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IoT & Privacy

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Mythes et réalités de l'internet des objets. Je ne sais pas si vous aviez remarqué, mais depuis l’année dernière il y a un consensus autour du fait que l’internet des objets est une lame de fond qui va entièrement changer notre quotidien. Je bous intérieurement à chaque fois que j’attends tel ou tel « spécialiste » nous ressortir toujours les mêmes statistiques : « 50 milliards d’objets connectés en 2020« , « 15 objets connectés au m2« … Le problème ne sont pas les chiffres en eux-mêmes, mais la façon dont ils nous sont présentés et surtout les conclusions très alarmistes ou débordant d’optimisme qu’on en tire : c’est l’une ou l’autre, mais il est extrêmement rare de trouver des avis modérés. Pour paraphraser la célèbre série TV des années 90 : la vérité est ailleurs. Je vous propose de faire le point sur l’internet des objets avec une approche la plus réaliste et pragmatique possible. Il n’y aura pas 50 milliards d’objets connectés, mais 50 milliards de capteurs L’internet des objets n’est pas une révolution.

HP tests 10 popular IoT devices, most raise privacy concerns. July 29, 2014 HP Fortify tested 10 popular Internet of Things (IoT) devices, including TVs, webcams, home alarms. A security scan of 10 popular Internet of Things (IoT) devices revealed that a number of issues, including unencrypted communications and inadequate authentication, left user data vulnerable. The findings, revealed in an HP study (PDF) released Tuesday, showed that, on average, each IoT device contained 25 vulnerabilities. Included in the test were a range of IoT devices – TVs, webcams, home alarms, hubs for controlling multiple devices, remote power outlets, door locks, garage door openers, home thermostats, sprinkler controllers and scales.

HP Fortify, which conducted the study, also tested various components of the devices, since the majority of them utilized some form of cloud service and all included mobile applications allowing remote access or control of the device, the report said. “We saw a mix [of things],” Miessler said. Security Issues Found in Smart Home Devices. Ever wonder what hackers think about the Internet of Things? Consider for a moment what someone with criminal intent might do with secret access to your Internet-connected garage door opener and it doesn’t take long to imagine something bad. The folks at security company Veracode were thinking along the same lines with a study of six consumer-grade IoT devices and found them to be surprisingly vulnerable to hackers, and the study takes the unusual step of calling out each product by name and describing some of the weaknesses found.

A similar study by Hewlett-Packard last year raised similar concerns without naming any of the devices studied. So if you’re into outfitting your home with smart things all over the place, it’s certainly worth your attention. Veracode bought the devices in December and tested them in a lab in January, monitoring all the data traffic going to and from the device. One concerned the MyQ Garage system from Chamberlain. Apple, Google and More Bring Privacy Fears to Obama. Tech giants including Apple, Google, and others believe government would be putting American citizens at risk if it required tech companies to build a back door for law enforcement, and now they’ve issued a letter to President Obama, urging him to prevent such a move by Congress.

The letter, which was obtained by The Washington Post, is but the latest turn of events in an ongoing battle between the government agents seeking to protect national security and the technologists working to defend public privacy in the wake of Edward Snowden’s revelations about mass surveillance. While people like FBI Director FBI James B. Comey have argued that locking law enforcement out altogether puts innocent people at risk, the tech companies maintain that building a backdoor for the good guys means creating a vulnerability that could just as easily be used by the bad ones.

“This protection would be undermined by the mandatory insertion of any new vulnerabilities into encrypted devices and services. 5 obstacles que doivent franchir les objets connectés pour faire partie du quotidien. Ce seront 2 milliards d’objets connectés qui se vendront en France d’ici à 2020, si l’on en croît une étude du cabinet GfK. Le marché de l’IoT (Internet of things) s’annonce juteux, mais il présente déjà quelques obstacles à franchir avant qu’il n’atteigne une taille critique.

Il y a en effet au moins cinq craintes exprimées par les professionnels dans une seconde étude* sur les objets connectés publiée en mai par McKinsey et la Global Semiconductor Alliance (GSA). Première barrière, le maintien de la confidentialité des données des utilisateurs. Cette crainte concerne principalement les professionnels fabricant des puces électroniques.

L’enjeu est donc de réussir à trouver un moyen de garantir la protection des données personnelles, qu’elles soient stockées à distance sur des serveurs (cloud), enregistrées sur un terminal (smartphones, tablettes), ou lorsqu’elles circulent de l’un à l’autre, comprend-on dans cette étude. Trouver le modèle économique. Rencontre : Vie privée et propriété intellectuelle sur Internet. Journée dédiée à la médiation numérique et à ses acteurs, pour apporter des éléments de réponses sur les questions de vie privée et de propriété intellectuelle sur Internet. PiNG vous propose de participer à une demi journée et une soirée de travail et d'échanges autour des questions connexes des données personnelles et de la propriété intellectuelle, ou : comment mieux appréhender la circulation des informations sur Internet afin d'accompagner dans les meilleures conditions possibles les usagers des espaces publiques numériques.

En s'appuyant sur des personnes ressources pour animer des ateliers et des débats nous souhaitons dans le cadre de cette rencontre apporter aux acteurs de la médiation des éléments constitutifs d'une culture numérique en mouvement, sur deux sujets phares de la médiation numérique d'aujourd'hui et de demain. 14h : ACCUEIL DES PARTICIPANTS - À la PRI Design'in (34 rue Lanoue Bras de Fer à Nantes) (link is external) 15h -18h : ATELIERS (deux sessions en simultané)

Un monde de données. Avec la diffusion des objets connectés, le débat autour du Big Data s’intensifie. On connaît déjà son issue. Face aux partisans de «l’homme augmenté», les protestations morales contre la quantification de l’humain (quantified self) n’ont aucune chance d’être entendues. Trop d’intérêts économiques sont en jeu, mais aussi trop de désirs de déléguer à des machines le soin de se connaître soi-même.

Une montre qui évalue les calories que nous ingurgitons, surveille notre rythme cardiaque ou délivre, avec précision, notre taux d’insuline réalise une prouesse à laquelle il est difficile de résister : elle pratique une dissection de notre vivant et à usage personnel. Il vaut pourtant la peine de s’interroger sur ces techniques. Le désir de voir, à l’intérieur du corps humain, est inséparable des Lumières. Contre l’interdit de l’Eglise, Descartes militait déjà en faveur du droit scientifique à l’autopsie des cadavres. Or, rien n’est moins donné que ce genre de «données». Etude : 80% des objets connectés mettent en danger votre vie privée.

01net. le 29/07/14 à 18h59 L’Internet des objets vous fait de l’œil ? Dites-vous que c’est la même chose pour les hackers. Si ce n’est pas le cas, ils ont tort. Une étude de Fortify, le bras sécuritaire de HP, semble en effet indiquer que les dix objets connectés les plus populaires sont de véritables gruyères. Sécurité : un trou béant Si HP ne donne, hélas, pas les noms des dix heureux élus qui ont été passés au crible, sa division sécurité précise qu’il s’agit autant de TV que de webcam, de thermostat intelligent, de hub pour centraliser différents appareils, ou encore de verrou connecté. Il faut dire que les problèmes relevés montrent que les fabricants de ces appareils ne semblent pas avoir pris la mesure des enjeux de sécurité. La nécessité d’implémenter un minimum de sécurité. Sécurité de l'internet des objets. Sécurité des objets connectées. Objets connectés : la peur sur la vie privée est irrationnelle, selon Rafi Haladjian. Les objets connectés capturent de plus en plus de données personnelles sur leurs utilisateurs.

Faut-il s’en inquiéter ? Non répond Rafi Haladjian, entrepreneur et créateur de nombreux objets connectés. « Il existe une peur irrationnelle sur la vie privée », déclare-t-il. Il s’est exprimé sur la scène des Techdays de Microsoft, à Paris, le 13 février. Pareil que les banques ou Google Rafi Haladjian a créé le capteur Sense, Mother et le célèbre lapin Nabaztag. Pour lui, la capture de données existe depuis toujours qu’il s’agisse des banques, de Google, de la RATP ou des sociétés d’autoroute. Si ces propos sur la protection de la vie privée demeurent sujets à discussion, la vision de Rafi Haladjian sur le fonctionnement des objets connectés est plus souriante. « Les objets connectés ne doivent pas être des télécommandes » dit-il.

Ce texte a été lu 3636 fois ! Montre Withings : elle enregistre votre activité 10 novembre 2014 Dans "Mobile" [Enquête] Objets connectés, une menace pour la vie privée ?‏ En utilisant des objets connectés il faut s’attendre à délivrer de nombreuses données. Ces données personnelles peuvent être demandées lors de l’utilisation d’applications ou d’objets spécialisés en santé ou en sport, par exemple.

Par la suite les objets et applications vont également générer d’autres données nous concernant, la question est alors où vont donc toutes ces données et qu’en est-il de notre vie privée ? Mais surtout, comment bien protéger ses données ? Les risques liés aux objets connectés Les objets connectés sont souvent vus comme une forme d’espionnage de la vie d’autrui. Ce sont de vrais recueils de données, toutes plus personnelles les unes que les autres. En effet, comme l’indique leur nom ces objets sont connectés ce qui pose un véritable problème concernant les données, car en s’y connaissant bien il est possible de trouver les informations sur internet et surveiller le propriétaire de l’objet.

Protéger sa vie privée selon la CNIL. CNIL CAHIERS IP2 WEB. La sécurité des objets connectés. Dans le cadre du cycle « Sécurité des usages numériques » proposé conjointement par le CIGREF et le département Sécurité économique de l’INHESJ, les auditeurs de la 4ème promotion viennent de publier « La sécurité des objets connectés« , un de leurs travaux 2013/2014 . Pour aborder l’« Internet of Things », on peut retenir d’une revue de littérature française quatre formules : Internet des objets, objets connectés, Systèmes d’Information connectés aux objets, et Services délivrés via des objets connectés.

La lecture de cette liste montre que l’« Internet of Things » est un domaine encore flottant et qu’il serait aventureux d’arrêter un discours définitif, notamment en matière de sécurité. Néanmoins, en vue de progresser vers ce discours, cette liste de quatre formules peut suggérer aux entreprises quatre points de vue, qui sont respectivement de nature juridique, technique, opérationnelle et commerciale. Le premier point de vue, qui régit les autres, est le point de vue juridique.

Privacy by design

Self Data. Exemples.