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"Transparency and Accountability in Angola" Angola : 300 millions de dollars pour la campagne électorale. Éffarant ! Ce succès, à coup de centaines de millions de dollars, augure une victoire certaine du chef de l’État au scrutin présidentiel prévu en 2009 qui, de l’avis des observateurs, ne devrait être qu’une formalité. Face à une UNITA plutôt divisée et incapable de se défaire de son image d’un mouvement xénophobe, qui fait peur notamment aux métis, alors que le MPLA s’est présenté comme garant de la coexistence harmonieuse entre Angolais de toutes origines. Un message largement repris, pendant la campagne pour les législatives, dans les médias où la suprématie du MPLA a été patente.

Les partis d’opposition ont certes eu accès aux médias mais seulement à Luanda où sont diffusées la presse et les radios indépendantes. À l’échelle nationale, la scène était largement dominée par les médias d’État. Côté meetings, le MPLA en avait organisé un géant le 2 août à Zango, dans la banlieue de Luanda qui a réuni 200.000 personnes. L’auto-satisfecit d’Eduardo Dos Santos Des chiffres qui font rêver. Angola : Arnaques aux finances de l'Etat. Pour quelle raison le président d’une grande entreprise d’Etat peut-il faire un transfert de plusieurs millions de dollars sur un compte bancaire, simplement en réponse à un appel téléphonique dont le correspondant, à l’autre bout du fil, lui est totalement inconnu ? Pour quelle raison un honnête citoyen d’un pays du tiers-monde n’hésite-t-il pas à corrompre un policier dans la rue, alors qu’il n’a commis aucune infraction ?

Au fond, dans les deux cas, c’est pour la même raison. Quand, dans une société, les règles ne sont pas très bien définies, les citoyens se sentent coupables et leur attitude s’apparente à celle d’un homme obligé, malgré lui, d’exécuter l’ordre qu’on lui enjoint. Dans cet univers, le mensonge et la conspiration ont force de lois. A la fin du dernier millénaire, l’Angola a connu un cas très insolite d’arnaque. Le coup du Chinois : Un ministre dans le panier Encore un Chinois La Banque nationale de l’Angola, curieusement, sera victime ( ?) Deux histoires vraies. Angola : Arrogance du nouveau riche ou maladresse d’un ami un peu lourdaud ? Sans sommation, l’armée angolaise s’est, en effet, installée dans une partie du territoire considérée jusque-là comme congolaise et sans que son gouvernement prévienne celui de la RDC.

Une occupation suivie d’une expulsion immédiate des habitants de villages concernés jetés, du coup, dans une situation d’errance et d’indigence. C’est seulement après coup que Luanda revendiqua officiellement le territoire controversé. S’ensuivit malheureusement une communication précipitée et cacophonique des autorités congolaises qui ne contribua pas à baisser les tensions générées par l’action angolaise. À ce quiproquo frontalier s’est ajouté le drame des Congolais expulsés d’Angola dans des conditions qui auraient pu être humainement correctes, acceptables. La bizarre logique angolaise de dialogue après-coup La manière de procéder du gouvernement angolais dans l’affaire de Kahemba a été ressentie par les Congolais, au patriotisme de plus en plus à fleur de peau, comme de l’arrogance. Congoforum.be>>>> Angola : La richesse a changé de couleur. La disparition de Jonas Savimbi, leader du mouvement rebelle Unita, en 2002, met fin aux hostilités avec le Mpla.

La signature d’un accord de paix, qui s’ensuit, fait renaître l’espoir dans ce pays martyrisé. Cet accord permet à l’Angola, sur le plan politique, de faire ses premiers pas vers la démocratie. Dans la dynamique de la pacification des esprits, plusieurs journaux voient le jour dans le pays et des sujets considérés tabous, jusqu’alors, sont abordés sans crainte. La corruption, la mauvaise gestion de l’Etat, l’enrichissement illicite des dirigeants, sujets....très sensibles, sont débattus, sans retenue, au sein de toutes les couches de la population. La presse écrite privée prend activement part aux débats en suggérant des thèmes parfois très osés. Une nouvelle culture de débat démocratique s’installe tout doucement dans le pays. Certains observateurs de la politique angolaise, les moins avisés, croient à une tolérance politique de la part du pouvoir. Le choc est important. Angola : le nouvel hôpital de Luanda menace de s'effondrer.

Le parti au pouvoir, le Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA) a dépêché sur place une de ses députées, Ariana Afonso, pour constater les dégats. « Une structure construite aussi récemment ne devrait pas présenter ce type de problème, qui met la vie des patients en danger », a-t-elle déclaré à la RNA. « Le gouvernement provincial de Luanda doit chercher les responsables. Parce que 8 millions de dollars, c’est beaucoup, pour un bâtiment qui a tenu aussi peu de temps », a-t-elle ajouté. Depuis la fin de la guerre civile (1975-2002), l’Angola a engagé de grands travaux de reconstruction grâce à l’aide de la Chine, qui a ouvert des lignes de crédit en échange du pétrole angolais.

Les prêts chinois sont actionnés par trois organismes distincts : la banque d’État chinoise d’exportation EXIM, le Fonds international chinois (CIF) et la Banque chinoise de développement, dont le fonctionnement est très opaque. Angola : où va l'argent du pétrole ? Des accusations de corruption L’Organisation non gouvernementale HumanRights Watch a, comme on dit, mis les pieds dans les plats en avançant la réponse suivante : 4 milliards ont disparu des caisses de l’Etat sur les 17, 8 milliards qu’a rapporté le pétrole entre 1997 et 2002. HRW accuse aussi le gouvernement du président Dos Santos de corruption et de mauvaise gestion. Elle demande à l’Etat angolais de pratiquer la transparence financière dans son budget sous peine de ne plus être crédible auprès des bailleurs des fonds internationaux.

Ce rapport a fait l’effet d’une bombe en Angola. Le gouvernement a dénoncé cette campagne de diffamation, qui, pour lui, « lèse le bon nom d’Angola et de ses dirigeants » et « relève de la plus pure fantaisie et de l’imagination ». Les ambassades ont relayé le message ainsi que le Jornal de Angola qui fustige ces « campagnes de calomnie ». Mais où passe l’argent du pétrole ? Ping pong politique. Angola : où va l'argent du pétrole ? Des accusations de corruption L’Organisation non gouvernementale HumanRights Watch a, comme on dit, mis les pieds dans les plats en avançant la réponse suivante : 4 milliards ont disparu des caisses de l’Etat sur les 17, 8 milliards qu’a rapporté le pétrole entre 1997 et 2002. HRW accuse aussi le gouvernement du président Dos Santos de corruption et de mauvaise gestion. Elle demande à l’Etat angolais de pratiquer la transparence financière dans son budget sous peine de ne plus être crédible auprès des bailleurs des fonds internationaux.

Ce rapport a fait l’effet d’une bombe en Angola. Le gouvernement a dénoncé cette campagne de diffamation, qui, pour lui, « lèse le bon nom d’Angola et de ses dirigeants » et « relève de la plus pure fantaisie et de l’imagination ». Les ambassades ont relayé le message ainsi que le Jornal de Angola qui fustige ces « campagnes de calomnie ». Mais où passe l’argent du pétrole ? Ping pong politique. Angola - A Lesson in Chinese Imperialism. Angola timeline | World news. Angola. Angola: New OPEC Member Should Tackle Corruption Not Critics. The government of Angola, which yesterday joined the Organization of Petroleum Exporting Countries (OPEC), should publicly account for how it spends the country’s massive oil wealth instead of harassing citizens who criticize corruption, Human Rights Watch said today.

On November 9, the Angolan National Police arrested approximately 110 protestors on their way to the French embassy in Luanda to protest corruption by the Angolan government. According to news reports, the protestors were distributing pamphlets that accused the government of siphoning “away billions of dollars that belong to the Angolan people” and keeping that money in France. A lawyer for the protestors reported that they were held at various prisons in the capital and several were released over the next 24 hours, but that police detained for a week 27 protestors who indicated they were members of the opposition Party for Progress (PADEPA). Angolagate, demandez l’arrêt d’appel. Pour ceux qui veulent savoir comment une gigantesque affaire de trafic d'armes et de corruption devient en appel un simple abus de biens sociaux, voici l'arrêt rendu par la cour d'appel de Paris dans l'affaire de l'Angolagate. Il est devenu définitif.

Pour mémoire, la cour d'appel de Paris a relaxé Charles Pasqua du chef de trafic d'influence qui lui avait valu une condamnation à trois ans d'emprisonnement dont un ferme devant le tribunal correctionnel. Après la relaxe dont l'ancien ministre de l'intérieur a bénéficié devant la Cour de justice de la République dans deux des trois dossiers dans lesquels il était poursuivi, c'est la condamnation la plus offensante pour lui qui disparaît. La Cour n'a pas suivi le parquet qui avait requis trois ans avec sursis contre l'ancien ministre. La même magnanimité a bénéficié aux deux intermédiaires Pierre Falcone et Arcadi Gaydamak. Ils ont été relaxés du chef de commerce illicite d'armes.

Arrêt CAP 29 04 2011. Angolan president warns new govt against corruption. Angola abolishes presidential polls in new constitution. Angola's parliament has approved a new constitution which abolishes direct presidential elections. The head of state will now automatically be the leader of the party with the parliamentary majority. The main opposition, Unita, boycotted the vote, accusing the government of trying to destroy democracy. President Jose Eduardo dos Santos has been in power for more than three decades and the next polls are not expected until 2012. The oil-rich nation is recovering from a long civil war which ended in 2002. The change was approved by 186 out of the 220 members of parliament, and drew loud applause and chants of "Angola, Angola! " The BBC's Louise Redvers in the capital, Luanda, says under the new constitution, a president can only serve two five-year terms but he would start from scratch in 2012, meaning Mr dos Santos could remain in office until 2022.

Our reporter says the vote on the new constitution had been expected in March. The extension of the president's powers has come in for criticism. Angola country profile. 22 December 2013Last updated at 05:14 ET One of Africa's major oil producers, Angola is nonetheless one of the world's poorest countries. It is striving to tackle the physical, social and political legacy of a 27-year civil war that ravaged the country after independence.

The governing Popular Movement for the Liberation of Angola (MPLA) and the rebel group Unita were bitter rivals even before the country gained independence from Portugal in 1975. The Soviet Union and Cuba supported the then-Marxist MPLA, while the US and white-ruled South Africa backed Unita as a bulwark against Soviet influence in Africa. Angola gained independence from Portugal in 1975 After 16 years of fighting that killed up to 300,000 people, a peace deal led to elections. But Unita rejected the outcome and resumed the war, in which hundreds of thousands more were killed. The connection between the civil war and the unregulated diamond trade - or "blood diamonds" - was a source of international concern. Peace. Beautiful Horizons: Even More On Corruption in Angola. Per a report via Human Rights Watch in 2004, from 1997 to 2002 some US$4.22 billion of revenue from oil went completely unaccounted for: The sums involved are staggering.From 1997 to 2002, unaccounted for funds amounted to some U.S.$4.22 billion.In those same years, total social spending in the country-including Angolan government spending as well as public and private initiatives funded through the United Nations' Consolidated Inter-Agency Appeal-came to $4.27 billion.

In effect, the Angolan government has not accounted for an amount roughly equal to the total amount spent on the humanitarian, social, health, and education needs of a population in severe distress. Due at least in part to such mismanagement and corruption, the government also has impeded Angolans' ability to enjoy their economic, social, and cultural rights.It has not provided sufficient funding for essential social services, including healthcare and education. So in the six years since then have things gotten better? Constitution of Angola. Since gaining independence from Portugal in 1975, there have been three constitutions of Angola. The first came into force in 1975 as an "interim" measure; the second was approved in 1992, and the third one was instituted in 2010. 1975 constitution[edit] Independent Angola's first constitution dedicates the new republic to eliminating the vestiges of Portuguese colonialism.

The Constitution provides numerous guarantees of individual freedom and prohibits discrimination based on color, race, ethnic identity, sex, place of birth, religion, level of education, and economic or social status. The Constitution also promises freedom of expression and assembly.[1] Constitutional revisions in 1976 and 1980 more clearly establish the national goal of a revolutionary socialist, one-party state.

As revised, the Constitution vests sovereignty in the Angolan people, guaranteed through the representation of the party, and promises to implement "people's power. " 1992 constitution[edit] References[edit] Elections in Angola. After its transition from Popular Republic to Multiparty democracy in 1991, and according to the constitution adopted in 1992, Angola held in 1992 elections on national level, designed to choose a head of state – the president – and a legislature. The president was to be elected by the people for a five-year term (at most twice), by absolute majority – and if no candidate reached absolute majority, there had to be a second turn, with only the two most voted candidates running.

The National Assembly (Assembleia Nacional) had 220 members, elected for a four-year term, 130 members by proportional representation and 90 members in provincial districts. The parliamentary elections of 1992 gave the People's Movement for the Liberation of Angola (MPLA) the absolute majority, while this goal was narrowly missed in the presidential elections. Angola has at this stage (2012) to be classified as a one party dominant state. Last elections[edit] The General Elections of 2012 took place on 31 August. Nation & World | After 4 decades of war, Angola tries to recover. LUANDA, Angola — During a visit in August, U.S. Secretary of State Hillary Clinton publicly urged the government of Angola to hold "timely" presidential elections. Just four months later, President Eduardo dos Santos announced that presidential elections would be delayed from 2009 to at least 2012.

The move was hardly surprising in Angola, which is seeing considerable economic development but is still ruled by the longest-serving president in sub-Saharan Africa. After four decades of war, peace and a building boom are visibly changing its capital, Luanda. However, even Angola's friends, let alone its critics, acknowledge it is still a virtual one-party state plagued by corruption and propped up by U.S., European and Chinese oil companies. U.S. "They have their elections when they have their elections," Mozena said. Angolan government and party officials did not respond to requests for interviews. In fact, while democracy lags far behind, the development in Luanda is hard to miss. NEWS | Jose Eduardo dos Santos, Angola - The CBS world's enduring dictator. Obrigado para nada, babaca. Report shows continuing Angola corruption. Transparency and Accountability in Angola.