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La législation

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Guest Post: What you need to know about Youth Protection rules for games in Germany – Games Brief. This is a guest post from Konstantin Ewald, partner at Osborne Clarke, a law firm with a strong games practice. Since this post was written, two German states failed to ratify the law. The situation is currently unclear, as Konstantin explains in a subsequent guest post. Complex new rules for 2011 With some of the strictest youth protection rules in the world, German video games can be quite different from those sold in other countries.

Human opponents become “Androids” and red blood is turned into green lubricant. And, of course, swastikas are out. Too much violence in a game and it’s “listed”, which means you can’t advertise or allow customers to register online without first physically checking their ID cards. The latest reform of online youth protection regulations will come into effect on 1 January 2011 (Important note: in a surprise turn of events, two states failed to ratify the reforms, putting them on hold). What’s changing and what’s not? Three types of restricted content. En France. "Il est temps de restituer la mémoire du jeu vidéo, le patrimoine extraordinaire que des générations successives ont accumulé ces 40 dernières années". Une petite phrase, prononcée par le ministre de la culture Frédéric Mitterrand, et qui a fait chaud au coeur à plus d'un gamer.En visite dans le nord de la France dans les studios d'Ankama et chez 3D duo, le ministre de la Culture en a profité pour parler de son projet de loi qui vise "une reconnaissance publique du secteur".

En pratique, le ministre souhaite, par exemple, inscrire le jeu vidéo dans une démarche patrimoniale. Pour ce faire, il veut des partenariats avec la Bibliothèque nationale de France ou encore le Centre National du Cinéma et de l'image animée. Autre axe de travail: encourager la dimension créative et éducative en lançant un prix du créateur de jeu vidéo, ainsi qu'un prix annuel pour un travail de fin d'étude d'étudiants des écoles supérieures. Le projet de Frédéric Mitterrand répond-il à vos attentes? Complètement! Quand Nadine Morano joue à GTA IV... par pédagogie - Numerama. Serait-elle devenue bouddhiste ? La secrétaire d'Etat à la famille Nadine Morano a posé dans Paris Match avec sa petite famille dans le cadre d'un reportage, dont une photographie fait polémique.

Comme le note Arrêt sur Images, On voit en effet Mme Morano aider son fils à jouer à un jeu vidéo qui n'est autre que Grand Theft Auto (GTA), le jeu qu'elle avait elle-même qualifié de "violent", "amoral" et "potentiellement addictif" lors de sa sortie le 29 avril dernier. Malaise. Le jeu est déconseillé au moins de 18 ans, mais sa fille Eléonore de 13 ans est bien devant la télé, avec ses deux frères et sa maman. "Je voulais montrer que les parents doivent toujours faire preuve de pédagogie", s'est expliqué la secrétaire d'Etat sur France 2, ce vendredi matin. "J'explique à mes enfants très concrètement pourquoi ce jeu est un jeu violent, un jeu addictif, avec des images inacceptables", a-t-elle répété sur France Info.

GTA IV est un jeu à la c.. Si vous suivez l'actualité, vous avez peut-être entendu parler d'un certain reportage du magazine Paris-Match réalisé dans les pénates de Nadine Morano, secrétaire d'état à la famille et collaboratrice de Nicolas Sarkozy, qui avait farouchement critiqué le jeu Grand Theft Auto IV à sa sortie. Le hic, c'est que les reporters de l'excellente émission Arrêts sur Images avaient noté que sur une des photos de l'article, on voyait un des fils de madame Morano en train de jouer audit jeu, sans parler de sa soeur, âgée de 13 ans, qui regardait le tout alors que le jeu de Rockstar est interdit aux moins de 18 ans. Paradoxe ? Que nenni mes bons amis puisque la secrétaire d'état s'est depuis défendue en arguant du fait que si son fils jouait à ce jeu, par ailleurs emprunté à un ami (dont les parents mériteraient une petite séance d'éducation de rattrapage), c'était uniquement dans un but pédagogique afin qu'il comprenne bien que, dixit Nadine Morano, : « ...c'était des jeux à la con.»

Le Venezuela de Hugo Chávez bannit les jeux vidéo violents - Num. Ca ferait certainement bizarre à certains députés UMP de savoir qu'ils partagent les mêmes idées que le socialiste révolutionnaire Hugo Chávez. Et pourtant, ce que Bernard Depierre, Lionnel Luca et Jacques Remiller révaient pour la France, Chávez l'a fait au Venezuela. Une loi approuvée unaninement par l'Assemblée nationale du Venezuela en fin d'année dernière est entrée en vigueur cette semaine, le 3 mars 2010. Elle interdit les jeux vidéo et les jouets de guerre, et sanctionne de deux à cinq ans d'emprisonnement quiconque "importe, fabrique, vend, loue ou distribue" des jeux violents.

La loi vise tout contenu audiovisuel qui promeut la violence et l'usage d'une arme ou les jouets qui imitent des armes à feu, qui stimulent la violence ou la haine. Pourtants, les études sur l'impact de la violence dans les jeux vidéo sont loin d'être concluantes. Au contraire, même le bouddhisme reconnait des vertues à la violence libératrices des jeux vidéo. US. Leland Yee didn't intend to become the frontman for the crusade against video game violence. But a law written by the Democratic state senator who represents San Francisco and San Mateo has ended up as the national test case for whether and how the government can regulate video games.

The law would ban the sale of video games deemed "ultra violent" to children under 18. The U.S. Supreme Court on Monday agreed to hear an appeal by the state of California of a lower court's decision in 2007 to overturn Yee's law, which was signed by Gov. The video game industry, which has a big presence in California, strongly opposed efforts to regulate their work, arguing that they deserve as much protection under the 1st Amendment as other art forms.

Yee, a former child psychologist, believes that violent video games are particularly harmful to children and that the government has the same interest in regulating access to them as it does pornography. Q: You don't play video games. Ben.fritz@latimes.com. "Cher Obama, voici ce que les jeux vidéo ont fait pour moi" Mobilisation chez les amateurs de jeux vidéo aux Etats-Unis.

Agacés des propos de leur président à l'encontre de leurs loisirs numériques, ils nourrissent une pétition proposée par l'association de consommateurs spécialisée dans les jeux vidéo ECA (Entertainment consumers association). Un document destiné à expliquer à Barack Obama en quoi ces jeux peuvent rendre la vie meilleure. Le dirigeant américain n'est en effet pas tendre à leur égard: il ne manque pas une occasion de rappeller aux parents qu'ils ne devraient pas laisser leurs enfants devant leur console favorite.

"Nous devons remplacer ce jeu vidéo par un livre" "'Chers parents, nous ne pouvons pas demander à nos enfants d'exceller en classe et les laisser tomber lorsqu'ils rentrent à la maison. Vous ne pouvez pas démissionner de votre rôle de parents. "Nous devons remplacer ce jeu vidéo par un livre, et s'assurer que les devoirs ont été faits... " (21 juin, pour la fête des pères, dans le magazine Parade) Interdiction de la vente de jeux vidéo violents aux mineurs: La. A chaque tuerie –en Allemagne ou aux Etats-Unis– impliquant des jeunes, le serpent de mer refait surface: les jeux violents transforment-ils certaines têtes blondes en dingues de la gâchette.

De nombreux politiques militent pour un durcissement de la législation encadrant la vente de jeux aux mineurs. Suffisamment pour que la Cour suprême américaine accepte de s'en mêler. La plus haute instance juridique américaine a annoncé lundi qu'elle se prononcerait octobre sur la question. A l'initiative de la Californie A l'origine, la Californie a voté en 2005 une loi interdisant la vente et la location de jeux vidéos violents aux mineurs et obligeant les fabricants à apposer un avertissement sur ce type de jeux. La loi a été annulée par un tribunal fédéral en première instance, puis en appel, en février 2009, au motif qu'elle restreignait la liberté d'expression. Le gouverneur, Arnold Schwarzenegger, a alors décidé de saisir la Cour suprême.

«Corrélation entre les jeux violents et l'agressivité» Suisse. Allemagne. Against All Authority - News :: [MàJ] Counter-Strike banni en Al. [MàJ] Nos confrères d'Esportsfrance nous apprennent aujourd'hui, par l'intermédiaire du site Gamezine.co.uk, l'existence d'une pétition circulant sur internet et initiée par les joueurs allemands à l'encontre des récentes dispositions prises à leur encontre par les institutions dirigeantes de leur pays. Ils étaient ainsi 30 000 hier à avoir d'ores et déjà déclaré leur ras le bol vis-à-vis du procès qui leur est fait. Notez que si la pétition atteint les 50 000 signatures, les joueurs pourront bénéficier d'une audition publique, et que nous en sommes déjà à 48 000 signatures !

Depuis en effet quelques mois, les décisions politiques faites à l'encontre des joueurs de "killer games" augmentent. Le cas que je vous évoquais ci-dessous en est un exemple. Pour consulter la pétition, c'est ici. Oyez oyez braves citoyens ! Mais comme chez aAa, nous avons de réguliers élans d'altruisme aussi prononcés... que notre envie de faire de la news à hits, et bien on va vous parler de tout ça.

Against All Authority - News :: Une LAN annulée pour cause de je. Aujourd'hui nous apprenons qu'un des plus gros rendez-vous de nos amis gamers teutons, la Convention-X-Treme, sera annulé. La raison donnée pourrait prêter à sourire si ce n'était pas le point d'orgue d'une politique qui a décidé d'englober les jeux vidéo dans l'axe du mal et de la gangrène à soigner rapidement dans la population des moins de 25 ans. Pourquoi tout ce tapage donc ? Hé bien car depuis la fusillade qui a eu lieu en mars dernier et qui a causé la mort de 16 personnes, les autorités ne retiennent qu'une seule chose : c'était un joueur de jeux vidéo. La conclusion est tombée, le gouvernement local, l'Allemagne étant une fédération, a interdit pour cet évènement les "killergames", les jeux "violents" en somme ...

Counter-Strike et Warcraft 3 ! Corée. En effet, après un couvre-feu imposé empêchant les joueurs mineurs de jouer à certains jeux au-delà de l'heure dite, et les différents problèmes survenus entre la KeSPA et Blizzard, les autorités annoncent que StarCraft II sera manifestement interdit aux moins de 18 ans. Les raisons évoquées étant que le jeu serait d'une part trop violent, qui incite à la consommation de drogue et qu'il contiendrait un langage trop grossier.

Alors, Blizzard posséderait un délai de 30 jours afin de faire appel à cette décision puisqu'au départ le jeu était prévu pour n'être interdit qu'aux moins de 15 ans. Suite à cette annonce, la porte parole Coréenne de chez Blizzard a tenu à laisser un message sur leur position : Nous n'avons rien à dire sur ce point. Nous restons sur notre position et nous réfléchissons sur quelle décision serait la meilleure.

Quoi qu'il en soit, le gouvernement veut vraiment éviter tous les abus possibles des jeunes joueurs et notamment l'addiction aux jeux vidéo.