Heinrich Cornelius Agrippa est également appelé par Marguerite de Navarre, et se fixer à Lyon comme médecin.
Jean Gosselin (bibliothécaire) Jacques Lefèvre d'Étaples. Marguerite de NAVARRE – La dixième muse (Chaîne Nationale, 1953) [RARE] Marguerite de NAVARRE – Une œuvre surgie de l’oubli (Conférence, 1952) Margaret of Valois-Angoulême. MARGUERITE DE NAVARRE. Nos et nous-mêmes stockons et/ou accédons à des informations stockées sur un terminal, telles que les cookies, et traitons les données personnelles, telles que les identifiants uniques et les informations standards envoyées par chaque terminal pour diffuser des publicités et du contenu personnalisés, mesurer les performances des publicités et du contenu, obtenir des données d'audience, et développer et améliorer les produits.
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Quelles influences ont pu produire chez elle l'ensemble de sentiments et d'idées qui peuvent le mieux se grouper sous cette appellation de platonisme ; quelles circonstances expliquent le développement intérieur qui la conduisit vers le divin philosophe ; jusqu'à quel point a-t-elle approfondi et pénétré les doctrines de l'Académie, connues évidemment en plus d'un cas par des intermédiaires qui en avaient altéré la pureté primitive ; dans quelle mesure leur a-t-elle apporté son adhésion ; enfin, et surtout, que retrouvons-nous de proprement platonicien dans son œuvre littéraire, miroir fidèle de ses pensées et de ses convictions intimes ? Marguerite de Navarre à la recherche du sens spirituel de la Bible - Persée. Le livre tresparfaict, Cloz et fermé, et sellé de sept seaulx.
(Contemplation sur Agnus Dei, vv. 7-8). que seul l'Agneau peut ouvrir (cf. Ap. 5,5). Marguerite de Navarre et le platonisme de la Renaissance (suite et fin). - Persée. De la pensée antique.
Ce fut précisément le cas de la reine de Navarre aussi bien que celui de plusieurs des membres les plus distingués de son groupe littéraire, tels qu'un Des Périers, un Dolet, un Jean de la Haye, un Pierre Du Val, un Charles de Sainte-Marthe. Le respect de Platon ne cessa jamais de se concilier dans leur esprit avec l'amour et la pratique de l'Evangile. Certes, le réformateur genevois les en censura rudement tant dans Y Institution chrétienne que dans Y Excuse aux Nico- démites et dans le Petit traicté monstrant que c'est que doit faire un homme fidèle cognoissant la vérité de l'évangile, quand il est entre les papistes.
Rien ne lui paraissait plus dangereux, plus monstrueux même, que cet accord, dans les mêmes âmes, du credo chrétien, fondé sur l'autorité divine, avec un spiritualisme présomptueux, divers et incertain, d'origine exclusivement humaine.