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Pour l’intimité numérique. Pour l'une des fondatrices du Forum d'Avignon, il est urgent que le droit reconnaisse la valeur patrimoniale des données numériques de chaque individu. LE MONDE | | Laure Kaltenbach (Directrice générale et membre fondateur du Forum d'Avignon) et Olivier Le Guay (Responsable éditorial et digital au Forum d'Avignon) L’équilibre entre la valorisation des traces que chacun laisse sur Internet, véritable or noir du XXIe siècle, et la nécessaire protection des libertés individuelles, constitue l’ADN, l’identité numérique, désormais indissociable de chaque humain. Nous proposons que les principes suivants orientent cette future déclaration. Article 1 : « Les données personnelles culturelles sous-tendent l’identité numérique de chaque membre de la famille humaine, ainsi que la reconnaissance de sa dignité intrinsèque et de sa diversité.

Big génome avant Big Data. La donnée personnelle culturelle, c’est notre intimité numérique. Au contraire, il faut agir vite. Travail et travailleurs de la donnée. Comment les chercheurs en sciences sociales doivent-ils utiliser les gisements de données en provenance du web ? Transforment-ils si en profondeur la méthode scientifique ? Comment en extraire du sens tout en restant respectueux des données toujours plus personnelles des utilisateurs ? … Telles sont quelques-unes des questions de fond qui se posent aux chercheurs. Avec le lancement de l’enquête sociologique Algopol sur Facebook, une enquête sociologique qui cherche dans sa forme même une nouvelle forme de relation avec les enquêtés, Irène Bastard, Dominique Cardon, Guilhem Fouetillou, Christophe Prieur et Stéphane Raux proposent de poser les bases d’un nouveau contrat relationnel entre les chercheurs et l’objet de leur enquête : nous, les internautes.

Voilà qui nous intéresse forcément ! A l’heure des discours euphoriques sur les promesses des big data, que peuvent faire les sciences sociales des données du web ? L’oubli du travail des données 1. 2. Les droits de l'homme numérique. ABOU DABI – Nous avons créé un monde en ligne dont l'immensité dépasse notre compréhension. Pour vous faire une idée de son ampleur, imaginez ceci : en 2012, le nouveau système d'adresses Internet IPv6, a créé plus de 340 trillions de trillions de trillions (3,4 x 1038) d'adresses, soit environ 4,8 x 1028 adresses pour chaque personne sur terre.

Cela devrait suffire à desservir les cinq milliards d'appareils qui se connectent actuellement à Internet et les 22 milliards d'appareils prévus pour 2020. La partie la plus difficile de l'explosion de la connectivité n'est pas de créer de la capacité, mais la façon dont elle doit être gérée. Nous devons répondre à de graves questions sur notre mode de vie. Tout le monde doit-il être connecté en permanence à tout ? Qui détient quelles données, comment les informations doivent-elles être rendues publiques ?

Ces questions ne peuvent plus être ignorées. Les gouvernements ont certainement un rôle important à jouer. Identité numérique : exploitation des données personnelles ou élément de croissance ? A l’heure des débats sur l’usage commercial des données personnelles et sur la surveillance publique, l’identité numérique fait-elle partie des domaines régaliens de l’Etat et dispose-t-elle d’une incidence économique ? En 2025, un quart de la population mondiale disposera d’un compte sur un réseau social. Mais si les données issues de ceux-ci permettent aux entreprises de bénéficier d’insights précieux permettant de d’imaginer nouveaux produits et services, d’autres pratiques tels que la revente de données personnelles ou la récolte de données intimes par des dispositifs de tracking de manière non consentie existent.

Et c’est le manque de transparence relatif à l’empreinte numérique de l’individu qui était au coeur du débat lors du forum sur l’identité numérique organisée par le MEDEF et Forum ATENA. Des nuances de choix dans les données à transmettre selon les usages Des risques de surveillance amplifiés avec le M2M et le Cloud. Être parent à l’ère numérique : un colloque pour outiller les parents. Audrey Miller, publié le 19 novembre 2013 Pas toujours facile d’être parent à l’ère numérique! Un colloque spécialement conçu pour les aider à apprivoiser les différentes facettes de la technologie, autant à la maison qu’à l’école, aura lieu à Montréal ce samedi 23 novembre. Cyberintimidation, identité numérique, réseaux sociaux et autres pourront enfin être démystifiés. C’est au Collège St-Jean-Vianney, à Montréal, qu’aura lieu le « Colloque parents 3.0 ». La journée commencera par une conférence de M. Sébastien Stasse, directeur d’école, intitulée « la technologie, qu’ossa donne?

« Le Collège St-Jean-Vianney considère que la formation aux parents, aux enseignants et aux élèves est un atout essentiel à une intégration réellement pédagogique des technologies et du iPad à l’école. Les frais d’inscription sont de 50 $ et incluent le repas et les pauses-café, ainsi qu’une participation au tirage d’un iPad mini comme prix de présence. À propos de l'auteur Audrey Miller Pour suivre l'auteur :