depuis le départ que c’est potentiellement réalisable. Je vais même vous surprendre, mais je suis convaincu que ce sera l'une des premières mesures que mettra en place Donald Trump. La puissance symbolique de cette construction est telle que je ne vois pas comment il pourrait y échapper. En votant, les Américains avaient deux événements en tête : les e-mails d’Hillary Clinton et le mur de Donald Trump. En France, on considère que c'est fou quand il parle de son mur. LCI : C'est-à-dire ? Jean-Eric Branaa : En 2006, George W. LCI : Justement, le président Trump pourra-il forcer le Mexique à payer la facture ? Jean-Eric Branaa : C’est la querelle classique des deux voisins. LCI : Qu'en est-il de sa promesse d'expulser les mexicains clandestins des Etats-Unis ? Jean-Eric Branaa : Il y a actuellement 11,5 millions de sans-papiers mexicains aux Etats-Unis.

Mexico devra composer avec Donald Trump - La Croix. Le président mexicain Pena Nieto s’est dit, mercredi 9 novembre, prêt à travailler avec Donald Trump. Ces derniers mois, aussi bien sur le plan économique que sur l’enjeu de l’immigration, le nouveau président des États-Unis a multiplié les provocations et discours menaçants vis-à-vis de son voisin. Les yeux rivés à l’écran de leur téléviseur, les Mexicains ont cru en une victoire démocrate jusqu’à la fin. Dans les studios de Televisa – l’une des deux chaînes de télévision les plus visionnées au Mexique –, le présentateur Carlos Loret de Mola a fait fi de toute neutralité journalistique durant la soirée électorale, criant à la « bonne nouvelle » chaque fois qu’Hillary Clinton l’emportait dans l’un des 50 États américains. Mais cet enthousiasme nourri d’un certain optimisme aveugle n’aura pas suffi à arrêter la « tempête » Trump. Un protectionnisme sans limites > À lire : Les réactions internationales à l’élection de Donald Trump Vers l’expulsion de 12 millions de Mexicains ?

Trump confirme son intention de construire un mur à la frontière USA-Mexique. International URL courte Interrogé sur la question de savoir s'il voulait vraiment construire un mur à la frontière avec le Mexique, Donald Trump a confirmé son intention initiale exprimée pendant la campagne électorale. Il a noté qu'un tel mur, voire clôture, serait approprié dans certaines régions du pays. « Pour certaines zones, le mur est plus approprié » a indique M. Trump dans un entretien à la chaîne CBS. © AP Photo/ Mary Altaffer De plus, le président américain élu a affirmé qu'il prévoyait d'expulser ou incarcérer immédiatement environ deux ou trois millions de migrants sans papiers, qui sont, selon lui, des criminels, des membres de gangs ou des trafiquants de drogue.

Auparavant, Donald Trump avait à plusieurs reprises annoncé qu'en cas de victoire à la présidentielle il ferait ériger un mur le long de la frontière avec le Mexique et expulser des millions d'immigrés clandestins. Le Mexique craint l'ouragan Donald Trump. Mexico tend la main à Donald Trump pour éviter le pire. Sur fond de contentieux migratoires, le voisin mexicain craint la remise en cause du libre-échange en vigueur avec Washington et Ottawa. « Je suis très optimiste », a proclamé, vendredi 11 novembre, le président mexicain, Enrique Peña Nieto, qui appelle de ses vœux « une nouvelle relation » avec les Etats-Unis.

Pourtant la victoire électorale de Donald Trump représente le pire scénario pour les Mexicains, cibles privilégiées du candidat républicain durant sa campagne. Cette main tendue au nouveau président américain vise à déjouer la menace qui plane sur l’économie du Mexique et ses millions de ressortissants clandestins aux Etats-Unis. Deux jours plus tôt, M. Peña Nieto avait félicité par téléphone M. Lire aussi : Au Mexique, la victoire de Donald Trump reçue comme une douche froide Pourtant, le 31 août, la venue à Mexico du candidat républicain, invité par M. Forte baisse du cours du peso Lire aussi : Trump se cherche une posture de transition Scepticisme. Donald Trump et le Mexique se renvoient la facture du mur à la frontière. Le candidat républicain à l’élection présidentielle américaine s’est déplacé mercredi au Mexique pour rencontrer son président et défendre son programme anti-immigration.

Le candidat républicain à la Maison Blanche, Donald Trump, a déclaré mercredi 31 août que les Etats-Unis avaient le droit « de construire un mur » à leur frontière, lors d’une conférence de presse avec le président mexicain, Enrique Peña Nieto, à l’issue de leur rencontre à Mexico. Le magnat de l’immobilier a expliqué qu’un mur pouvait servir « à stopper les mouvements illégaux de personnes, la drogue et les armes » et ajouté qu’« une frontière sécurisée (était) un droit souverain et d’intérêt mutuel ». Qui va payer ? Il n’a pas évoqué le point le plus crucial durant cette rencontre, sa volonté de faire payer le mur par le Mexique, mais s’est exprimé sur le sujet plus tard dans la soirée lors d’un meeting dans l’Arizona : « Le Mexique paiera pour le mur, croyez-moi, à 100 %. Annonce la veille Si M. Critiques. Au Mexique, la victoire de Donald Trump reçue comme une douche froide. Douze millions de Mexicains vivent aux Etats-Unis, dont plus de la moitié sont clandestins.

Selon certains économistes, la baisse du peso pourrait atteindre 25 %. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Frédéric Saliba (Mexico, correspondance) Sur la chaîne télévisée mexicaine Forotv, les visages des commentateurs politiques se sont peu à peu figés, mardi 8 novembre au soir, à l’annonce des Etats américains remportés par Donald Trump. Le matin même, le quotidien de gauche La Jornada titrait pourtant en « une » sur « Le triomphe d’Hillary presque assuré » . « C’est un cauchemar », réagit Ernesto Lopez, épicier dans le centre de Mexico, qui s’inquiète pour son fils, maçon sans papiers aux Etats-Unis. Dès le premier jour de celle-ci, le candidat républicain a traité les immigrés mexicains de « voleurs » et de « criminels », annonçant l’édification d’un mur le long des 3 142 kilomètres de frontière entre les deux voisins. Lire aussi : A la frontière sud des Etats-Unis, l’impossibilité d’un mur. Frontière américano-mexicaine : la grande muraille de Donald Trump verra-t-elle le jour ?