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Prime à la casse

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Les primaires à droite : formidable succès... UMP, camouflons l'échec en attendant la catastrophe. La semaine passée, l'apercevant débiter son baratin en usine devant un parterre casté, dans un remake pourri du pourtant pas fameux "La Conquête", regardant droit dans les yeux un ouvrier à qui il affirmait des trémolos dans la voix que grâce à la réforme sa retraite serait garantie, j'éprouvais à nouveau ce puissant dégoût que, grâce à des heures de méditation zazen et à la lecture de l'intégrale de Guy des Cars, j'avais réussi à esquiver ces deux dernières années lorsque son nom revenait dans la conversation. La campagne présidentielle est lancée, il va nous falloir reparler du commis des puissants. L'embellie est "nette" parait-il et il n y aura pas assez de C dans l'Air et d'éditos exaltés de Valeurs Actuelles pour nous convaincre que l'homme du mouvement perpétuel est de retour : +6 points de popularité.

Notre glorieux monarque aurait de nouveau la gagne (c'est le mot d'ordre dans les rédactions). 1 / Le chômage "Travaillez plus, pour gagner plus ? " Le grand double ratage UMP. Sarkozy rattrapé par les vrais sujets. La-dette-et-le-deficit-publics-francais-depuis. Pressé d’avoir son avion, Sarkozy a acquis un Airbus ancien au prix du récent…et a dû acheter des moteurs neufs pour 23,4 millions d’euros. Nicolas Sarkozy, pressé de renouveler la flotte gouvernementale, a acheté un avion ancien au prix du récent. Rien de grave, s’il n’avait pas fallu in fine acheter des moteurs neufs. Surcoût de l’opération, 23,4 millions d’euros, selon le rapport de la Cour des comptes, qui détaille le financement du nouvel A 330-200 de l’Elysée.

Petit retour sur une saga, débutée le 15 février 2008. Ce jour là, le chef de l’Etat major particulier de Nicolas Sarkozy notifie à Matignon la décision de renouveler la flotte gouvernementale, avec une exigence de délais : le nouvel avion du président doit être prêt à l’été 2010. De cette exigence vont naître de considérables surcoûts. Vendu par ILFC 45 millions d’euros, l’avion est finalement acheté 50 millions d’euros par l’Etat. Premier surcoût identifié par la Cour des comptes, 5 millions d’euros.

Mais le plus gênant n’est pas là. Bref, l’Etat a acheté du vieux au prix du récent, et cela a fini par lui coûter 23,4 millions d’euros. Affaire Carla Bruni-Sarkozy : la chronologie. | Sarkozysme culturel. Dette-publique-de la France - évolution.

Réformes - Projets

La Cour des comptes dresse un bilan négatif de la sécurité depuis 2002. La réforme de la taxe professionnelle coûte nettement plus cher. Finances publiques : le rapport que Sarko n'a visiblement pas lu. Le premier d'entre eux livrait des conclusions intéressantes, peu explicitées dans les constats et recommandations énoncées par Nicolas Sarkozy à son assistance. Le rapport sur la situation des finances publiques, réalisé par Paul Champsaur et Jean-Philippe Cotis, donne en effet quelques résultats gênants pour l'argumentaire sarkozyen. 1.

Le déficit structurel du budget s'est aggravé en de 2000 à 2003, puis à nouveau en 2007 et 2008. Qui gouvernait la France depuis 2002 ? 2. 9. Sarkozy: Opération enfumage sur la retraite. La baisse des impots ne fait pas la croissance. Les faits sont tétus, les chiffres aussi, et voilà le tout sous forme d’une courbe qui démontre que chez nous aussi la baisse des impots pour les riches ne fait pas la croissance. Encore une fois, la grotesque théorie du ruissellement se prend une claque. Regardez cette courbe qui représente le taux marginal supérieur de l’impôt sur le revenu, c’est à dire celui de “la dernière tranche“.

Cela depuis 1950. Vous observez donc que la croissance du PIB mensurée en jaune clair, n’est pas lié à la baisse ou non des impôts pour les plus riches. Je vous ai déjà expliqué dans un précédent billet que depuis 2002, cette baisse et ces cadeaux fiscaux représentaient actuellement plus de 30 milliards d’euros en année pleine. On notera et c’est un rappel, que ces baisses d’impôts ont commencé dans les années où la financiarisation de l’économie à commencé elle aussi. Avec la chasse aux bonus, aux rémunérations folles et aux paquets de fric pour les uns tandis que les autres devaient devenir flexibles. ”L’Etat perd 100 milliards de recettes fiscales!” - Edition - Larrouturou - interview. Plus que jamais, l'inventeur de "la semaine de 4 jours" prône "le partage du travail" et "un nouveau contrat social".

A l'heure où l'Assemblée vote l'allègement de l'ISF, il estime que l'Etat s'assurerait 100 milliards de recettes fiscales supplémentaires par an s'il revenait à la fiscalité de l'an 2000. Interview de ce joyeux pessimiste (propos recueillis le 10 juin 2011). Comme celui d'Edouard Tréteau ("Quand le dollar nous tue") ou de Myret Zaki ("La fin du dollar"), votre livre est très alarmant sur la situation de la dette américaine Il a trois problèmes aux Etats-Unis dont la dette est aujourd'hui abyssale : . l'injection d’argent dans le circuit est de moins en moins efficace pour relancer la machine : c'est comme une voiture qui roulerait encore, mais doit s'arrêter tous les trois cents mètres à cause d'une fuite d'essence, . le chômage remonte, . les fonds privés font de moins en moins confiance à la dette américaine et se désengagent des bons du trésor. 1) prévenir les gens.

Bilan de 5 années de présidence Sarkozy et maj prés UMP. Action de Sarkozy suivie à la loupe - Le Figaro - Politique. Alors que l'UMP lance son «tableau de bord de suivi des engagements» présidentiels, des étudiants en sciences politiques ouvrent un site pour vérifier les promesses du chef de l'Etat. Alors que Nicolas Sarkozy fête aujourd'hui ses six mois au pouvoir, deux initiatives séparées tentent de mesurer ce que le chef de l'Etat et son gouvernement ont accompli durant ces 180 jours.

L'UMP, tout d'abord, a lancé depuis ce matin son «tableau de bord de la réforme». Cette initiative, annoncée par Patrick Devedjian lors des journées parlementaires de l'UMP début octobre, vise à «suivre les promesses qui ont été faites durant la campagne électorale» et leur mise en œuvre. Concrètement, chacun des 15 grands engagements du programme de Nicolas Sarkozy se voit attribuer par l'UMP un «indicateur d'avancement», dont le parti de la majorité prend garde de préciser dans la «charte» expliquant le tableau qu'il est «subjectif, fixé par l'UMP en tant que garante des engagements pris».

Nicolas Sarkozy a pour bilan un quinquennat fait d'affaires et de mauvais chiffres. En ce 1er février, l'heure n'est pas encore venue de faire le bilan complet de l'action de Nicolas Sarkozy au pouvoir. Néanmoins nous nous rapprochons à grand pas de la fin de son "règne" et il est donc temps de jeter sur une feuille quelques éléments incontestables de son exercice du pouvoir. A l'image de son parcours personnel au RPR et à l'UMP, son quinquennat aura été chaotique et lui qui vantait aux Français une "République irréprochable", on ne peut pas affirmer que ces cinq années passées auront été tout sauf un fleuve tranquille puisque émaillées d'affaires, scandales, magouilles et condamnations en tout genre, "mouillant" ministres et entourage voire le chef de l'Etat lui-même : Pour mémoire, elles ont pour nom : Dans quel état se trouve la France après le passage de Nicolas Sarkozy aux affaires ?

Quelques données chiffrées agrémentées de graphiques vont vous aider à la compréhension de la situation : Economie : Population : Liberté : Corruption : Sécurité : Education : Santé : Energie : Le grand flop des heures sup. (photo : Robbert van der Steeg - Flickr - cc) Le 21 mai dernier le gouvernement a diffusé une étude réalisée par la Dares, le service statistique du ministère. Elle dresse un bilan mauvais, très mauvais même du dispositif des heures supplémentaires défiscalisées issues de la fameuse loi Tepa (travail emploi et pouvoir d’achat), loi qui créait entre autres le fameux bouclier fiscal.

D’abord, 80% des salariées du secteur concurrentiel déclarent être dans des entreprises qui ne font pas faire des heures sup. Vous direz donc 20% font des heures sup'. Même pas. D’après la Dares, c’est moins de la moitié qui auraient bénéficié d’heures sup. Pourtant les salariés réclament des heures sup ! Ça, c’était le rêve du gouvernement, les salariés allaient réclamer de travailler plus pour gagner plus. Et les salariés restent attachés aux 35 heures Ils sont incorrigibles ! Ca fait un pour un non ? Pas du tout ! Moralité ? La politique de l’emploi en France a tout faux. Du même auteur. Heures sup : le rapport qui accable.

Finances publiques : le rapport que Sarko n'a visiblement pas lu.