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Stratégie

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L’Espace au service des opérations. Livre Blanc : comment penser la Défense de demain ? Avec : Francois Heisbourg, membre du Comité sur le livre blanc, conseiller spécial à la Fondation pour la Recherche Stratégique. Il a participé à la rédaction du précédent Livre Blanc gouvernemental et coordonné deux ouvrages chez Odile Jacob ; Les Conséquences stratégiques de la crise (2010) et Les armes nucléaires ont-elles un avenir ? (2011). Il a publié cette année Espionnage et Renseignement. Le vrai dossier chez le même éditeur. Le Général Bernard Norlain, Général de l’armée aérienne en 2ème section, ancien commandant des forces aériennes de combat.

Alain Ruello , journaliste aux Echos au service "High Tech", spécialiste des questions de Défense. Repenser les fondements de la Défense. Le Livre blanc de la Défense : bilan et perspectives. Le Livre blanc de la Défense : bilan et perspectives - Le débat. Quelle alliance pour la Défense française : outre-manche ou outre-rhin ? Débat sur le futur de la Défense française autour de Louis Gautier. En Débat - Une vision (UMP) pour le futur de la Défense française. "Il n'y a pas assez de réflexion sur la stratégie militaire" Défense stratégique en France : quelques remarques. Par Jean-Jacques Mercier, Expert en systèmes d’armes.

Défense stratégique en France : quelques remarques

Article paru dans DSI Hors-Série n°13, août-septembre 2010 Si la dissuasion nucléaire reste le pilier central de la défense stratégique française et que la doctrine de Paris a fondamentalement peu évolué depuis une vingtaine d’années, se dessinant plus en inflexions qu’en véritables mutations (1), il n’en demeure pas moins que les débats actuels sont plus complexes qu’on ne le pense.

Les questionnements, peu clairs, autour des antimissiles (2), la pression budgétaire, les choix britanniques également (Londres pense réduire de quatre à trois le nombre de ses sous-marins stratégiques), sont autant de facteurs invitant à une réflexion autour de la dissuasion, mais aussi à quelques propositions pas nécessairement politiquement correctes. Dissuasion : quel format futur ? Des sous-marins également préstratégiques ? Plusieurs arguments vont toutefois dans le sens d’un maintien de la composante aéroportée. Défense et sécurité des systèmes d'information : Stratégie de la France. Quid de notre pensée stratégique ? LE MONDE | | Par Samuel Solvit, analyste en politique étrangère Les conflits diffus et multiples se sont substitués aux guerres d'antan que l'on aime à penser comme bien définies.

Quid de notre pensée stratégique ?

Les vieux référentiels d'espace et de temps ont été totalement renversés pour donner lieu à une réorganisation des flux humains, économiques, matériels et informationnels. Concrètement, il y a une circulation de l'argent quasi instantanée, il y a Internet, il y a des moyens de transport rapides, il y a une instantanéité de l'information, il y a un décloisonnement des zones de conflits, il y a des passerelles démultipliées entre sécurité intérieure et extérieure... tout cela bouleverse les rythmes et les limites qu'ont pu connaître les conflits dans le passé. La guerre d'Afghanistan se joue autant dans les vallées de la Kapisa qu'auprès de la population française ou du monde musulman en général.

Nous sommes ainsi confrontés à une sorte de continuité entre les différents enjeux. Du sens à nos engagements. Rapport parlementaire sur le renforcement de la fonction d’anticipation stratégique depuis les livres blancs de 2008. Comment enrayer la démilitarisation de l'Europe ? Sécurité globale : fondamentaux pour aujourd'hui et pour demain. Document préparatoire à l’actualisation du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale 2012. Horizons stratégiques. Chronique RDN n°3 – Réflexions sur le Livre Blanc 2012. Pour ce troisième bloc-notes AGS/RDN, je voudrais m’interroger avec vous sur l’utilité en 2012 d’un nouveau Livre blanc pour la défense et la sécurité nationale. On me rétorquera que c’est une promesse faite aux Français par le Président de la République et donc que sa réalisation ne se discute pas, qu’il faut simplement se mettre au travail. Je l’admettrai bien volontiers tout en notant que cela devient un rituel et cela me gêne.

En 2007, alors que ce n’était pourtant pas une promesse de campagne, l’entreprise avait démarré au début de l’été qui ouvrait la nouvelle législature. Et conscient de l’importance de l’enjeu, on avait alors pris le soin de convoquer une vaste Commission, de l’ouvrir politiquement substantiellement, de lui assigner un large champ de consultations et d’investigations puis d’en diffuser la matière une fois visée par le Parlement et le Président. Justement nous y voilà.