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Biohacking

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Microchip implant (human) - Wikipedia. A surgeon implants British scientist Dr Mark Gasson in his left hand with an RFID microchip (March 16, 2009) An RFID tag visible under the skin soon after being implanted.

Microchip implant (human) - Wikipedia

Several hobbyists have placed RFID microchip implants into their hands or had them inserted by others. Alejandro Hernandez CEO of Futura is known to be the first in Central America to have a Dangerous Things transponder installed in his left hand by Federico Cortes in November 2017. Nx 34mm x 0.4mm flat biopolymer shell. Applets can be deployed to the Flex One before or after implantation.

Theoretically, a GPS-enabled chip could one day make it possible for individuals to be physically located by latitude, longitude, altitude, and velocity. Haag, Stephen; Cummings, Maeve; McCubbrey, Donald (2004). Steve Ramirez et Xu Liu: Une souris. Un rayon laser. Un souvenir manipulé. L’Australie devient le premier pays à commencer à micropucer sa population - Planetes360.

L’Australie est peut-être le premier pays au monde à implanter des micropuces à sa population.

L’Australie devient le premier pays à commencer à micropucer sa population - Planetes360

NBC News avait prédit que tous les Américains aurait leur micropuce en 2017, mais ils semble que l’Australie les a déjà devancés. En 2010, CBS News a annoncé que le gouvernement Australien avait un projet potentiel d’implantation de puces RFID dans les métiers liés au système de santé. Actuellement, il semble que ce projet a commencé à se mettre en place, mais l’impulsion n’est pas le résultat de réformes proposées pour les soins de santé, mais plutôt d’une campagne de propagande intelligente qui assimile la puce RFID à nous rendre surhumains, et les gens commencent à supplier de se faire implanter. Avec l’intitulé « Les Austaliens adoptent la technologie de la puce qui rend surhumain », le plus grand média Australien, news.com.au (News Corp Australia) annonce : Shanti Korporaal, de Sydney, se trouve au cœur du phénomène après avoir eu deux implants insérés sous la peau.

Elle a dit à news.com.au : La prochaine étape de notre évolution est de devenir cyborgs. Ce n'est pas encore Terminator, mais nous y sommes presque.

La prochaine étape de notre évolution est de devenir cyborgs

Le recours fréquent aux prothèses cybernétiques neurologiques redéfinit le rapport entre l'homme et la machine comme le présente un article de Quartz. Notre évolution nous rapproche de plus en plus du célèbre cyborg de James Cameron. «L'avènement des interfaces cerveau-machine peut forcer l'homme à redéfinir où se trouve son humanité; cela peut brouiller la frontière entre l'homme et la machine», estime Arthur Saniotis, chercheur à l'école de médecine de l'université d'Adélaïde. Il est avec Maciej Henneberg l'auteur du livre The Dynamic Human. Dans la préface du livre, Robert Eckhardt, professeur de génétique du développement et de la morphologie évolutionniste à l'université Penn State, note qu'environ 59.000 personnes sont déjà équipées de prothèses neurologiques à travers le monde. Puces dans le cerveau Le musicien Neil Harbisson équipé d'une prothèse neurologique via Flickr.

Tissus cyborg: les premières fusions homme-machine. Sur le plan de la technologie, comme sur celui de la biologie, Charles Lieber, de l’université de Harvard, et ses collègues, ont réalisé une «première».

Tissus cyborg: les premières fusions homme-machine

Ils ont intégré des minuscules fils de silicium (leur diamètre est environ mille fois plus petit que celui d’un cheveu) et des transistors pas plus gros que des virus à une sorte d’éponge faite de biomatériaux comme le collagène. Sur cet échafaudage, ils ont cultivé différents types de cellules humaines –cardiaques et musculaires– mais aussi des vaisseaux sanguins et des neurones de rats. Ils ont ainsi réussi à fabriquer des fragments de chaire hybride, mi-électronique, mi-biologique. En trois dimensions de surcroît. Une prouesse devant laquelle Matthias Lutolf, professeur associé dans la section sciences et technologies du vivant de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), ne cache pas son enthousiasme: «Jusqu’ici, les laboratoires travaillant dans ce domaine n’avaient obtenu que des structures en deux dimensions.

Biohacking - the forefront of a new kind of human evolution: Amal Graafstra at TEDxSFU.