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Récupérer l'eau

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Collège Lionel-Groulx1. Le biomimétisme L’innovation inspirée par la nature Collège Lionel-Groulx2. - ppt télécharger. L’eau en poudre. Initialement, j’avais prévu de sortir ce billet la semaine dernière. Et puis je me suis dit que publier un billet sur l’eau en poudre le 1er avril, ça allait passer tout de suite pour une mauvaise blague. Et pourtant c’est très sérieux ! Ce phénomène amusant est bien réel, et permet de fabriquer une poudre composée à 95% d’eau, comme celle représentée sur l’image ci-contre. Le principe de l’eau en poudre a été développé ces dernières années, et les applications potentielles existent dans de nombreux domaines. Alors arrêtez de rire, et lisez la suite ! La recette de l’eau en poudre Pour fabriquer de l’eau en poudre, c’est très simple : il vous faut de l’eau…et de la poudre !

Déposez une goutte dans la poudre et faites la rouler doucement : sa surface extérieure se recouvre de poudre, et vous obtenez ce qu’on appelle une goutte enrobée. Si vous voulez faire vous-même l’expérience de la goutte enrobée, tout est dans le choix adéquat de la poudre ! Des gouttes non-mouillantes On obtient. Réserves d’eau en plein désert : un petit verre de brouillard ? Le Scarabée du Désert « Stenocara » (famille des coléoptères) a plus d’un tour dans son sac pour se désaltérer. Cette charmante bête vit en plein désert de Namibie, sur la côte sud-ouest de l’Afrique : une région très sèche (peu de précipitations), avec de hautes températures, de forts vents mais aussi un brouillard matinal qui provient de l’océan Atlantique (pouvant atteindre 100 km d’étendue à l’intérieur des terres, et ce entre 60 et 200 jours par an). Or il s’avère que ce soit la seule ressource en eau, disponible dans cette région aride. Oui mais comment collecter efficacement ces minuscules gouttes d’eau en suspension dans l’air ?

Le désert de Namibie L’insecte mais aussi certaines herbes de dunes (« stipagrostis sabulicola ») ont réussi l’exploit de tirer bénéfice du brouillard pour satisfaire leurs besoins en eau. Le scarabée du Désert « Stenocara » [Crédit Photo : Hans Hillewaert] Adaptations des herbes de dunes Rainures des herbes de dunes Références Seely. Sur le même thème. First approximation of the effects of rainfall on the ecology. Fog Catchment Sand Trenches Constructed by Tenebrionid Beetles, Lepidochora, from the Namib Desert. Research. Gobabeb is a catalyst for gathering, disseminating and implementing understanding of arid environments.

Since its founding, Gobabeb has focused on producing high quality in-house research and on supporting the efforts of scientists from southern Africa and around the world. Research at Gobabeb is conducted both in pursuit of greater scientific understanding and in promoting environmental education and sustainable management. Work done by researchers at Gobabeb is adapted into the Centre’s Training Programme, providing dynamic and relevant content for students and learners to engage in. Through various training programmes at all levels of education Gobabeb hopes to use science to inform and inspire the next generation of environmental leaders and decision makers. We focus on facilitating and supporting scientific activities in a number of themes, each headed by a well-known and high-profile scientist in that specific field. Science Theme Groups Research that we are famous for.

Fog basking by the Namib Desert beetle, Onymacris unguicularis. Fog basking by the Namib Desert beetle, Onymacris unguicularis *Institute of Ecology, University of California, Davis, California 95616†Desert Ecological Research Unit, PO Box 953, Walvis Bay, 9190, South West Africa THE Namib Desert along the south-western coast of Africa supports a sand dune fauna without counterpart elsewhere in the world1. The trophic base of the arthropod fauna is wind-blown detritus2. Aperiodic advective fog collection from vegetation3 or detritus4 is a possible source of water for diverse Namib animals. For the specialised fauna living in vegetation-less dunes, fog collection from detritus4, disturbed sand projections5, directly from humid air6, or from water precipitated on the body4,7, seem to be the only possible water uptake methods.

Water uptake from saturated or subsaturated air, demonstrated for a few arthropod species6, is not a physiological capability of Namib tenebrionids already investigated4,6,7. References © 1976 Nature Publishing GroupPrivacy Policy.