background preloader

Itespresso

Facebook Twitter

Vidéo : Pierre Poggi (WatchGuard) : “La loi Hadopi concerne aussi les entreprises” Comment garder le contrôle en cas d’utilisation abusive d’Internet dans l’entreprise ? WatchGuard France, éditeur de solutions de sécurité réseaux, met l’accent sur les risques à l’application de la loi liée à la lutte anti-piratage numérique (« Hadopi »). Un sujet qui touche les particuliers dans le cadre de leur surf sur Internet mais aussi les dirigeants des entreprises. Ces derniers pourraient se montrer surpris de recevoir une « recommandation » de la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet si un collaborateur avait pratiqué des téléchargements illégaux depuis son poste de travail. A l’extrême, une sanction pourrait tomber comme une amende ou une coupure de l’accès Internet au sein de l’entreprise pendant un mois. Tout un travail de conseils à faire auprès des entreprises.

Un point sur lequel le site Internet officiel de la Hadopi, ouvert il y a un mois, n’accorde pas vraiment de place hélas. Un centre de surveillance des réseaux sociaux pour la sécurité intérieure des Etats-Unis. L’United States Department of Homeland Security (DHS, équivalent d’un ministère en charge de la sécurité intérieure des Etats-Unis) utiliserait les réseaux sociaux à des fins d’espionnage.

Selon des documents exigés par l’Electronic Frontier Foundation (EFF, une association qui a vocation à défendre les libertés civiles sur le Net) au nom de la Freedom of Information Act, la ligne jaune a bel et bien été franchie. Le DHS disposerait d’une unité baptisée Social Networking Monitoring Cente » (« centre de surveillance des réseaux sociaux ») pour dénicher des informations sur les réseaux sociaux relatifs aux personnes demandant la nationalité américaine.

Des outils comme Facebook peuvent se révéler précieux pour vérifier si les candidats remplissent bien les critères d’éligibilité en vue de l’obtention du précieux sésame. « La tendance narcissique chez de nombreuses personnes génère le besoin d’avoir un grand groupe d’amis en lien avec leurs pages. Fibre noire : le fondateur de Free apporte un soutien à Sipartech. Le marché de la fibre noire (passive) est de nouveau en plein boom et Sipartech veut en profiter. Outre le déploiement des réseaux de fibres à domicile (FTTH), de plus en plus d’entreprises ont besoin d’être raccordées à leur infrastructure informatique en fibre optique pour minimiser le temps d’accès à leurs données. Un renouveau pour ce marché qui n’avait pas presque pas vu de nouveaux entrants depuis l’éclatement de la bulle Internet. Sipartech est un jeune opérateur créé en août 2008 par Julien Santina, un ingénieur télécoms qui a pris la casquette d’entrepreneur. C’est l’un de ces nouveaux acteurs sur ce marché porté par l’externalisation d’infrastructures informatiques.

L’opérateur compte une quinzaine de collaborateurs et prévoit d’en recruter autant dans les années à venir. La société propose une offre de connectivité fibre noire (passive) vers les centres d’hébergement franciliens existants (Téléhouse 2, Interxion, etc.) et à venir. Xavier Niel soutient Sipartech. Réseaux sociaux : l’Allemagne veut protéger l’e-réputation des candidats à un emploi. Très à cheval concernant le respect de la vie privée sur le Web, l’Allemagne se penche cette fois-ci sur le sujet qui lie e-réputation et recrutement d’un salarié. Internet n’oublie jamais et certaines personnes à la recherche d’un travail ont tendance à l’oublier. Il est en en effet de plus en courant que les employeurs, entreprises ou cabinets de recrutement, sondent la Toile à la recherche d’informations personnelles sur les candidats.

Selon un récent sondage du site de recrutement RegionsJob, 47% des DRH mettraient à contribution les réseaux sociaux pour pister les profils des candidats intéressants. C’est pourquoi Thomas de Maizière, le ministre de l’Intérieur allemand, a déposé un projet de loi devant le Bundestag (l’équivalent de notre Assemblée nationale) destiné à protéger l’e-réputation des Allemands. « Il faut un juste équilibre entre les intérêts des salariés et ceux des employeurs. BlackBerry : la tension monte entre RIM et l’Inde. La pression monte encore d’un cran entre RIM et l’Inde : le gouvernement indien a demandé au constructeur canadien de lui donner accès aux données chiffrées concernant les détenteurs de BlackBerry indiens qui circulent sur ses serveurs. L’Inde compterait plus d’un million d’utilisateurs de BlackBerry. L’Inde a donné jusqu’au 31 août à RIM, faute de quoi, si le constructeur canadien ne peut accéder à cette requête, les services BlackBerry seront bloqués. Cet ultimatum est le troisième auquel RIM se trouve confronté, en quelques semaines à peine, après ceux adressés par les Émirats arabes unis et l’Arabie Saoudite.

Ce durcissement intervient suite à une proposition jugée insuffisante de RIM au gouvernement indien. L’opérateur proposait en effet à l’Inde de pouvoir pister les messages sans pour autant livrer d’informations sur le chiffrement de ceux-ci. Piratage : les distributeurs de billets ne sont pas si bien protégés. Pirater les distributeurs automatiques de billets, c’est possible. La démonstration en a été faite lors de la conférence Black Hat, qui s’est terminée ce 28 juillet à Las Vegas, par le chercheur en sécurité Barnaby Jack, également directeur des recherches chez IOActive Labs. Il a ainsi mis à l’épreuve deux distributeurs automatiques de billets (DAB), de la marque Triton et Tranax, tournant sous le système d’exploitation Windows CE.

Pour mener à bien un premier piratage sur la machine Tranax, Barnaby Jack a utilisé un logiciel développé par lui-même et baptisé Dillinger, capable de contourner les protections du système embarqué sur ce DAB, pour peu qu’il soit connecté à Internet ou à une ligne téléphonique, ce qui est bien le cas de la très grande majorité des distributeurs automatiques de billets. Une fois entré dans le système, Barnaby Jack a fait appel à un rootkit maison nommé Scrooge pour prendre le contrôle de la machine et lui permettre de retirer des dizaines de dollars à volonté. Facebook : qui veut un fichier avec les données publiques de 100 millions de membres ?