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Repenser le monde

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05.02.2011. Noam Chomsky : "Le déclin de l'influence occidentale" [LeMonde.fr] “L’Internet civilisé”, histoire d’un concept à géométrie variable. A revolution against neoliberalism? Ahmed Ezz, one of several NDP officials arrested since Egypt's revolution began [EPA] Editor's note July 2, 2013: This article was published shortly after the collapse of the Mubarak regime, however it raises crucial issues that still resonate with the current situation in Egypt. On February 16th I read a comment that was posted on the wall of the Kullina Khalid Saed's ("We are all Khaled Said") Facebook page administered by the now very famous Wael Ghonim. By that time it had been there for about 21 hours.

The comment referred to a news item reporting that European governments were under pressure to freeze bank accounts of recently deposed members of the Mubarak regime. By the time I unpacked this thread of conversation, 5,999 people had clicked the "like" button, and about 5,500 had left comments. This Facebook thread is symptomatic of the moment. Such figures may prove to be inaccurate. A systemic problem What is neoliberalism? Rhetoric vs. reality Parallels with America. Gene Sharp: Author of the nonviolent revolution rulebook. 21 February 2011Last updated at 10:42 By Ruaridh Arrow Director of Gene Sharp - How to Start a Revolution In an old townhouse in East Boston an elderly stooped man is tending rare orchids in his shabby office. His Labrador Sally lies on the floor between stacks of academic papers watching him as he shuffles past. This is Dr Gene Sharp the man now credited with the strategy behind the toppling of the Egyptian government. Gene Sharp is the world's foremost expert on non-violent revolution.

His work has been translated into more than 30 languages, his books slipped across borders and hidden from secret policemen all over the world. Continue reading the main story Key Steps on the Path to Revolution As Slobodan Milosevic in Serbia and Viktor Yanukovych in Ukraine fell to the colour revolutions which swept across Eastern Europe, each of the democratic movements paid tribute to Sharp's contribution, yet he remained largely unknown to the public. Catching fire Continue reading the main story. Computer Science and Philosophy - Computer Science at Oxford. Demain, l’intelligence des données. Par Hubert Guillaud le 07/09/07 | 19 commentaires | 10,284 lectures | Impression Quand on regarde l’avenir, on a souvent tendance à penser que le changement le plus radical reposera sur l’internet des objets, une intelligence qui va bouleverser notre relation avec eux et leurs relations entre eux.

Bien sûr, parce qu’on va les tenir dans nos mains, parce qu’ils vont bouger sous nos yeux, ces changements-là seront spectaculaires. Pourtant, demain, il n’y a pas que les objets qui seront intelligents : il y aura aussi les données. Et l’impact de ce changement pourrait bien être tout aussi radical. Voilà longtemps que Tim Berners-Lee nous explique que le web sémantique est l’avenir du web (voir la traduction de l’article originale dans la lettre de l’URfist de Toulouse de novembre 2001 .pdf). L’intelligence des données (au sens, plutôt, que l’on donne à “intelligence économique”), c’est d’abord leur abondance et leur accessibilité, même si chaque donnée demeure elle-même tout à fait brute. Effet Streisand. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'effet Streisand est un phénomène médiatique au cours duquel la volonté d’empêcher la divulgation d’informations que l'on aimerait garder cachées — qu'il s'agisse de simples rumeurs ou des faits véridiques — déclenche le résultat inverse. Par ses efforts, la victime encourage malgré elle l'exposition d'une publication qu'elle souhaitait voir ignorée. Il s'agit donc à proprement parler d'un « effet pervers »[1]. Origine[modifier | modifier le code] L'expression « effet Streisand » fait référence à un incident, survenu en 2003, au cours duquel Barbra Streisand avait poursuivi en justice l'auteur et le diffuseur d'une photographie aérienne de son domaine privé, Kenneth Adelman et Pictopia.com, afin d'empêcher sa propagation[2],[3]. Exemples notables[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code] Article connexe[modifier | modifier le code] Cybermanifestation. Et si Wikileaks ouvrait l'ère des Zones Autonomes Permanentes d'Information ?

Julian Assange n'est sans doute pas le Messie que tous les contestataires de l'AlterNet attendaient. Et Wikileaks n'est peut-être pas cette "Agence de renseignement du peuple" idyllique rêvée par son mystérieux et très warholien fondateur.Mais il est peut-être de ces hommes rares qui accidentent l'Histoire et changent son cours en agissant comme un agent du Chaos créateur d'une réalité inenvisageable jusque-là: j'ai nommé les fameuses "Zones d'Autonomie Temporaire" (TAZ en VO abrégée) théorisées dès 1985 par le penseur cyberpunk, philosophe, poète et piratologue Hakim Bey dans "TAZ", un ouvrage évidemment libre de droit sur Internet et régulièrement actualisé depuis . De quoi s'agit-il exactement ? "La TAZ est comme une insurrection sans engagement direct contre l'Etat, une opération de guérilla qui libère une zone (de terrain, de temps, d'imagination) puis se dissout, avant que l'Etat ne l'écrase, pour se reformer ailleurs dans le temps ou l'espace".

Qui est Hakim Bey ? La société de l’interaction et de la complexité » Article » OWNI, Digital Journalism. Pour Serge Soudoplatoff, la vraie caractéristique inédite de notre société moderne, c'est la complexité et la multiplicité des interactions en son sein. Comment gérer ce phénomène qui peut poser problème ? Internet n’est pas la première technologie de l’histoire de notre humanité qui accompagne des bouleversements fondamentaux. J’ai coutume de dire que l’invention de l’alphabet est la révolution la plus proche de l’Internet, et son usage n’a probablement pas été facile à ses débuts. Il n’est pas neutre de passer d’un dessin à une série de symboles abstraits.

Mais la construction de l’Internet est aussi une manière de résoudre des problèmes. Toutes les grandes révolutions technologiques qui ont marqué l’Humanité ont toujours été présentes parce qu’elles permettaient de franchir des étapes importantes. Quelle est donc la société qu’Internet nous aide à créer ? Il est toujours bon de retourner aux fondamentaux. À l’inverse, il est intéressant de chercher les invariants de l’humanité. Le deuxième âge d'Internet. 28 novembre 2009 — Commençons cette réflexion que nous vous avions promise sur l’évolution d’Internet par un souvenir qui nous est propre.

Lorsque nous lançâmes la Lettre d’Analyse de defensa (plus tard de defensa & eurostratégie, ou dd&e), en 1985, l’administration des impôts classa cette activité sous le label d’“acte intellectuel”, ce qui montre un certain bon sens. Le classement était justifié par le fait que les structures économiques de l’activité étaient réduites au minimum et qu’aucune des pratiques commerciales habituelles dans le monde de l’édition des périodiques (publicité, circuit de distribution, etc.) n’était présente dans l’édition de cette Lettre – comme c’est le cas dans la plupart de cette catégorie dite des “Lettres” (dite “Lettre d’Information” en général).

C’est ainsi que nous considérons aujourd’hui Internet, dans sa vertu évidente. Le “deuxième âge”, une nécessité de la crise »L’idée d’un “deuxième âge” d’Internet n’est pas une proposition théorique gratuite. LeWeb 2010 - Wikileaks Media Panel, Moderated by: Adrian Monck, World Economic Forum. L’art de la fuite. La philosophie politique de Julian Assange par lui-même. A titre de document et de contribution au débat, publie un texte écrit par Julien Assange en 2006, au moment de la fondation de Wikileaks.

Ce texte théorique éclaire rétrospectivement sa visée stratégique. Contrairement à ce qu’une lecture hâtive peut laisser penser, ce qui est proposé ici n’est pas tant une théorie du complot - du moins pas sous la forme classique de la dénonciation paranoïaque - qu’un usage heuristique du modèle organisationnel de la conspiration : un réseau de pouvoir dont on peut tracer la carte. Assange est un hacker. S’il modélise la structure d’un pouvoir, c’est pour en découvrir les failles. Son but n’est pas de crier à la conspiration, mais de trouver les instruments à même de rendre tout « pouvoir conspiratif » - c'est-à-dire toute gouvernance autoritaire fondée sur le secret partagé - impossible.

Que faire pour qu’un pouvoir de ce type ne puisse plus exister ? {*style:<b> « La sécurité cède le pas à la conspiration ». ( , acte 2, sc. 3. Julian Assange. Une « diplomatie culturelle » pour promouvoir les valeurs européennes. Certains pensent que la culture n'a d'autre but qu'elle-même. D'autres insistent sur la diffusion des œuvres au plus grand nombre. Enfin, il y a ceux qui, comme la Néerlandaise Marietje Schaake (Alliance des démocrates et des libéraux), voient la culture aussi comme un outil diplomatique. Dans un rapport présenté le 1er décembre, elle insiste sur son rôle de promotion de la démocratie, de la liberté d'expression et des droits de l'homme.

Entretien. Pourquoi la culture est-elle importante dans la diplomatie ? Marietje Schaake : La culture est utilisée pour encourager la participation démocratique, le développement, l'éducation, les droits de l'homme et la liberté d'expression. Mon rapport suggère d'utiliser les politiques dans ces domaines de façon plus cohérente et de les coordonner de façon stratégique. Vous proposez que chaque représentation de l'Union européenne (UE) dans le monde dispose d'un attaché culturel. MS : Les gens interagissent de plus en plus sur internet. Wikileaks devenu Cablegate, insurrection et/ou révolution. Wikileaks et la Guerre Mondiale de l’Information - legrandsoir sur LePost.fr.

Andrew Gavin MARSHALL LGS : Faut-il se méfier de Wikileaks ? Comment les grands médias manipulent-ils les documents publiés ? Quelle attitude les médias alternatifs doivent-ils adopter face à ces documents ? A qui profitent-ils réellement ? Introduction La publication récente des 250.000 documents de Wikileaks a soulevé un intérêt sans précédent, provoquant tout un éventail de réactions - des plus positives au plus négatives. Il y a ceux qui prennent les contenus des documents publiés par Wikileaks pour argent comptant, principalement à cause de leur présentation erronée donnée par les grands médias commerciaux. Il y a ceux qui considèrent que ces documents sont authentiques et qu’il suffit de savoir les interpréter et de les analyser. Puis il y a ceux, dont beaucoup font partie des médias alternatifs, qui émettent des doutes.

Et enfin, il y a ceux qui déplorent les fuites et les qualifient de « trahison » ou d’atteinte à la « sécurité ». Ceci, bien entendu, n’est que de la propagande.