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L'homme moderne aurait émigré d'Afrique plus tôt qu'on ne le pensait - Sciences - la-Croix.com. Si l'on est sûr que l'Afrique est bien le berceau de l'homme moderne, reste à savoir par où il a pu quitter ce continent pour conquérir le monde. Une équipe internationale d'archéologues, menée par Hans-Peter et Margarethe Uerpmann de l'université de Tübingen, vient de jeter un pavé dans la mare. Ou plutôt dans la mer Rouge !

Selon leur publication, parue dans la revue Science , l'homme moderne a émigré d'Afrique il y a au moins 100 000 ans au vu des outils de pierre découverts, de l'autre côté de la mer Rouge, dans la péninsule arabique. Jusqu'à maintenant, on considérait que Homo sapiens, apparu en Afrique il y a environ 200 000 ans, avait migré le long des côtes de la Méditerranée et d'Arabie, il y a environ 60 000 ans. Mais en 2003, les chercheurs allemands ont eu la chance de mettre la main sur des outils du paléolithique moyen (-300 000 à -30 000 ans) sur le site du djebel Faya aux Émirats arabes unis, à l'extrémité Est de la péninsule arabique, face à l'Iran. L'homme de Denisova en débat chez les paléontologues - Sciences - la-Croix.com. Des touristes russes devant la grotte de Denisova où de sreste d'hominidés ont été identifiés (Photo : Nicolaï Chuvaev/CC/ Wikicommons ). « Out of Africa », et après ?

Que s'est-il exactement passé depuis que les hommes préhistoriques ont quitté l'Afrique pour gagner le Moyen-Orient, puis l'Eurasie et, enfin, ont probablement pris des chemins divergents, les uns se dirigeant vers l'Asie, les autres vers l'Europe ? Les hypothèses vont bon train parmi des paléontologues après la découverte, en 2008, d'une phalange et d'une dent, par les archéologues russes, dans la grotte de Denisova, au sud de la Sibérie, dans les montagnes de l'Altaï. Ainsi, en mars dernier, les paléogénéticiens emmenés par Svante Pääbo de l'institut Max-Planck d'anthropologie de l'évolution à Leipzig ont-ils annoncé dans la revue Nature la découverte d'un hominidé inconnu, « l'homme de Denisova » (1). 5% de gènes communs avec les Mélanésiens Localisation de Denisova, au sud de la Sibérie.

«Nous sommes prudents» Pour la Science - La marche néandertalienne reconstituée. Pour en savoir plus L'auteur François Savatier est journaliste à Pour la Science Le LABO, c'est-à-dire le Laboratoire d'anatomie, biomécanique et organogénèse de la faculté de Médecine de l'Université Libre de Bruxelles vient de démontrer que les Néandertaliens marchaient comme les hommes modernes. A priori, la question paraît curieuse, car lorsqu'ils furent contemporains, Homo neanderthalensis et Homo sapiens eurent des modes de vie proches : celui de chasseurs-cueilleurs. Pour autant, les membres inférieurs néandertaliens auraient pu fonctionner différemment des jambes de l'homme moderne. Qu'en ressort-il ? Pour autant, l’agilité de la jambe dépend aussi de l’entraînement et du cerveau qui la contrôle. Documentaires de France3 - France 3. Pour France Télévisions, le respect de votre vie privée est une priorité.

Préhistoire : les Européens vivant il y a 30.000 ans fabriquaient déjà de la farine. Europe – Relatée lundi 18 octobre dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), la découverte de résidus d’amidon sur des meules en pierre par une équipe italienne fait remonter 10.000 plus tôt la consommation de farine végétale chez nos ancêtres du Paléolithique. La découverte de grains d’amidon, sur des meules primitives en pierre trouvées sur des sites paléolithiques de Russie, d’Italie et de République Tchèque, a permis à l’équipe du Dr Anna Revedin, de l’Institut de préhistoire de Florence (Italie), de faire remonter la fabrication de farine à 30.000 ans. Jusqu’alors, les plus anciennes traces de cette activité, trouvées en Israël, dataient de 20.000 ans. Avez-vous déjà partagé cet article? Une table tactile géante pour revivre l’art préhistorique. Le carrefour de la préhistoire. A salle des fêtes de Saint-Germain- et-Mons est devenue, grâce aux conférences de qualité qu'y organise le Groupe d'étude et de recherche du Bergeracois sur l'art pariétal paléolithique (Gerbapp), le nouveau carrefour de la préhistoire !

Pour preuve, vendredi 8 octobre, ce ne sont pas moins de quatre préhistoriens mondialement reconnus qui se sont donné la réplique lors de la passionnante conférence de Denis Vialou. Invitant à une visite virtuelle mais extraordinairement sensible et sensorielle de la grotte de Lascaux, le professeur au Muséum d'histoire naturelle, spécialiste de l'art préhistorique, n'a pas hésité à interpeller ses auditeurs des premiers rangs, Brigitte et Gilles Delluc, anthropologues et préhistoriens, et Alain Roussot, ancien conservateur de la section préhistoire du musée d'Aquitaine. Tandis que Denis Tauxe, spécialiste en art préhistorique et président du Gerbapp, jouait le projectionniste ! Vous reprendrez bien un peu de fougère... - Archéo & paléo. Sur trois sites préhistoriques européens datant de 30.000 ans, de microscopiques résidus de plantes ont été découverts sur des outils de pierre.

Riches en amidon, ces végétaux auraient été broyés, écrasés avec des pierres servant de pilon, analysent Anna Revedin, de l’Institut de préhistoire et de protohistoire de Florence (Italie), et ses collaborateurs. Cette découverte montre que nos ancêtres avaient peut-être un régime alimentaire plus équilibré qu’on ne pensait. Il est généralement considéré que jusqu’au développement de l’agriculture, il y a environ 10.000 ans, les premiers européens se nourrissaient surtout de viande. Il est vrai que les traces laissées par la découpe d’une tranche de viande –notamment les marques des objets tranchants sur les os- sont plus faciles à retrouver 30.000 ans plus tard que les indices de la préparation d’une salade… Grains d'amidon Anciennes farines. Temp : "Le Big Bang, une idée tombée du ciel. Initiation à l'art pariétal à l'écomusée -