Bois. Depuis la fin du printemps, j'ai tenté d'apprendre à travailler le bois à l'aide d'outils manuels et à partir de bois frais.
Ce fut un plaisir dès le départ pour moi, malgré toutes les difficultés: aiguisage des lames, problème de sèchage, technique. Ce précieux contact avec les arbres me plaît énormément, me fait beaucoup de bien. Encore une fois, je me rapproche de mes ancêtres d'il y a longtemps. Depuis l'avènement des outils motorisés, on travaille le bois principalement sec, puisque nous l'achetons d'un fournisseur. Travailler le bois lorsqu'il est frais est beaucoup plus facile, car selon l'essence, il peut se couper très facilement, ce qui rend l'activité moins dure sur les muscles. Vous qui connaissez le nerprun cathartique (rhamnus cathartica), cet arbuste très envahissant, saviez-vous que son bois est d'une couleur superbe et d'une solidité étonnante?
Je l'utilise régulièrement pour marteler ma hache sur le bois que je fend et ce marteau se porte à merveille. Craft. Development from the past until today[edit] Historically, craftsmen tended to concentrate in urban centers and formed guilds.
The skill required by their professions is and the need to be permanently involved in the exchange of goods also demanded a generally higher level of education, and craftsmen were usually in a more privileged position than the peasantry in societal hierarchy. The households of craftsmen were not as self-sufficient as those of people engaged in agricultural work and therefore had to rely on the exchange of goods.
Once an apprentice of a craft had finished his apprenticeship, he would become a journeyman searching for a place to set up his own shop and make a living. After he set up his own shop, he could then call himself a master of his craft. This system of a stepwise approach to mastery of a craft, which includes the obtainment of a certain amount of education and the learning of skills, has survived in some countries of the world until today. Handicraft[edit] Cuir. Fur. Un Essai De Tannage Végétal - Travail du Cuir.
La petite histoire: Comme j’ai tendance à vouloir faire tout moi-même, j’ai commencé à m’intéresser à la fabrication du cuir à partir de début 2005.
J’ai commencé par collecter les accidentés de la route. Mais tanner des fourrures (martres, renards) avec les méthodes les plus naturelles possible utilisées en Europe par nos ancêtres (pas de « tannage á la cervelle) n’est pas chose évidente. Donc, je mes suis tourné vers autre chose à priori plus facile : le tannage végétal. Avantage non négligeable du tannage végétal : pas de gros problèmes olfactifs ;-) Ma motivation ? Autre motivation : utiliser exclusivement des produits régionaux, « collectés » moi-même. Une source très appréciée pour le tannage végétal est braintan.com bien que le rapport tannage cervelle (15.000 posts) / tannage à l’écorce (400) est très parlant.
Mes descriptions seront loin d’être parfaites et/ou exhaustives puisque je suis seulement en « apprentissage » moi aussi. Alors, allons-y !