The Most Dangerous Gamer - Magazine. Never mind that they’re now among the most lucrative forms of entertainment in America, video games are juvenile, silly, and intellectually lazy. At least that’s what Jonathan Blow thinks. But the game industry’s harshest critic is also its most cerebral developer, a maverick bent on changing the way we think about games and storytelling. With his next release, The Witness, Blow may cement his legacy—or end his career. In a multibillion-dollar industry addicted to laser guns and carnivorous aliens, can true art finally flourish? Jake Stangel Like many wealthy people, Jonathan Blow vividly remembers the moment he became rich.
At the time, in late 2008, he was $40,000 in debt and living in a modest San Francisco apartment, having just spent more than three years meticulously refining his video game, Braid—an innovative time-warping platformer (think Super Mario Bros. meets Borges), whose $200,000 development Blow funded himself. Which is not to say that Blow has forsaken his wealth. Nintendo considère Apple comme une plus grande menace que Microsoft. Web Games.
Information et critique JV. Overgame.com / Actus et Tendances des Jeux Vidéo. NoFrag, l'actualité des simulateurs de meurtres. GAMEBLOG.fr - JEU VIDEO. Factornews - A fond dans la déconne mais pas trop. Playtime - Blog LeMonde.fr. Casual Gameplay. #9. Games on the net. Sélection Jeux en Flash. Video Game Development. Indie Games. Violence dans les jeux vidéo. Gamasutra - The Art & Business of Making Games. Les jeux vidéo sont-il une perte de temps? | slate. Dans Red Dead Redemption, le nouveau jeu passionnant de Rockstar dont l'action se déroule dans le vieux Far West, le tableau des stats indique que j'ai passé environ 16 heures devant ma Xbox ces quinze derniers jours.
On peut aussi voir que j'ai fini seulement 60% du jeu, ce qui veut dire qu'à ce rythme-là, j'en ai encore pour quinze jours avant de le boucler. Au final, j'aurai passé minimum un mois de mon temps libre à jouer à Red Dead Redemption, et, à moins de m'en lasser –ce dont je doute fortement– ce sera largement plus. Quand on y pense, ça n'est finalement pas énorme; l'Américain moyen passe beaucoup plus de temps à adorer le dieu télévision, et je surfe moi-même un nombre obscène d'heures par jour sur le Web. Qui plus est, je limite mes heures devant la Xbox à des moments où je n'ai pas grand chose d'autre à faire. Publicité Comment l'expliquer à mes proches? Alors pourquoi est-ce que je me sens aussi coupable d'y avoir déjà passé autant de temps? Absence de sens narratif?