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Une définition du livre numérique

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Livre numérique : reflexion /defintion?? Pierrot_Sarzana_definirlivre_numerique.pdf. Ceci est-il un livre ? Note du 14 avril 2012 Bien sûr, en 3 ans, qu’est-ce qu’on a avancé... Et, encore hier, je regardais comment Gwen se débrouillait des nouvelles normes iTunes pour le balisage des vidéos dans nos epubs, on est passé à nouvelle époque. La revue D’Ici Là (lien vers le n° 8, le plus récent), en témoigne admirablement.

En même temps, la notion même d’objet continue d’évoluer : l’objet-lecture en tant qu’il est proposition ou contrainte ou ouverture de temps, et de laisser le lecture maître de cette installation du temps. Ces jours-ci, je reviens à ces outils texte/images dont nous avons besoin pour la scène, l’accompagnement de la voix haute, et la possibilité de les enclore en boucle dans des dispositifs de diffusion. Note du 6 août 2009Il y a un an jour pour jour, après un séjour en Sicile, je mettais en ligne cette vidéo et ces notes, un débat bien riche s’en est suivi pour notre petit noyau de webeux de la mutation-livre.

Et ça influe aussi sur l’idée du site. Livre ou pas livre ? Pour moi, clairement, le document que François Bon présente ici n’est pas un livre. Si c’était le cas, deviendraient des livres quantité d’objets audio-visuels, dont jusqu’à présent personne n’a pensé un instant qu’ils étaient des livres. Pourquoi la question se pose-t-elle aujourd’hui ? C’est la conséquence directe de la dématérialisation du livre, et de l’irruption du numérique et d’internet. Je souscris entièrement au texte d’Arnaud Maïsetti qu’a publié Constance, j’aurais aimé l’avoir écrit, tellement il exprime avec justesse ce que je pense et ressens. Je ne dirais pas que l’on n’a plus besoin du mot « livre » : on en aura besoin tant qu’il y aura des livres, et si d’autres formes d’inscription et de transmission du savoir et d’une « relation réfléchie au monde » émergent, d’autres termes surgiront probablement pour les désigner.

Il y a déjà des déplacements qui s’effectuent, entre par exemple le livre et le jeu vidéo. Ceci n’est pas un livre. Comment ça ? « amontour. Réflexion autour du livre et de l'oeuvre numérique - Aldus - dep. "Texte envoyé par Alain Pierrot et Jean Sarzana (merci à eux):" La réflexion sur l’œuvre numérique en général, et sur sa définition en particulier, occupe les esprits depuis plusieurs mois dans le monde du livre. Il est en effet légitime de bien s’entendre sur ce dont on parle, pour mettre les notions nouvelles en perspective avec les anciennes, en termes de droit comme en termes de marché. Mais depuis longtemps le livre couvre des champs multiples, il se révèle étonnamment flexible, et de surcroît sa matière est en mutation. C’est dire combien l’exercice s’avère délicat. Récemment, le SNE a apporté sa contribution à la réflexion collective sur ce thème dans le cadre de la commission dite post-Patino.

La première s’attache à cerner le champ du livre en tant qu’œuvre incorporelle, indépendamment de son support, qu’il soit imprimé ou numérique. La seconde approche, plus factuelle, porte sur les attributs du livre imprimé et propose un essai de typologie primaire de l’œuvre numérique. A. B. Y a-t-il une frontière livre dans le numérique. Accès direct au texte inro du 24/11Les débats les plus riches ne sont pas forcément les plus apparents dans la vaste surface agitée d’Internet.

Ainsi, cette réflexion Qu’est-ce que le livre numérique ? À l’initiative de deux personnalités de la réflexion numérique, Alain Pierrot et Jean Sarzana [1], qui vient d’être publiée dans la partie abonnés de Livres Hebdo. Ce texte est appelé à nourrir d’autres contributions web, et c’est à la demande expresse des auteurs (qui nous ont transmis le fichier dans ce but) que nous le mettons ici à disposition, pour large discussion. Et si c’était le prédicat, Alain, qu’il fallait changer ?

2 _ signaler la prolongation du débat sur le site de Constance Krebs, à mon tour, avec un déplacement de la question qui représenterait un troisième prédicat par rapport à celui d’Alain (le livre) et le mien (les usages web) : appui sur la lecture au sens de production de sens. François Bon | Avons-nous besoin d’une définition du livre ? Prendre écart. On en est là. La mémoire de Silence. Une définition du livre « amontour. En écho à ce qu’écrit François Bon qui relaie la définition d’Alain Pierrot et de Jean Sarzana, livre_numerique, publié par Livres-Hebdo vendredi dernier, et qui y répond, ma pierre au moulin.

Un extrait de ce que j’ai écrit dans le rapport après avoir lu cette définition et celle que donnait François le 6 août, mais qui peut être augmenté de vos réactions et commentaires. Qui, de mon côté, depuis, s’est développé vers une amorce de réflexion autour du texte, et du livre, l’un et l’autre n’ayant pas les mêmes valeurs. Ce qui repose la définition du livre en d’autres termes sur lesquels je reviendrai. Extraits Mais d’abord, qu’est-ce que lire? Malgré cela, la lecture se trouve aussi numérisée, sans hiérarchie ni académisme hérités des classiques. L’époque est technophile, bruyante et nous renvoie à nos solitudes. 3.3.2. Il reste donc le temps incompressible de l’écriture, et le temps élastique de la lecture. « Et si un livre c’était le temps qu’on met à le lire ?

Like this: Qu'est-ce qu'un livre aujourd'hui ? - LIMINAIRE : LE BLOC-NOTES. Quelles valeurs accorder au livrel ? « amontour. Un point n’est pas suffisamment clair dans le rapport. J’y reviens donc aujourd’hui pour le séminaire de Michel Bernard à Paris 3 où j’ai le plaisir d’intrvenir à l’invitation de Michel. Et que vous pouvez suivre sous Skype en vous connectant à "hubertdephalèse" entre 10 et 12 heures, heure française. J’ai voulu montrer que le don et le contre-don, loin d’être un acte d’échanges simplement gratuits, créent au moins deux types de valeur. Une valeur symbolique, sociale, forte. Une valeur économique qui peut être importante, qui ne suffit pas toujours, mais qui peut aussi être largement rentable, dans certains cas (les opérateurs de téléphonie, les moteurs de recherche surpuissants).

À l’inverse, le décalque du marché actuel du livre n’est pas transférable sur le marché du livrel. Questions que je me pose : D’ou provient la valeur symbolique d’un livre, celle d’un livrel ? Peut-on faire fonctionner une structure éditoriale, rémunérer les auteurs, à partir de la seule valeur symbolique ? 1. Quelles valeurs accorder au livrel | 2 « amontour. Un point n’est pas suffisamment clair dans le rapport. J’ai voulu montrer que le don et le contre-don, loin d’être un acte d’échanges simplement gratuits, créent au moins deux types de valeur. Une valeur symbolique, sociale, forte. Une valeur économique qui peut être importante, qui ne suffit pas toujours, mais qui peut aussi être largement rentable, dans certains cas (les opérateurs de téléphonie, les moteurs de recherche surpuissants). Dans les deux cas, ces échanges débouchent sur un marché économique, qui peut être celui du livrel. Suite de la première partie. Les livres numérisés ou édités numériquement, que néanmoins j’appelle livrels pour éviter toute confusion avec les livres imprimés, comme les livres, sont des services d’échanges intelligents qu’offre l’éditeur aux lecteurs.

Il arrive parfois que le livrel, comme le livre, englobe d’autres choses que le texte seul. Du coup, ce qu’on appelle le livre est un service. Le public ajoute une valeur symbolique à ce service. P. Ebook. Ce que coûte un livre numérique - La république des livres - Blo. On a déjà lu et entendu tout et son contraire sur le vrai coût d'un livre numérique. Il est vrai que, pour prometteuse qu'elle soit, l'affaire est encore embryonnaire. On est au stade des expérimentations, en dépit des cris de victoire d'un Marc-Edouard Nabe qui croit déjà signer l'acte de décès de l'édition traditionnelle avec le succès rencontré par son autoédition sauvage. Une fois relativisés les avancées ici ou là, que sait-on du véritable coût de fabrication et de diffusion d'un livre numérique ?

Une étude vient à point, diligentée par le MOTif (Observatoire du livre et de l'écrit en Ile-de-France) décidément en veine de rapports riches d'enseignements (voir celui tout récent de Gisèle Sapiro sur la littérature française à l'export) et signée d'un ancien directeur de fabrication dans l'édition devenu consultant indépendant, Hervé Bienvault (voir aussi Aldus,son blog sur l'actualité de la lecture numérique) De très bons motifs pour de prochaines études. (Photos Michael Kenna) Organisations Livres.