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Wikileaks Mirrors

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Www.uruknet.info :: informazione dal medio oriente :: information from middle east :: [vs-1] Héberge un miroir de WikiLeaks. Ce que nous n'allons pas expliquer L'activité de WikiLeaks est très controversée en ce moment. Ses opposants disent que c'est très mal de diffuser des documents secrets, que ce que fait WikiLeaks c'est du recel de documents volés, qu'ils mettent en danger des gens, etc. Ses défenseurs disent que c'est très bien, qu'il faut bien qu'on puisse faire parvenir à la presse les informations utiles, que les sources directes sont espionnées par le pouvoir et qu'il faut donc passer par des organismes externes pour diffuser en tout sécurité les informations, etc. Tout cela, savoir si ce que fait WikiLeaks est bien ou mal, ce n'est pas l'affaire de FDN. Chacun d'entre nous a probablement une opinion qui lui est propre, un avis personnel sur le gris moyen, quelque part entre le blanc éclatant du héros moderne ou le noir de charbon de l'ennemi public numéro 1.

Mais ce n'est pas l'affaire de FDN. Nous, nous faisons du réseau, simplement du réseau, rien que du réseau. Le contexte Expliquons l'enjeu. La responsabilité des intermédiaires. Erratum On me souffle dans l'oreillette que j'ai manifestement mal lu la LCEN, en y voyant un manifestement qui n'y est pas (ou n'y est plus). C'est un point très important du droit qui s'applique sur Internet, et qui change beaucoup l'équilibre des forces, mais perturbe à pein la présentation faite ici. Les rectifications ont été apportées dans le texte.

Pour ceux d'entre vous qui ont déjà lu le billet, ce que ça change: un hébergeur peut être tenu pour responsable de tout contenu manifestement illicite qu'on lui signale et qu'il laisse en ligne (c'est le point clef);donc, quelle que soit l'infraction supposée, il a un avantage immédiat à retirer le contenu, puisque ce retrait abusif ne peut pas lui être reproché;en effet, ce n'est que le signalement abusif en vue du retrait qui peut être poursuivi.

La question habituelle Qui est hébergeur ? En effet, la longue chaîne des intermédiaires techniques est complexe. Les critères pris en compte par la loi sont nombreux et variés. Conclusion. Sur le Web. Wikileaks Mirror Network | vis4.net. Wikileaks HOW TO. Amazon cesserait d'h?berger le site WikiLeaks. WikiLeaks désormais hébergé en partie en France par OVH.

WikiLeaks, SDF du web. Wikileaks.org n’existe plus. L’adresse Wikileaks.org ne répond plus. Un tweet envoyé tôt ce vendredi matin annonce que le nom de domaine a été “tué” par la société américaine qui le fournissait, everydns.org. Wikileaks a réagi en créant une adresse suisse. Le provider de DNS chez qui Wikileaks avait enregistré son nom de domaine désormais célèbre wikileaks.org écrit en page d’accueil de son site avoir “mis fin au service fourni gratuitement à Wikileaks conformément aux conditions d’utilisation”.

La raison de la disparition de Wikileaks.org Selon ce qu’on peut lire sur le site de EveryDNS.net, “Wikileaks a fait l’objet de plusieurs attaques par déni de service. Ces attaques et celles à venir menacent la stabilité de everyDNS.net.” (voir image ci-contre) On se souvient que Wikileaks avait notamment été l’objet d’une attaque de ce type à quelques minutes de commencer la diffusion des câbles diplomatiques, dimanche. Dans la foulée, Wikileaks a annoncé “se déplacer en Suisse”. Corentin Di Prima (@codip) Fin de Wikileaks.org qui renaît sous Wikileaks.ch. OVH l'héberge en partie (info ZDNet.fr) Wikileaks plie mais ne rompt pas. Dans la nuit de jeudi à vendredi, Wikileaks.org a disparu des écrans après que son prestataire DNS basé aux États-Unis a coupé les liens.

Vers 10 heures ce matin, le site reprenait du service avec l’extension suisse « .ch » (qui appartient au Parti Pirate suisse) après une annonce sur Twitter. Selon nos constatations, Wikileaks.ch pointe vers les serveurs du français OVH (IP 213.251.145.96). Contacté ce matin, ce dernier refuse toujours de confirmer qu’il héberge bien le site. Le suédois Bahnhof confirme qu'il héberge 2 serveurs Wikileaks Contacté par ZDNet.fr, Bahnhof nous a confirmé ce matin qu’il hébergeait bien deux serveurs Wikileaks tout en précisant que celui-ci « bouge tout le temps ». « Nous leur fournissons uniquement des ressources et n’avons aucun contrôle sur leur contenu ou la façon dont ils gèrent leur trafic », a tenu à nous indiquer la porte-parole de Bahnhof.

L'américain EveryDNS.net craint les attaques DDoS contre Wikileaks.