background preloader

G20 Toronto

Facebook Twitter

Les limites du modèles. G20 de Londres. G20. G20 de Pittsburgh. Crise financière. Site officiel. Basel Committee. The Basel Committee on Banking Supervision provides a forum for regular cooperation on banking supervisory matters. Its objective is to enhance understanding of key supervisory issues and improve the quality of banking supervision worldwide. The Committee's members come from Argentina, Australia, Belgium, Brazil, Canada, China, European Union, France, Germany, Hong Kong SAR, India, Indonesia, Italy, Japan, Korea, Luxembourg, Mexico, the Netherlands, Russia, Saudi Arabia, Singapore, South Africa, Spain, Sweden, Switzerland, Turkey, the United Kingdom and the United States. The present Chairman of the Committee is Mr Stefan Ingves, Governor of Sveriges Riksbank. More... Public consultation is an integral element of the Basel Committee's standard setting process. What's new.

Avis PS. Avis UMP. Dans moins de six semaines les Français seront appelés aux urnes afin d’élire leurs 74 députés au Parlement européen. Ce 25 mai, pour beaucoup de Français, ce sera l’occasion de sanctionner, à nouveau, la gauche au pouvoir. Après son revers cinglant aux municipales, François Hollande a gardé la même équipe et la même ligne politique. Puisque le premier avertissement adressé par les électeurs en mars a été méprisé, seul un second désaveu en mai pourra le contraindre à sortir de l’impasse dans laquelle il enferme la France. Mais au-delà du vote sanction, ce scrutin conduira les Français à choisir entre une Europe immobile et une Europe qui agit.

Acceptons-nous une Europe qui subit, une Europe qui reste léthargique face aux grands défis de la mondialisation ? Le choix de l’immobilisme est celui du Parti socialiste. Le Front national, quant à lui, menace les Français en voulant casser l’Europe. L’UMP est le premier parti de France. Yuan réévalué. La Chine a fait un geste de nature essentiellement politique avant la réunion du G20 les 26 et 27 juin à Toronto (Canada) en annonçant, samedi 19 juin, sa décision de favoriser une plus grande "flexibilité" du taux de change du yuan – ce qui reviendrait à une certaine appréciation de sa monnaie réclamée par les Occidentaux.

Le yuan a atteint, lundi, son plus haut niveau en cinq ans sur le marché interbancaire, à 6,8089 pour un dollar. L'annonce de Pékin n'a pourtant pas tout à fait convaincu observateurs et économistes. La Chine subit une intense pression internationale, notamment américaine, les pays occidentaux lui reprochant de sous-évaluer sa monnaie pour assurer la compétitivité de ses exportations. Mais elle ne cesse de répéter qu'elle ne cédera pas aux oukases des Etats-Unis. La banque centrale chinoise a précisé à ce sujet qu'un "taux de change plus flexible n'est pas la réponse à des déséquilibres de la balance commerciale avec tel ou tel pays". Stratégie d'Obama.