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Pique-prune

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[Osmoderma eremicola] Oh, Smoderm, suspend ton vol ! Quelqu'un du forum aurait-il un cliché du Osmoderma subsp. subplanatum Casey, 1915, (désignation originale Osmoderma eremicola subplanata ) décrit sur la base d'une femelle de Saint-Louis dans le Montana (USA) ? Pour info: subplanatum se distingue de la forme typique de O. eremicola Knoch, 1801 (désignation originale Cetonia eremicola ) par un habitus un peu moins ovale, plus luisant sur le dessus. Seule la forme des paramères , du même type mais un peu différente de celle de la forme typique, est le seul critère de différenciation. On rappelle que la position taxonomique du taxon subplanatum est diversement appréciée par les auteurs. Décrite initialement comme sous-espèce de eremicola par Casey en 1915, le taxon est élevé au rang d'espèce par Howden (1968) malgré l'avis de Hoffman (1939) qui l'avait mis en synonymie avec eremicola. Lors d'un examen du bestiau présent dans le matériel du Muséum d'Histoire naturelle de Paris, j'avais conclu (1994) qu'il ne s'agissait que d'une sous-espèce.

Osmoderma eremita et sylviculture. 5, rue de l’Epargne tel : 09 66 82 99 67. prunier.daniel@orange.fr Osmoderma eremita Scop. Disparition programmée ? La disparition du Pique-prune est inévitable. Il mesure jusqu'à 35 mm. Quels sont ses habitudes et son rôle écologique ? Dans le passé, cette espèce a été fort abondante, au point que le monde rural qui l'observait souvent, l'a affublé de ce nom vernaculaire : Pique-prune.

Qu'elle est sa situation actuelle ? La disparition des haies ou leur remplacement par des arbustes exotiques, les traitements chimiques l'ont fait disparaître du paysage rural moderne. Dans les forêts, surtout domaniales, la situation est préoccupante. Les espèces dites communes sont également affectées par le phénomène de raréfaction. Toutes les données géographiques, éthologiques disponibles aujourd'hui sont le fruit d'un travail minutieux effectué par des générations d'entomologistes amateurs ( trop peu nombreux ). Daniel Prunier. Info transmise par mon ami Theo Dirksen : la loi. Le scarabée pique-prune refait parler de lui. Sciences Il y aurait des scarabées pique prune le long de la future 2X2 voies Rennes-Redon, à hauteur de Sainte-Marie.

Sylvaine Salliou Publié le 23/02/2012 | 19:02, mis à jour le 04/07/2012 | 15:33 C’est une espèce très rare et très protégée. Cette colonie a été découverte un peu par hasard dans un chêne, par un observateur qui connaît bien les batraciens et les reptiles. La colonie est pour le moment à l'état de larves... Ce scarabée découvert sur le tracé de l’A28 avait interrompu les travaux pendant 6 ans entre Le Mans et Tours. Les fûts d’arbres à cavités où sa présence avait été décelée avaient finalement été transférés sur des sites aménagés. Scarabée Pique-prune: espèce protégée que l'on détruit...

Lu dans les infos du jourLe scarabée Pique-prune : espèce protégée bientôt sans domicile fixe Le Conseil général de l’Yonne et la commune de Tanlay ont décidé de procéder à l’abattage de quelque 518 tilleuls âgés de 130 à 150 ans, bordant une double allée d’un kilomètre de long dans l’axe du Château de Tanlay. La raison de cette coupe sauvage : le risque que représentent ces arbres mal entretenus pour les visiteurs se rendant à ce site classé.Déjà fortement dommageable en soi, la disparition de ces centenaires l’est d’autant plus que ces arbres constituent l’habitat d’une espèce protégée de scarabée : le Pique-prune. Or, si la réglementation prévoit une dérogation à cette protection en cas de risques « pour l’intérêt de la santé et de la sécurité publique », cette exception s’accompagne, toutefois, d’obligations.

Les associations de protection de la nature investies dans l’affaire se sont d’ores et déjà dites prêtes à engager une action à l’encontre du Conseil général de l’Yonne. Les pique-prunes militent contre l'autoroute. Le scarabée et l'autoroute. Présence du scarabée "pique-prune" sur la 4 voies Rennes-Redon- il va falloir en discuter! - ekoblog. Nous étions une dizaine à nous être déplacés ce samedi sur le site du scarabée et suivi les explications du naturaliste Roger Beudet qui en connaît un rayon sur ces petites bêtes. C'est lui qui a révélé à la presse la présence du coléoptère protégé nommé "pique-prune". Il ne s'agissait pourtant pas d'un scoop, car l'insecte figurait bien semble-t-il à l'inventaire des études d'impact du tracé effectué par le département. Mais force est de constater que la révélation de la présence de cet insecte au grand public a stimulé l'intérêt des spécialistes et des amoureux de la nature.

Quel est donc cet insecte considéré comme menacé ? Où vit-il ? D'après le conseil général 35 , le tracé de la 4 voies aurait été modifié pour permettre de ne pas déranger l'insecte... Ne pourrait-il pas y avoir une fiche d'information du public sur cet insecte et en assurer le repérage et un suivi scientifique? Le "pique-prune" ses déjections dans le terreau d'un chêne creux...