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Edition scientifique

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ILLUSTRATION: Beginner’s Guide to Peer Review – Frontiers Blog. By Chloe Schmidt and Katherine Lawson Submitting your first manuscript can be daunting to those who are unfamiliar with the process. To help clear up any uncertainty surrounding manuscript submission and peer review for first-timers, we’ve put together an illustrated guide of some of the basics. To see the Illustrated Beginner’s Guide to Peer Review in full size, either click on the image or download the PDF at this link: Related Open Science and scholarly publishing roundup - May 15, 2015 Selected news, views and information on Open Science and scholarly publishing from the past week The Guardian Will traditional science journals disappear? In "Open Science News" Frontiers Collaborative Peer Review: criteria to accept and reject manuscripts In "Peer Review"

Dora - ASCB. There is a pressing need to improve the ways in which the output of scientific research is evaluated by funding agencies, academic institutions, and other parties.To address this issue, a group of editors and publishers of scholarly journals met during the Annual Meeting of The American Society for Cell Biology (ASCB) in San Francisco, CA, on December 16, 2012. The group developed a set of recommendations, referred to as the San Francisco Declaration on Research Assessment.

We invite interested parties across all scientific disciplines to indicate their support by adding their names to this Declaration. The outputs from scientific research are many and varied, including: research articles reporting new knowledge, data, reagents, and software; intellectual property; and highly trained young scientists. Funding agencies, institutions that employ scientists, and scientists themselves, all have a desire, and need, to assess the quality and impact of scientific outputs. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.

Observatoire du numérique de l'enseignement supérieur. Edition. Entre 1996 et 2012, le nombre d’articles scientifiques publiés annuellement est, selon les chiffres communiqués par Scimago (www.scimagojr.com) passé de 1 134 000 à 2 250 000, avec une nette accélération depuis 2004, en phase avec la percée des pays émergents (et tout particulièrement de la Chine). Dans le même temps quelques grands éditeurs internationaux ont imposé aux bibliothèques des offres de « big deal » qui mettent en difficulté les institutions et ont contribué à donner une image de l’édition fort éloignée de l’image initiale « au service de » la science, des scientifiques et de leurs institutions. Considérer que la médiation éditoriale n’a plus de sens, plus d’utilité, plus de valeur ajoutée est aussi peu pertinent que de considérer que l’intervention de l’enseignant n’a plus lieu d’être car tous les cours sont accessibles facilement dans la « grande bibliothèque/école du web ».

L’Open Access : vers une nouvelle pratique de la communication scientifique. Le développement des archives en accès libre, défendu par les mouvements pour l’Open Access, et de l’auto-archivage des publications scientifiques sont significatifs des besoins de la recherche scientifique en termes de communication et de diffusion. Permettre à tous l’accès aux publications scientifiques semble être un élément favorisant la visibilité des travaux de recherche et cela sur une échelle de temps beaucoup plus courte qu’au travers des processus classiques de publication. L’Open Access en particulier fait l’objet de nombreux débats communs à toutes les disciplines scientifiques et nécessite d’être abordé dans le contexte historique de la publication scientifique.

Cette nouvelle pratique de l’édition scientifique est symptomatique des modifications sociétales induites par l’accès libre aux contenus partagés volontairement sur Internet, et se rapproche donc des débats sur le téléchargement gratuit, la diffusion des œuvres et la protection des droits d’auteurs. Richard Barbrook. L’édition scientifique : son modèle, ses scandales.

En 1665, deux premières revues savantes firent leur apparition : Le Journal des Sçavans et Philosophical Transactions of the Royal Society of London. Leur objectif était la publication d’articles scientifiques afin de favoriser leur diffusion et de développer l’archivage à long terme des résultats scientifiques. En 2009, il existait environ 24 000 journaux à comité de lecture auxquels quelques 1 million d'auteurs contribuaient. En résultent en moyenne 1,5 million de publications/an lues par 10-15 millions de lecteurs dans plus de 10,000 institutions [1], ces nombres augmentant de 6 à 7 % chaque année. Pour réguler ce foisonnement de publications, des maisons d’édition scientifiques se sont développées avec pour rôle initial la diffusion des résultats scientifiques et le maintien de la qualité des publications. Une version de ce texte est disponible en anglais : Scientific publication : the model and scandals C’est la politique de la maison (d’édition) Edito de The Lancet (en anglais) :