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3 grandes leçons que l’on peut tirer du déclin de Kodak. Tout le monde connait Kodak. À une certaine époque, le nom était si fort qu’il remplaçait le mot «appareil photo» dans notre vocabulaire. Si on utilise encore certaines marques fortes pour désigner des produits comme des kleenex ou un frigidaire, le mot Kodak par contre, est de moins en moins utilisé. Pourquoi? Au cours des dernières années, la compagnie Eastman Kodak n’a pas su saisir les opportunités du marché. Elle est aujourd’hui sous la loi de la protection de la faillite américaine. Si on a souvent utilisé l’entreprise en exemple pour leurs bons coups, voyons quelles leçons sont à tirer de leurs récents déboires. 1. Kodak, par peur de déranger leur activité économique principale, a omis d’adapter son modèle d’affaires. 2. À titre d’exemple, il mentionne des entreprises comme Apple et Amazon qui ne cessent de se réinventer. 3. Ne pas avoir saisi le potentiel de cette technologie est probablement l’erreur la plus coûteuse de Kodak.

Kodak: les leçons d'une faillite. Tandis qu’Eastman Kodak s’est placée sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites, Isoflux, l’entreprise de David A. Glocker, est pour sa part en pleine expansion… grâce à une technologie qu’il a développée dans les laboratoires de recherche de Kodak.

Il n’a rien volé, bien au contraire. Avant de fonder Isoflux avec la bénédiction de Kodak en 1993, David Glocker avait approché la direction de l’entreprise et lui avait suggéré de commercialiser le procédé de revêtement qu’il venait de développer. “Très bien, allez-y.” “Je suis allé voir la direction pour leur dire que cette technologie était très prometteuse et que personne ne l’avait encore commercialisée: si Kodak n’était pas intéressé, j’aimerais me lancer”, se souvient-il. Lorsque surviennent de nouvelles technologies qui changent radicalement la donne, certaines entreprises sont totalement prises au dépourvu.

Cela n’a pas toujours été le cas. Cette opinion, certains la partagent au cœur même de Kodak. Ce que révèlent les suicides chez France Télécom - LExpress.fr. France Télécom et le management par la peur. On l’appelle communément le « management par le stress ». Généralisé dans de nombreuses entreprises, il est devenu emblématique de France Télécom. L’idée : faire de la peur une méthode de management. Margaux Rambert - Publié le 5 Novembre 2009 à 14:54 Sommaire « Surcharge de travail », « urgence permanente », « management par la terreur ». C’est en ces termes que Michel, ce cadre marseillais de 51 ans qui a mis fin à ses jours le 14 juillet dernier, décrivait, dans une lettre désespérée laissée à sa famille, ses conditions de travail chez France Télécom.

. « Les 5 M » Marion est entrée chez France Télécom il y a 37 ans. Des salariés contraints de changer de poste, ou de métier, Ivan du Roy, journaliste, en a rencontré de nombreux avant de publier son enquête sur le management par le stress à France Télécom : Orange Stressé (La Découverte, octobre 2009). « Avec les réorganisations successives, les employés sont soumis à des mobilités géographiques et de métier. Social : Suicides chez France Télécom, la direction en fait-elle assez? C'est un nouveau drame qui est venu frapper lundi France Télécom. Un salarié s'est jeté du haut d'un viaduc autoroutier en Haute-Savoie après avoir écrit une lettre dénonçant le climat au sein de l'entreprise.

Le 24ème cas de suicide en 18 mois. Immédiatement, Didier Lombard, le PDG du groupe, s'est déplacé sur le site, annonçant "mettre fin au niveau national au principe de mobilité des cadres systématique tous les trois ans". Une décision très attendue notamment chez les syndicats qui dénoncaient depuis longtemps l'indifférence de la direction à l'égard d'un malaise social évident. L'Expansion.com s'est rendu mardi au siège des ressources humaines de France Télécom, où les syndicats étaient appelés à négocier sur la représentation syndicale, pour recueillir leur témoignage. Extraits. A quelques pas de là, au siège social, la plupart des salariés croisés sur la place d'Alleray durant la pause déjeuner refusent catégoriquement de parler.