Sihame Loukili TGM.
Merca secil. Rayss mohamed. Deniz akin. Sebastien Rosée. Jott, la doudoune qui part à la conquête du monde Emre Celik. Jott, qui a débuté l’année 2016 avec sept boutiques, la conclura avec vingt-huit points de vente.
On appelle cela grandir rapidement. Sur ces 21 ouvertures, 17 l’ont été en franchise, un peu partout en France. Pas mal du tout pour une marque créée à Marseille il y a six ans seulement. « Nous avons besoin de 50 à 80 m² pour exprimer notre concept, avance Daniel Barbier, directeur du réseau chez Jott. Le tout en jouant au maximum avec les couleurs pour attirer l’œil. La présentation choisie, via des produits pochonnés, nous aide à pouvoir nous déployer sur de si petites surfaces. » Spécialisée dans la doudoune urbaine – comprendre « jolie », « colorée » et répondant aux tendances de la mode –, Jott ne fait heureusement pas que cela. Et à voir les chiffres, cela fonctionne plutôt pas mal. Les enjeux Déployer un concept jeune (six ans) partout en France et même à l’étranger. Stan Smith, la chaussure iconique d’Adidas Silan Acar. Contrairement à ce que l’on croit, la chaussure blanche Stan Smith n’a pas été créée par le joueur de tennis américain Stan Smith.
Mais par le joueur de tennis français Robert Haillet, il y a près de cinquante ans. En 1963, celui qui a été trois fois champion de France conçoit pour Adidas une chaussure destinée aux joueurs de tennis, un sport considéré à l’époque comme un sport amateur. Elle est blanche, dispose d’un cuir aéré par trois rangées de trous et dispose à l’arrière d’un système de protection du tendon d’Achille, reconnaissable à sa couleur verte et portant le logo de la marque Adidas.
Moins de dix ans après, en 1973, Adidas signe un contrat avec le joueur américain Stan Smith, numéro un mondial ces années-là. Celui-ci avait gagné deux Coupe Davis, Adidas s’était dit qu’il serait plus porteur, pardon, vendeur. Une véritable vedette À la fin des années 80, la Stan Smith voit sa gloire amplifiée par des tubes de hip hop.
En dates.
Bienvenue au marketing de l'emotion Leila. Pokémon Go, derrière le jeu, un très gros business. HUSEYIN CIFTCI. Une épidémie a gagné les Français : ils marchent pendant des kilomètres, le regard rivé sur leur smartphone, s'arrêtent pour tapoter sur leur écran, puis se lancent dans des danses victorieuses.
Plus bizarre encore : ils discutent avec des inconnus de "PokéStops" ou de "Rondoudou". Si cela ne vous dit rien, vous devez avoir passé l'été dans une grotte. Pour les autres, nul doute que vous savez ce qui leur arrive : ils ont été contaminés par Pokémon Go, le jeu lancé début juillet. Ou plutôt le raz-de-marée qui a balayé le secteur des applications mobiles et a fait exploser en un temps éclair le nombre de téléchargements (plus de 100 millions en moins d'un mois). "C'est du jamais-vu ! " >> A lire aussi : la réalité virtuelle va bouleverser vos loisirs. Toute une génération a replongé dans une madeleine de Proust, la chasse aux Pokémon… dans une version plus moderne. A tout seigneur, tout honneur, c'est à eux que va revenir la meilleure part du jackpot.
Tous droits réservés Philippe Robert. Nabil oualhadj. "Nous sortons de la publicité toute-puissante" sofian fekar.