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ABUSAADA / AL ATTAR : Alors que j'attendais

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Les Rencontres à l'échelle – Festival pluridisciplinaire international à Marseille. Mohammad Al Attar. Mohammad Al Attar. Né à Damas en 1980, Mohammad Al Attar est le nouveau nom du théâtre syrien.

Mohammad Al Attar

Ses textes écrits en arabe (dialecte syrien) sont aujourd’hui traduits et joués en anglais et en allemand. Diplômé en Littérature anglaise de l’Université de Damas et en Etudes théâtrales de l’Institut supérieur des Arts dramatiques de Damas (2002), il obtient en 2009 une bourse pour faire un MA en Applied Drama au Goldsmiths College à l’Université de Londres (2010). Theatre-contemporain.net. Extraits et interview (en anglais) Writing as a tool of protest, The Economist. MOHAMMAD AL ATTAR is an acclaimed young Syrian playwright; his work explores social relations, personal conflicts and everyday life.

Writing as a tool of protest, The Economist

His own life has been peripatetic—born and educated in Damascus, he also studied in London and now lives in Beirut. He wrote his first play, “Withdrawal”, after graduating in 2007. Interview with Mohammad Al Attar, Antigone Dramaturg — Open Art. 24 October 2014.

Interview with Mohammad Al Attar, Antigone Dramaturg — Open Art

Interview with Omar Abusaada, Antigone Director — Open Art. 8 October 2014.

Interview with Omar Abusaada, Antigone Director — Open Art

Tabitha: It’s been great chatting to you informally around the edges of the workshops. Thanks for letting me interview you so that others can have a glimpse into your work and the creative process going on. Scène: Vidy donne de la voix aux artistes syriens - News Culture: Théâtre. «Cinq ans après la révolution, Alors que j’attendais est l’occasion de faire un point sur la situation en Syrie.

Scène: Vidy donne de la voix aux artistes syriens - News Culture: Théâtre

Quand la révolution a commencé, j’ai été enthousiasmé, présent dans les rues, actif à travers le théâtre, explique le metteur en scène Omar Abusaada (39 ans). Mais cinq ans plus tard, mon présent n’a rien à voir avec celui que j’espérais. Je pense qu’il est important de comprendre pourquoi nous en sommes arrivés là, alors que nos idéaux n’ont pas changé.» A Vidy, mercredi et jeudi prochains, les artistes syriens prendront la parole. Entre exil et désenchantement, doutes et résistance. Mises au point douloureuses Fiction inspirée librement de faits réels, Alors que j’attendais dévoile l’intimité d’une famille autour de Taim, un artiste trentenaire dans le coma.

Mohammad al-Attar Play Explores Syria Uprising. Théâtre syrien, art hors-sol. «Le théâtre doit rester en vie car sans lui, le monde deviendrait plus solitaire, plus moche et plus pauvre», prophétisait le dramaturge syrien Saadallah Wannous devant l’assemblée de l’Unesco, le 27 mars 1996.

Théâtre syrien, art hors-sol

Pour la première fois en trente ans, un auteur de théâtre arabe y prononçait le discours inaugural de la Journée internationale du théâtre. Surprise, c’est sous le régime liberticide de Hafez el-Assad que l’œuvre théâtrale la plus subversive du monde arabe avait pris forme. Malgré les arrestations, la censure et la cooptation, le théâtre indépendant et engagé n’a ­jamais cessé de libérer les mots et de provoquer la pensée sous le règne du dictateur syrien (1971-2000). Paradoxe, c’est à la suite de l’insurrection populaire débutée en mars 2011 pour renverser le régime de son fils et successeur Bachar el-Assad que beaucoup de jeunes dramaturges ont failli laisser tomber le théâtre.

«Pendant un an, je n’ai rien produit. L’exil à l’origine du théâtre syrien. La Syrie nous plonge dans le coma. Scènes Impossible pour un événement culturel d’aujourd’hui, de pas évoquer le drame syrien.

La Syrie nous plonge dans le coma

Le Kunsten (à la Balsamine à Bruxelles) et le prochain Festival d’Avignon ont invité le metteur en scène syrien Omar Abusaada à présenter « Alors que j’attendais » écrit par Mohammad Al Attar. On est à Damas, au chevet de Tym, un jeune homme qui a participé aux révoltes pacifiques du printemps arabe en 2011, qui a filmé les manifestations de rue et fut pourchassé par les sbires d’Assad jusque dans leurs prisons. Il a été tabassé par des « inconnus » et se retrouve chez lui dans un coma profond. La scène est divisée en deux. On est ici loin des images habituelles de la guerre et de ses drames incommensurables. En exil On suit à travers les visites de la famille et des amis le drame depuis la fin des rêves démocratiques du printemps syrien de 2011.

"Chronique d’une révolution orpheline" Mohamed El Attar et Leyla Rabih. La douleur des femmes et la folie des hommes. Deux représentations seulement à Amman, il y a quelques jours, pour un travail théâtral exceptionnel : la « réinterpétation », par des réfugiées syriennes, des Troyennes, une pièce écrite par Euripide il y a presque deux mille cinq cents ans.

La douleur des femmes et la folie des hommes

A l’origine du projet, une Britannique, Charlotte Eargar, qui a découvert cette oeuvre lorsqu’elle couvrait la guerre de Bosnie, au début des années 1990. Le texte ne l’a jamais quittée. Tandis que la guerre faisait rage en Syrie, elle a réussi, avec ses proches, à mobiliser sur ce projet des organisations et à réunir des fonds. Prévue pour se tenir à l’origine dans la Békaa au Liban, l’initiative a finalement vu le jour dans la capitale jordanienne. The Independent. "I have a scream I have to let out – I want the world to hear it.”

The Independent

So says Suad, a young Syrian woman who fled her homeland for Jordan. It’s one of the most powerful moments in a new documentary, Queens of Syria, which follows a 2013 theatre project run with Syrian refugee women in the Jordanian capital, Amman, to stage a new version of Euripides’s tragedy, The Trojan Women. The laments of the women of Troy, grieving for dead husbands and children and the destruction of their homes, may have been written in 415 BC – but we see how they ring all too-true to these modern victims of war, and how the women become passionate about using this ancient Greek text to tell their own stories. “This is real ... it’s not just in Troy,” says one young woman, Maha, to the camera. “This has happened for real. Where Theatre Has Failed :The Syrians Omar Abusaada and Mohammad Al Attar. Rolf C.

Where Theatre Has Failed :The Syrians Omar Abusaada and Mohammad Al Attar

Hemke.