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Protests

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: Les cinq semaines qui ont fait tomber Ben Ali | International. Journaliste:Karim Ouadia Mise à jour le jeudi 27 janvier 2011 à 15 h 52 HAE Le visage de la Tunisie ne sera plus jamais le même. Une révolte? Une révolution? C'est certainement un tournant important dans l'histoire de ce pays du Maghreb. Après 23 ans de règne sans partage, Zine El Abidine Ben Ali est évincé du pouvoir par des manifestations populaires qui ont démenti tous les pronostics. Les émeutes ont fait 100 morts, selon des informations compilées par l'ONU. Tout commence le 17 novembre 2010 lorsqu'un jeune marchand de légumes à Sidi Bouziz, dans le centre du pays, tente de se donner la mort en s'immolant par le feu.

Les autorités venaient de lui confisquer sa charrette, avec laquelle il sillonnait la ville pour vendre ses primeurs. La nouvelle fait le tour de la ville, qui bouillonne de colère. Le 22 décembre, un autre jeune se suicide par électrocution, en motivant son geste par le chômage dont il était victime. Le 29 décembre, un remaniement ministériel partiel est annoncé. Algeria and Tunisia Videos: Saturday's Protests in Algiers and Tunis. Tunisia (and Beyond) LiveBlog: Righting the Government Ship. 2135 GMT: Elaph reports that about 50 people are continuing a sit-in protest on Habib Bourguiba Avenue in Tunis, breaking the 8 p.m. curfew. 2105 GMT: President Fuad Mbazaa, addressing the nation on television, promised "a complete break with the past" with a "revolution of dignity and freedom" honouring "all the legitimate aspirations of the uprising".

Mbazaa's address followed the first meeting of the Cabinet, which proceeded despite reports that it would be delayed until Thursday. 2050 GMT: The Democratic Forum for Work and Liberty, after a meeting of the leadership, has confirmed that the withdrawal of its head Mustafa Ben Jaafar as Minister of Health is "final". A spokesman said,"We have decided to withdraw from the current government and non-participation.... Jaafar had resigned, in what the party called a "suspension" of participation, as a minister on Tuesday. 2045 GMT: Al Arabiya reports that 1800 political prisoners have been released in Tunisia. 1140 GMT: Picture of the Day? Tunisia and the Real Net Effect: Getting It Right on Protest and Social Media.

As with the uprising in Iran in 2009, this month's protests in Tunisia, culminating in the ousting of President Zine El Abidine Bin Ali, have sparked a debate about the role of social media in public resistance. While many seem to have been inspired and given hope by the roles of social media in helping to mobilise action or to spread news of developments, eternal net skeptic Evgeny Morozov continue to dissent. But he and his allies aren’t just dissenting.

Morozov, in his "First Thoughts on Tunisia and the Role of the Internet", re-invents the course of events to fit his pre-set narrative minimising the place of social media in activism. While I may not be a net-positive, I’m not as net-negative as Morozov and Co. To be up-front and accurate, I’m replying to Morozov's entire article, paragraph by paragraph: News from Tunisia looks good. The Jasmine Revolution? Oh, wait, they have. One thing to keep in mind is that revolutions will continue and Twitter won't go away anytime soon. As do I. Tunisia LiveBlog: What Emerges Today? 2045 GMT: Speaking on the BBC World Service, a young Tunisian said men between the ages of 18 and 40, armed with baseball bats, are gathering in neighbourhoods to protect their homes. 1830 GMT: Privately-owned Nesma TV is reporting that Imad Trabelsi --- the nephew of Leila Trabelsi, the wife of deposed President Ben Ali --- is dead. There are no details, but earlier in the day rumours had circulated on Twitter that Trabelsi had died as the family's homes in the Tunis suburbs were being ransacked yesterday.

Trabelsi, the nephew was named in a 2008 US diplomatic cable as a "particularly important economic actor" in the corruption of the Trabelsi family. In 2006, he had caused a scandal by reportedly stealing the yacht of a well-connected French businessman, Bruno Roger, Chairman of Lazard Paris. 1800 GMT: Channel 7, considered a propaganda outlet for the deposed President, has renamed itself National TV. We can hear helicopters overhead.

Pictures: Is This A New Military and a New Country? Tunisia Photo Essay: Demonstrations and a Police Raid. On Friday, amidst the events in Egypt, we noted another significant development in Tunis, quoting two journalists: We witnessed this afternoon how police and plainclothes stormed the demonstrators' camp at Place de Kasbah with tear gas and dogs. Very ugly scenes. Place de Kasbah since 1700 (1600 GMT) controlled by military, all tents and installations vandalised. Also clashes between demontsrators and police in Av. Bourguiba and centre of city. We added that Reuters had a brief reference to "police fir[ing] tear gas at anti-government protesters" but was far more concerned that "Islamists marched through central Tunis". The German journalists who helped us were Thomas v. der Osten-Sacken and Bernd Baier, who work for the Weekly Jungle World.

Egyptians and Tunisians Collaborated to Shake Arab History. Le "paradis européen" tourne au cauchemar pour les migrants tunisiens - international - toute l'actualité internationale. Home_theme © © France Info - Radio France Jouni a 26 ans, Jamal, 52 ans. Tous deux viennent de région de Gabes, dans le sud de la Tunisie. Il y a trois mois, ils ont embarqué à Djerba direction Lampedusa, pour un voyage "50/50 : une chance de passer, une chance de se noyer". Malgré la tempête, ils ont réussi à rejoindre le "paradis européen". Demain, Jouni et Jamal retourneront à Vintimille, leurs camarades d’infortune à Marseille, Nantes, Angers et Paris. Pourquoi l’armée Tunisienne doit se diriger vers la Lybie » Nawaat de Tunisie - Tunisia. Citoyen tunisien offrant des fleurs à des soldats.

Depuis le début de la révolution, les soldats sont devenues les nouveaux héros des tunisiens. Par Walid [eFighter] Pendant qu’un horrible génocide se perpétue à quelques kilomètres de chez nous avec des procédés presque jamais vus dans l’Histoire on ne peut que se poser la question de la nécessite d’agir au plan National. La seule façon d’agir face à du matériel militaire, en disant les choses comme elles sont, est de déployer une parade militaire pour servir de bouclier à de pauvres civils démunis et couvrir des caravanes d’aides humanitaires ô combien requises aujourd’hui en Lybie. En Tunisie, du matériel militaire est à disposition uniquement de l’armée Nationale, ce qui doit résulter en la concomitance de toutes les volontés nationales à ce que notre armée se dirige vers la Lybie pour assurer une mission de secours urgente. 1- De la question de la légitimité nationale et bipartite Tunisie-Lybie : TUNISIA and OPEN SOURCE REVOLT. Tunisia crisis: live updates | News.

A new Guardian video gauges the mood on the street in Tunis. One woman claims it is wrong to portray the uprising as chaotic and frightening. She says Tunisians are prepared to wait for a new government. A protester expresses anger at French media suggestions that the demonstrations have been influenced by Islamists. A picture of Facebook's founder Mark Zuckerberg featured on a placard carried by anti Ben Ali protesters in Washington. They were demonstrating outside Saudi Arabian embassy, according to Atlantic. It says: Zuckerberg's inclusion appears to symbolize the role of social media in helping the Tunisian people organize themselves for the overthrow of the government. Is this fanciful western thinking? He points out that there are 1.9m Facebook users in Tunisia, or 55% of the online population. The Egyptian dissident Mohamed ElBaradei seems to changing his line on street protests, which he now appears to support.

But he just tweeted this in Arabic and this in English: In Tunis. Tunisia: How Mohammed Bouazizi Sparked a Revolution. Tunisie : Nouvelles manifestations contre le gouvernement de transition | International. Des manifestants dans le centre de Tunis (19 janvier 2011) Photo : AFP/Fethi Belaid Trente-trois personnes appartenant à la famille de l'ex-président tunisien Zine el-Abidine Ben Ali ont été arrêtées mercredi, a annoncé la télévision locale. Elles seraient soupçonnées de « crime contre la Tunisie ». « Des enquêtes vont être menées pour qu'ils soient traduits en justice », affirme un communiqué d'une « source officielle » lu sur les ondes qui ont diffusé des images de bijoux et d'or saisis lors des arrestations.

L'ancien dirigeant Ben Ali, qui a quitté la Tunisie le 14 janvier dernier pour se réfugier en Arabie saoudite au terme d'un mois de contestation populaire, s'est vu interdire mercredi toute activité politique sur ce territoire. Le train de vie ostentatoire de son épouse, Leila Trabelsi, et de sa famille ainsi que l'emprise qu'ils exerçaient sur l'économie nationale suscitaient l'indignation au sein de la population. Manifestations hostiles au gouvernement de transition. Tunisie : Quatre morts dans des affrontements à Kef | International. Des manifestants ont brûlé des voitures de police à Sidi Bouzid, en Tunisie, après avoir appris la mort de deux détenus. Photo : AFP/Kahouli Des affrontements entre manifestants et policiers à Kef, dans le nord-ouest de la Tunisie, ont fait quatre morts et une quinzaine de blessés, samedi. Quelques centaines de personnes réclamaient le départ du chef de la police locale, selon une organisation syndicale.

Des témoins affirment qu'un policier a giflé une manifestante, provoquant la colère de la foule, qui a incendié le poste et des voitures de police. Selon le ministère de l'Intérieur, les policiers ont d'abord tiré des coups de semonce. Ils ont ensuite fait feu sur la foule, tuant deux manifestants sur le coup. Deux autres ont succombé à leurs blessures par la suite. Au moins un policier soupçonné d'être impliqué dans cette affaire a été arrêté. Par ailleurs, dans le centre-ouest du pays, les sites des mines de phosphate de Gafsa continuent d'être bloqués par des personnes sans emploi. Tunisie : Sécurité et Incidents. Tunisie : Trois ministres quittent le nouveau gouvernement | International. Il y a regain de tension en Tunisie, rapporte Alexandra Szacka. Contestés en raison de leur association au parti du président déchu Zine el-Abidine Ben Ali, le nouveau président Foued Mebazaa et le premier ministre Mohammed Ghannouchi ont démissionné, mardi, du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD).

Les deux politiciens qui font partie du gouvernement intérimaire tentent ainsi de prendre leurs distances de l'ex-président maintenant en exil. La défection des deux hauts dirigeants survient à la suite de la démission de quatre ministres, dont trois sont associés à la puissante centrale syndicale tunisienne UGTT, moins de 24 heures après la formation du nouveau gouvernement provisoire. L'UGTT, qui a joué un grand rôle dans les manifestations qui ont mené à la chute du président Ben Ali, « ne reconnaît pas le nouveau gouvernement ».

Ses porte-parole ont précisé mardi que la centrale n'acceptait pas la présence de membres de l'équipe du président déchu dans la nouvelle équipe. Tunisie.