PRIX PINOCCHIO 2014 CATÉGORIE GREENWASHING : PLANÈTE AMAZONE APPELLE À VOTER GDF-SUEZ. Avec ses "green bonds" (obligations vertes), la multinationale française GDF-SUEZ, repeint en "vert-billet" ses projets énergétiques prétendument renouvelables, dont le fameux barrage amazonien de Jirau, sur le rio Madeira, décrié par les environnementalistes et les populations indigènes et riveraines de la région.
Graphisme © Planète Amazone / Sandrine Taclet. Les Prix Pinocchio ont pour but d'illustrer et de dénoncer les impacts négatifs de certaines entreprises multinationales, en totale contradiction avec le concept de développement durable qu'elles utilisent abondamment. En 2013, les Prix Pinocchio ont « récompensé » Veolia, Auchan et Areva. GDF Suez : des "obligations" ni très vertes, ni très contraignantes Comment récolter 2,5 milliards d’euros auprès d’investisseurs éthiques, et les utiliser pour financer des projets destructeurs tout en continuant à miser massivement sur les énergies fossiles. Dix ans de combats contre la malbouffe - 10/08/2009 - ladepeche.fr. Il y aura dix ans mercredi, José Bové et ses amis démontaient le fast-food McDonald's en construction à Millau sans se douter peut-être que leur coup de gueule contre la décision américaine de taxer le roquefort allait marquer les débuts d'une véritable révolution : celle de la malbouffe.
Conceptualisée au début des années 80 par Stella et Joël de Rosnay dans un ouvrage éponyme, la malbouffe devient alors en 1999, grâce aux Aveyronnais en colère, une préoccupation majeure, ouvrant de vrais débats sur ce que les Français ont dans leurs assiettes, sur la qualité des produits, leur production, leurs conséquences sur la santé ; mais aussi le combat contre les OGM, la prise de conscience du problème de l'obésité, le bio et l'agriculture alternative. « Il y a vraiment un avant et un après.
Mais dix ans après, le combat est-il toujours le même ? 12 août 1999 : le coup médiatique À Millau, les esprits s'échauffent. Focus McDonald's a revu sa com' Zoom L'Etat en campagne. Les baskets biodégradables et à planter de Oat ! L’entreprise néerlandaise OAT a inventé des baskets stylées et qui sont biodégradables !
Une fois usées, il suffit de les planter dans son jardin pour qu’elles laissent place à de jolies fleurs. Des chaussures fabriquées en matériaux recyclés et/ou recyclables, c’est pas mal du tout. Des chaussures biodégradables que l’on peut planter au lieu de jeter, c’est encore mieux ! OAT Shoes, marque néerlandaise, a été lauréate du Green Fashion Award ce début d’année grâce à ses baskets qui symbolisent le retour aux Origines et à la Nature. Oat Shoes commercialise 4 paires de « sneakers » biodégradables qui sont un moyen pour la marque de concilier style et conscience écologique.
Elles sont confectionnées à base de coton bio, de chanvre et de liège, assemblés avec du bioplastique qui se dégrade à 90 % en 6 mois. Les chaussures qui fleurissent Une fois usagée, votre paire de baskets ne finira pas tristement au fond de votre poubelle. La philosophie de Oat Pour en savoir plus : www.oatshoes.com. Faguo, une paire de chaussures pour un arbre. Rédigé par Annabelle, le 9 mar 2013, à 15 h 47 min Faguo, c’est la petite basket qui monte !
La marque lancée par 2 jeunes étudiants en 2009 du terrain. Sa particularité ? En plus d’être une sneaker (une chaussure de sport détournée pour un usage citadin) haute en couleur, un arbre est planté pour chaque paire achetée. Aéroport Notre-Dame-des-Landes. Le barrage de Sivens, le Notre-Dame-des-Landes du Sud. INFOGRAPHIE - Pourquoi ce projet de barrage fait-il polémique?
Quels sont les arguments des opposants? Le Figaro fait le point sur les raisons de la colère. Qu'est-ce que ce projet de barrage? Dans les cartons depuis 25 ans, le projet a été ressorti en 2001 par un rapport de la Compagnie d'Aménagement des Coteaux de Gascogne (CACG) prônant la construction d'une retenue d'eau sur la rivière du Tescou qui coule entre Gaillac et Montauban. Situé au niveau de la forêt de Sivens dans le Tarn, près du lieu-dit Testet sur la commune de Lisle-sur-Tarn, à une cinquantaine de kilomètres de Toulouse, le barrage fera 304 mètres de large pour 12 mètres de hauteur et 2 kilomètres de long. Le coût de ce projet de barrage est évalué à un peu plus de 8 millions d'euros. Pourquoi construire un barrage? Ce barrage ne sera pas destiné à produire de l'éléctricité, mais a essentiellement pour objectif de constituer une réserve d'eau pour les agriculteurs du département.
Pourquoi tant d'opposition?