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Les comportements addictifs liés à l’usage du numérique

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À PROPOS. Alcool, drogues, tabac, addictions. Institut national de prévention et d’éducation à la santé (INPES) L'INPES met en oeuvre des campagnes de prévention sur de grandes priorités de santé publique (conduites addictives, maladies infectieuses, alimentation...). Il édite et diffuse des documents à destination du grand public et des professionnels de santé. 42, boulevard de la Libération 93203 Saint-Denis Cédex - tél. : 01 49 33 22 22 Site internet : Ecole des Parents et des éducateurs- Ile de France (EPE.IDF) L'EPE IDF mène ses actions de prévention grâce à : - l’accueil, l’information et la guidance des familles - l’écoute et l’orientation des jeunes - la formation des professionnels du champ éducatif. 5, impasse bon secours 75011 Paris - tél. : 01 44 93 44 88 Site internet : Fil Santé Jeunes (dispositif EPE) Le service téléphonique FiL sante Jeunes est à l’écoute des jeunes chaque jour de 8h à 24h sur les questions de santé physique, psychologique et sociale.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? Rapport d'information n° 46 (2008-2009) de M. David ASSOULINE, fait au nom de la commission des affaires culturelles, déposé le 22 octobre 2008 Synthèse du rapport (97 Koctets) Disponible au format Acrobat (728 Koctets) au nom de la commission des Affaires culturelles (1) sur l'impact des nouveauxmédias sur la jeunesse, Par M.

David ASSOULINE, Sénateur. « Plutôt que de condamner ou d'approuver l'incontestable pouvoir des médias, force est d'accepter comme un fait établi l'impact significatif qui est le leur et leur propagation à travers le monde et de reconnaître en même temps qu'ils constituent un élément important de la culture dans le monde contemporain (...) Déclaration de Grünwald Mesdames, Messieurs, « Je t'aime moi non plus ».

Il s'est concentré sur l'impact des nouveaux médias sur les 11-18 ans1(*), premiers utilisateurs et principales cibles des études. Il a ensuite fait le bilan des apports positifs des nouveaux médias. Le rôle des nouveaux médias est donc ambivalent. I. 1. 2. 3. 1. INPES - Jeux vidéo : pratiques excessives - Cyberdépendance ? La « cyberdépendance » ou « addiction aux jeux vidéo » existe-t-elle ? Un usage immodéré des jeux vidéo/Internet est-il pour autant synonyme d’addiction ? En effet, au regard de la toxicité des substances psychoactives (drogues illicites, tabac, alcool), le positionnement des addictions comportementales (jeux vidéo, travail, jogging…) fait encore débat.

Certains psychiatres remettent en cause la notion d'addiction appliquée à autre chose que des drogues, argumentant que dans ce cas, toute passion peut être vue comme pathologique. De plus comme ils aiment à le rappeler, il n’y a pas de mort dans l’addiction aux jeux vidéo ou à Internet, alors que c’est le cas avec les addictions au tabac. De même, le joueur ne ressent pas de phénomène physique, de « craving » ou de sevrage lorsqu’il n’a pas joué.

Les jeux vidéo conduisent-ils à des comportements de replis ou les accompagnent-ils ? Des pratiques excessives plutôt qu'une véritable addiction. Dépendance aux écrans : une addiction de l'ère numérique. Des pratiques en ligne très répandues et parfois addictives... Internet a fait naître de nouvelles modalités d’interaction ludique entre personnes. Les jeux en ligne et les réseaux sociaux connaissent un succès croissant auprès de toutes les tranches d’âge. 69% des 13-19 ans jouent régulièrement à des jeux vidéo (source : Etude Junior Connect, Ipsos Connect, 2015).Désormais, certains préfèrent même les interactions électroniques aux modes relationnels traditionnels. De véritables addictions liées aux écrans sont ainsi apparues. Elles relèvent des addictions dites "comportementales", comme :- la dépendance aux jeux d’argent et de hasard,- les achats compulsifs,- les addictions alimentaires ou à l’activité physique,- les dépendances sexuelles ou affectives...

Comme tous ces comportements, l’usage excessif des écrans empêche la personne touchée de se consacrer à d’autres activités, et tend à provoquer des problèmes relationnels. Heureusement, ce type de dépendance est encore rare. Une loi pour encourager (et réguler?) le développement de l'e-sport - Fédération Addiction. Dans le cadre du projet de loi dite « pour une république numérique », des dispositions relatives au développement et à l’encadrement des compétitions de jeux vidéo en ligne ont soulevé quelques interrogations. C’est spécifiquement l’article 42 qui a poussé certaines associations du secteur de la santé et organismes de régulation des jeux en ligne a alerter sur le risque de voir ces compétitions se rapprocher des jeux d’argent en ligne, en intégrant une définition large de ce que sont ces compétitions (« une série d’interactions s’appuyant sur une trame scénarisée ou des situations simulées et se traduisant sous forme d’images animées, sonorisées ou non ») et en introduisant des composantes financières dont on sait qu’elles peuvent inciter au jeu excessif.

Les principales propositions des parlementaires, Rudy Salles et Jérôme Durain, visent à : D’autres laissent plus perplexe quant à la dimension financière : La Fédération Addiction a pu être auditionnée dans le cadre des travaux. À PROPOS. Stress numérique. Le stress numérique est la conséquence de l’amplification des mécanismes de stress chez les personnes par un environnement où les technologies numériques sont omniprésentes. Par exemple, en France, le nombre de cartes SIM actives, soit 80 millions[1], dépasse le nombre de Français, soit 66 millions.

De plus, au moins trois réseaux sont simultanément disponibles pour plus de 99 % de la population. Cette expression identifie des conséquences du nouveau paradigme psychosocial amené par les technologies numériques, auquel est associé le caractère addictif du numérique[2]. En France, le stress numérique concerne près d'un salarié sur trois[3]. Du stress au syndrome d'épuisement professionnel[4] et d'usages libres aux dépendances numériques, les enjeux sont multiples. Ils invitent à une éducation numérique préventive qui initie les gens à une compréhension des modèles biopsychosociaux du stress, par exemple, afin de pouvoir distinguer les usages numériques bénéfiques de ceux à risques.

Cyberdépendance - Forum libre Psychologie. La course à l’e-influence, une addiction socialement acceptable ? – The brandnewsblog l Le blog des marques et du branding. #Gloups. S’il est des articles qu’on lit d’un trait, la gorge un peu serrée et en ravalant sa salive à la fin, celui d’Isabelle Bouttier¹, publié récemment par l’excellente revue Tank, en fait incontestablement partie. C’est que la fondatrice de Web Image&Sens, qui fut sémiologue et coach dans une vie antérieure, n’y va pas par quatre chemins pour décrire les ressorts psychologiques et autres traits qui caractérisent les socionautes influents, ainsi que la course à l’e-influence !

Alors évidemment, quand il se trouve qu’on est soi-même blogueur et twitto assidu, comme le personnage fictif autour duquel l’auteure a construit son article (un certain « Paul »²), difficile de ne pas se sentir visé par cette description sans concession de l’e-influence et par son portrait au vitriol de ces e-influenceurs autoproclamés dont les réseaux regorgent. Alors, aliénation ou pas ? Quelle seraient, si tant est que l’on puisse parler d’addiction, les signes avant-coureurs de la dépendance ? WordPress: Serge Tisseron.

Posté par Serge TISSERON le 7 juin 2012. La première révolution engagée par la culture numérique est culturelle La culture du livre est une culture de l’un, dominée par une conception verticale du savoir : celui qui sait écrit un livre pour ceux qui ignorent. Par le livre, ils accèdent à la connaissance du clerc, ou du savant. Elle est en cela inséparable du monothéisme. La seconde révolution engagée par la culture numérique est cognitive. Si la culture du livre était capable de relayer toutes nos possibilités psychiques, la culture numérique n’aurait jamais été inventée ! La troisième révolution engagée par la culture numérique est psychique. Les technologies numériques modifient enfin le fonctionnement psychique de plusieurs façons. 1. Ces trois révolutions ne font pas de la culture des écrans une « sous culture » inférieure celle du livre, mais une culture différente, chacune avec ses points forts et ses faiblesses, ses excès et ses impasses.

Addict à Internet, j'ai fait une détox digitale. Julie, 29 ans, ne pouvait plus se passer de ses écrans. Suite à un problème de santé, forcée de se déconnecter, elle a analysé son besoin d'être reliée en permanence, et s'est fixé des règles. Elle a tenté une semaine sans Internet. Marie Le Marois Sommaire « Tweeter dix fois par jour des infos, poster des photos sur Instagram, épingler sur Pinterest, géolocaliser les endroits nouveaux pour les partager dans l’instant, “forwarder” un message sur mon Facebook, répondre à un e-mail à 2 heures du matin, pas une journée ne se passait sans que je sois connectée.

Même pendant mon voyage de noces en Italie ! J’étais happée par les écrans : j’ouvrais mon ordinateur avant de prendre mon petit déjeuner, je m’endormais avec mon Smartphone, je surfais des heures sans m’en rendre compte. A la limite du burn-out C’était pareil pendant le sport. Je ne me rendais pas compte que je travaillais en permanence. Plus je me sentais mal, plus je m’engouffrais dans le Net. Ce besoin d'être reliée en permanence. À PROPOS. Le Plus de L'Obs - Experts, opinions, débats. Flux toutes les actualités - 01net. Collaborations C2I. Les comportements addictifs liés à l’usage du numérique. Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique. Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique. Les comportements addictifs liés à l'utlisation du numérique.