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The WikiLeaks News & Views Blog. Share As I've done for more than nine weeks now, I will be updating news and views on all things WikiLeaks all day, with new items added at the top.

The WikiLeaks News & Views Blog

All times are ET in USA. You can contact me at epic1934@aol.com. Read about or order my new book, "The Age of WikiLeaks: From Collateral Murder to Cablegate," here. UPDATE: Go here for Monday's blog.

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Everyone at Le Web is Wrong: Wikileaks Should be Condemned not Celebrated. Le Web.

Everyone at Le Web is Wrong: Wikileaks Should be Condemned not Celebrated

I’m still unclear on the unique selling point of Europe’s “leading technology conference”, and yet here I am, for the third year in a row, hanging out in a snow-bound venue four hundred miles from the centre of Paris, watching a succession of American entrepreneurs being interviewed – in English – by journalists who have flown in specially from California. I’ll say this, though: the food is good this year – really good. Now, having satisfied my annual obligation to be snarky about Le Web, I’m free to talk about what passes for the big story of the conference, and indeed the biggest story of the world right now. Julian Assange Nominated For A Crunchie? Oh Bad Luck, Kim Jong-Il. Wikileaks, test de r?gulation de l'internet. Les grands gouvernements de la planète, à commencer par les USA, ont de sérieuses raisons de ne pas aimer Wikileaks.

Wikileaks, test de r?gulation de l'internet

Qu'ils souhaitent empêcher l'hébergement des documents que Wikileaks se propose de publier est parfaitement logique. Qu'ils soient prêts à employer pour cela tous les moyens, légaux ou moins légaux est parfaitement compréhensible (cette remarque ne vaut pas approbation des méthodes qui pourraient être utilisées). C'est quelque part le premier vrai test, grandeur nature, d'une tentative de censure. Les gouvernements jouent gros, et risquent de perdre gros, car ils s'attaquent à très forte partie. Même si l'idéologie de transparence absolue de Wikileaks n'est pas partagée par tous (loin de là même), les traquer comme cela est fait actuellement ne peut que leur apporter sympathie et soutien sur un internet très marqué par la culture libertaire. Je ne sais pas où cela va mener, mais quelqu'en soit le résultat, il fera date dans la saga de la "régulation" de l'internet.

WikiLeaks, une vérité insoutenable ? “Une société transparente est une société totalitaire” F.

WikiLeaks, une vérité insoutenable ?

Baroin (à propos de WikiLeaks) le 29.11.2010 Aucune “révélation” fracassante, rien qui ne peut ébranler le monde. Pourtant WikiLeaks a frappé le cœur du système. Merci Wikileaks - Transnets - Blog LeMonde.fr. La mise à nu des secrets du pouvoir est ce dont rêve tout journaliste et ce dont a besoin tout citoyen.

Merci Wikileaks - Transnets - Blog LeMonde.fr

C'est au cœur de mon enthousiasme pour la révolution digitale. Je suis donc ravi. Merci Wikileaks. Telle est ma réponse à ceux d'entre vous qui m'ont demandé par courriel ce que j'en pensais (j'en avais dit quelques mots sur L'Atelier des médias de RFI ) et mes excuses pour ce retard à le faire.

J'apprécie particulièrement que le rapport - trop souvent complice - entre médias et pouvoirs vole en éclat. Wikileaks, une vérité insoutenable ? Wikileaks: le 11/09 de la diplomatie était à prévoir. Les remous suscités par les révélations sur la diplomatie américaine ne sont pas prêts de s’arrêter. On comprend pourquoi un diplomate italien parle de 11/09 de la diplomatie. Révélés au grand jour, les échanges diplomatiques entre une capitale et ses ambassades ne sont pas reluisants. Il est vrai qu’on ne peut pas dire en public ce que l’on se dit en privé.

Cela dénote tout de même d’un certain état d’esprit: « nous les gens intelligents discutons dans le confort de nos salons sur des sujets sensibles avec les personnes autorisées »… Or, une fois ce type de discussion publié sur la place publique, on se rend compte de la dimension politique de tels propos. Wikileaks, le culte malsain de la transparence « Pensées d'outre-politique.

Julian Assange, le patron de Wikileaks Trois jours avant la publication de 250 000 mémos diplomatiques sur le site Wikileaks, on nous bassinait déjà avec l’écho qu’auraient ces révélations fracassantes, analysées en lien avec cinq grand quotidiens : Der Spiegel, Le Monde, le New York Times, El Pais et The Guardian.

Wikileaks, le culte malsain de la transparence « Pensées d'outre-politique

Depuis, on cherche. Et à part des infos ras de plafond sur la santé de Kirchner ou la susceptibilité de Merkel, on cherche désespérément l’intérêt de ce scoop qui fragilise les positions diplomatiques de l’occident et d’une partie du monde arabe. Autant les précédentes révélations de Wikileaks, notamment sur la guerre en Irak, avaient un intérêt en soi – révéler des illégalités pour que celles-ci cessent, et ainsi faire progresser le sort de la population irakienne, par exemple – autant l’affaire de la diplomatie ressemble à un gros soufflé retombé à peine les infos outées. Bon. Héberge un miroir de WikiLeaks. Ce que nous n'allons pas expliquer L'activité de WikiLeaks est très controversée en ce moment.

héberge un miroir de WikiLeaks

Ses opposants disent que c'est très mal de diffuser des documents secrets, que ce que fait WikiLeaks c'est du recel de documents volés, qu'ils mettent en danger des gens, etc. Wikileaks : du poujadisme participatif. L'émoi s'est emparé de twitter ce dimanche.

Wikileaks : du poujadisme participatif

De #statelogs en #cablegate, pendant plusieurs heures, ils ont guetté ce qu'ils ont appelé avec gourmandise "la plus grande catastrophe diplomatique de l'Histoire" : la mise en ligne de documents dont "le pouvoir de nuisance pourrait s’avérer dévastateur". L'« intelligence collective" a assailli ma timeline de ses cris d'impatience. Sans même se questionner sur les intentions réelles d'Assange, sa mégalo qui affleure, les jeux d'influence dont il peut être l'objet, la pré-sélection à laquelle il a pu se livrer et, c'est déterminant, sans rien connaître du contenu des documents qui seraient révélés, elle jouissait de l'instant, célébrait le moment.

Comme une jacquerie internetique. La revanche du web sur les Etats. Avec un peu de sens commun, chacun aurait pourtant dû être terrifié par l'hypothèse d'une "catastrophe diplomatique" ou, selon le mot du ministre italien des affaires étrangères, d'un "11 septembre de la diplomatie mondiale". Wikileaks : l’État, le réseau et le territoire « Mais où est-ce qu'on est ? Politique Published on décembre 12th, 2010 | by Anthony “ Infowar”, “cyber warfare”, “opération riposte”, “guerre de l’information”, … les titres couvrant l’affaire Wikileaks ont largement puisé dans le vocabulaire militaire pour décrire les événements qui ont suivi la publication des “cables” diplomatique par le site de Julian Assange.

Wikileaks : l’État, le réseau et le territoire « Mais où est-ce qu'on est ?

La multiplication des déclarations violentes de journalistes et hommes politiques à l’encontre de Wikileaks, l’acharnement des États a vouloir faire fermer le site en vain via les hébergeurs ou les fournisseurs de noms de domaines, et bien sûr la “riposte” des Anonymous par attaques DDoS, tout cela participe bien d’un climat de “guerre”. Yann Moix - Wikileaks : la transparence est toujours fasciste. Yann Moix Wikileaks n’appartient pas à la démocratie – mais à la dictature.

Yann Moix - Wikileaks : la transparence est toujours fasciste

A force d’étudier, d’examiner, puis finalement d’incidemment remanier, d’ajuster, de réajuster la notion de « démocratie », on en oublie presque que le concept de « dictature » évolue, lui aussi. L’affaire des dossiers diplomatiques révélés ouvre la voie d’une dictature toute neuve, d’une dictature en quelque sorte contenue dans la démocratie. D’une dictature parfaitement consubstantielle à la démocratie. Il en va de même de Facebook, soyons lucides. The Unknown Blogger Who Changed WikiLeaks Coverage - Alexis Madrigal - Technology.

When historians look back at WikiLeaks and how the world's pundits tried to make sense of what was happening, they'll see a familiar list of sources: Foreign Policy's Evgeny Morozov, The Guardian's John Noughton, The New York Times' David Carr, several people from the Berkman Center for the Internet and Society, and various long-time digital leaders like Geert Lovink and Larry Sanger. But among that list you'd also find Aaron Bady and his blog zunguzungu.wordpress.com. Et si Wikileaks ouvrait l'ère des Zones Autonomes Permanentes d'Information ? Julian Assange n'est sans doute pas le Messie que tous les contestataires de l'AlterNet attendaient. Et Wikileaks n'est peut-être pas cette "Agence de renseignement du peuple" idyllique rêvée par son mystérieux et très warholien fondateur.Mais il est peut-être de ces hommes rares qui accidentent l'Histoire et changent son cours en agissant comme un agent du Chaos créateur d'une réalité inenvisageable jusque-là: j'ai nommé les fameuses "Zones d'Autonomie Temporaire" (TAZ en VO abrégée) théorisées dès 1985 par le penseur cyberpunk, philosophe, poète et piratologue Hakim Bey dans "TAZ", un ouvrage évidemment libre de droit sur Internet et régulièrement actualisé depuis .

Is WikiLeaks the Beginning of a New Form of Media?: Tech News « As WikiLeaks continues to release classified diplomatic cables, and fights to remain online and solvent, it’s becoming increasingly clear what’s happening has less to do with WikiLeaks itself, and more to do with what seems to be a new form of media emerging: not a news or journalism entity specifically, but a kind of media middleman that exposes secret or undiscovered information, which can then become a source of news.

Could WikiLeaks — and similar efforts it appears to be spawning — become a crucial new part of the digital media ecosystem? WikiLeaks et la transparence de nos gouvernants. Les nou­velles s’ac­cu­mu­laient, on en par­lait comme si cela était nor­mal. On lâ­chait des épi­thètes telles «cri­mi­nel, ter­ro­riste, per­vers sexuel», et il a fallu du temps pour que la co­lère, l’in­di­gna­tion, l’in­quié­tude montent peu à peu, à me­sure que les ar­ticles se mul­ti­pliaient.

Cette in­croyable cam­pagne de dé­ni­gre­ment vi­sait un ci­toyen aus­tra­lien, Ju­lian As­sange, jour­na­liste, ré­dac­teur en chef, et son agence en ligne, Wi­ki­Leaks. Je rap­pelle quelques-unes de ces nou­velles à titre d’exemple. 28 no­vembre: Wi­ki­Leaks de­vrait être dé­si­gné “or­ga­ni­sa­tion ter­ro­riste étran­gère”.