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Understanding the phenomenon

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Tendance: Les hipsters s’incrustent à Genève - News Genève: Actu genevoise. Tendance Un nouveau style vestimentaire s'impose en Ville chez les 20 à 30 ans. Décodage. 1/8 Les Genevois Palina Vinitski et son compagnon Anthony Leuba, amoureux des fifties et créateurs du blog ForeverHipster. Quelques codes du hipster Une niche : les écoles d’art (HEAD, ECAL) Une couleur : toutes, de préférences mélangées, fluos parfois, vintage souvent Une musique : l’électro Une capitale : Berlin Un animal fétiche : le loup et le cerf. Signaler une erreur Vous avez vu une erreur? Veuillez SVP entrez une adresse e-mail valide Partager & Commenter Votre email a été envoyé. Au vestiaire les skaters, exit les gothiques, ciao les «yo», basta les «rasta».

Ces jeunes de 20-30 ans pullulent depuis quelques temps dans les milieux «hype» (soit branchés) de la cité de Calvin. Lui porte un slim, des lunettes à la Brejnev vissées sur un nez souligné d’une fine moustache. L'effet de mode de l'ultra-élitisme Rétro mais pas trop USA, Berlin et la Suisse alémanique Mon hipster mal-aimé. Design Hipsterism? Why Do We Stop Liking What's Popular? I was at a coffee shop this past weekend when I overheard two 20-somethings discussing a music festival taking place in Chicago.

This is a festival that has grown in popularity over the past few years, and the gist of their conversation was that they used to go back when it was "good", but now it's just "too popular". It wasn't the music that made the festival bad, it was the perceived change in who liked the music. More broadly, this is the response so many of us seem to have once something we like becomes popular. So what gives? In the realm of design, I'm constantly seeing decor darlings that are now routinely dissed. As for me, I'm trying to keep calm and keep liking what I like, even if it becomes mainstream. PS - If you are up for a good laugh, check out Urban Dictionary's definition of Hipster.

(Images: 1. Why do people hate hipsters? | Fashion. There was a party going on in London E5; a house party in one of the Victorian terraces that line the streets in this modest area of east London. There had been parties on the street before, only on this particular Friday evening two months ago, guests wore Ray-Bans, deep-cut v-neck T-shirts and skinny jeans. They were also, according to one partisan report, in possession of "a sound system louder than the big bang". Quite an event, yet not everyone in the street appreciated the loud music and louder fashions. "I only put 'hate' in the title of the blog," explains annoyed neighbour and anonymous author of Hackney Hipster Hate photo-blog, "because, on the night I wrote it, I was watching floods of hipsters arrive in the early hours at a terrace house and having an Ibiza-style party. Though it began in a moment of sleep-deprived abhorrence, Hackney Hipster Hate now posts images of fashionable east Londoners accompanied by a scornful commentary.

What does our anonymous blogger think? Non, les hipsters ne créent pas de croissance. C’est un coup dur pour les bobos et les jeunes branchés qui leur dament désormais le pion dans les médias, les hipsters. «Non, écrit Will Doig sur Salon, les coffee shop sympa et le vélo-partage ne constituent pas une politique d’urbanisme en soi». Et les jeunes à moustache qui roulent en vélo fixie ne sont pas les sauveurs de l’économie américaine. Le modèle selon lequel «la coolitude va nous sauver» est une pyramide de Ponzi, poursuit Thomas Frank dans The Baffler. Pourquoi tant de haine? Parce que la simple présence de hipsters, bobos et autres tribus branchées a longtemps été prise pour un indice de prospérité.

Selon la théorie de la creative class de Richard Florida, les profils créatifs peuvent rendre désirable un quartier, une ville ou une région au point de contribuer à son développement économique, y attirant des créateurs d’entreprise et des diplômés séduits par le caractère tolérant, ouvert et la réputation cool de l’endroit. Hipster: The Dead End of Western Civilization. Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin. Audio version read by George Atherton – Right-click to download I’m sipping a scummy pint of cloudy beer in the back of a trendy dive bar turned nightclub in the heart of the city’s heroin district. In front of me stand a gang of hippiesh grunge-punk types, who crowd around each other and collectively scoff at the smoking laws by sneaking puffs of “fuck-you,” reveling in their perceived rebellion as the haggard, staggering staff look on without the slightest concern.

The “DJ” is keystroking a selection of MP3s off his MacBook, making a mix that sounds like he took a hatchet to a collection of yesteryear billboard hits, from DMX to Dolly Parton, but mashed up with a jittery techno backbeat. “So… this is a hipster party?” “Yeah, just look around you, 99 percent of the people here are total hipsters!” “Are you a hipster?” “Offensive?” StereoTypes - Are You A Hipster? The Accidental Hipster. The Hipster Hunt. Les hipsters, la nouvelle branchitude planétaire. La petite reine déniaisée par le pignon fixe. Depuis quelques mois, une nouvelle tendance émerge en France, la pratique du vélo à pignon fixe, dit « fixie » pour les intimes.

Longtemps considéré comme un sport top ringard, un passe-temps de papys à varices, le vélo de route investit le bitume des grandes villes, fait trembler les automobilistes mal assurés et prend un sacré coup de jeune. Pas de vitesse, pas de freins. Telles sont les particularités de cette bicyclette minimaliste qui a envahi, ces dernières années, les rues des grandes villes d’Amérique du Nord et d’Europe. Comme les produits laitiers, le vélo à pignon c’est l’assurance de sensations pures.

. « Un moyen de transport rock & roll » Pour mieux appréhender le phénomène et comprendre un peu les choses, rendez-vous est pris au QG des fixies parisiens, dans la boutique spécialisée, Cyclope. C’est Barthélemy, 22 ans, étudiant en horlogerie, mécano estival et look de graphiste en sus qui éclairera sans quitter l’atelier. Alors, forcément, ça plaît. Why do hipsters like fixed gear bikes. Hipsters. » Top 10 du pire des années 2000 | Anabelle Nicoud.

Fin de décennie oblige, les classements fleurissent sur le net. Voici un classement tout personnel des 10 pires tendances de la décennie. Et vous, quelles sont vos pires tendances de la décennie? 1- Le total-look American Apparel: la marque fondée par Dov Charney restera emblématique de la décennie. Pour le meilleur, comme pour le pire. Jambières American Apparel. Archives La Presse. 2- Les bottes UGG: Si le port de bottes fourrées se comprend au Canada, la tendance UGG a surtout fait des dégâts en Californie auprès de nos amies les célébrités. Kate Moss, Eva Longoria ou Jennifer Aniston en bottes UGG. 3- Le jean taille basse et évasé: Particulièrement prisé par la star de la pop Britney Spears, le jean taille basse a fait fureur pendant la première moitié des années 2000. Britney Spears. 4- L’homme métrosexuel: Merci David Beckham! Owen Wilson et Ben Stiller, héros de Zoolander. Publicité pour le parfum Opium, d’Yves Saint Laurent. Photo Rick Ross, archives AP.

Mary Kate Olsen en 2005. Tumblr_lpm6s9FNs71qjtvg7o1_r1_500. Geek vs. Hipster Comparison Chart. Hipsters. Hipster takeover. LE PHÉNOMÈNE HIPSTER • Une avant-garde chic mais sans art. Il y eut d’abord les hipsters blancs, au début des années 2000. Puis les verts, plus écolos. Ces derniers temps, la tribu est devenue planétaire, explique Mark Greif, exégète du mouvement. A Paris, le mot hipster* a gardé un parfum d'Amérique. Et pourtant on peut l'entendre à propos des "branchés" et des "bobos" au cours d'une conversation sur la culture jeune des grands centres urbains. Ce mot désigne également les membres d'une avant-garde, adeptes d'un chic négligé, prenant part à un mouvement de gentrification, d'embourgeoisement, des quartiers populaires. L'exemple nord-américain est incontournable, car c'est là qu'apparaît pour la première fois ce mouvement culturel, qui s'est aujourd'hui propagé aux quatre coins du monde.

Un mythe que l'on répète à l'envi en Amérique à propos du hipster, c'est qu'il échappe à toute définition. Nous autres, habitants de l'Amérique urbaine, savons pourtant parfaitement ce que "hipster" signifie - en tout cas, nous devrions le savoir. De nouveaux bobos dans les journaux… Peu de mots. De nouveaux bobos dans les journaux… Peu de mots se sont installés aussi rapidement et durablement dans le langage courant que le mot “bobo”. Dix ans après sa création, le terme inventé par David Brooks à New York s’est aussitôt propagé de notre côté de l’Atlantique. Bien-sûr Renaud a écrit une chanson éponyme, des livres et bd l’ont repris, mais il n’y a pas comme la presse pour l’utiliser si fréquemment que nous avons depuis longtemps cessé de relever systématiquement ses moindres occurences dans les papiers des journalistes.

Mais cette semaine, plusieurs parutions s’intéressent plus profondément aux bobos et les éclairent sous un nouveau jour. La grève dans la distribution des kiosques parisiens vous auront aussi peut-être fait râter l’avant-dernier numéro de Courrier International dont la couverture se penche sur Le Phénomène hipster : “décalés, esthètes, écolos, nomades, geeks”. Bobos et hipsters ont néanmoins en commun la revendication d’une certaine idée du cool. Bobo Bix. Le hipster décortiqué | À la mode Montréal. Les médias s'intéressent aux hipsters. Les journalistes de grands quotidiens emploient de plus en plus le terme hipster. Les magazines leur consacrent des pages entières.

Le hipster se fait décortiquer de la tête aux pieds. Le grammairien du New York Times, Philip Corbett, a même demandé à la rédaction du quotidien de cesser d'utiliser le mot hipster après avoir répertorié le mot 250 fois dans les pages du New York Times au cours de l'année précédente ! Les autres générations cherchent à comprendre le hipster. Qu'on l'analyse, qu'on l'imite ou qu'on le ridiculise, le hipster fascine encore. Couverture du Courrier International Courrier International: Le phénomène hipster Cette semaine, le Courrier International signe une série complète sur la montée du phénomène hipster partout dans le monde.

On explique son origine et sa rapide propagation. Via www.weltbranding.com La culture hipster aurait un lien avec la bulle Internet. Panneau à Williamsburg, photo de www.freewilliamsburg.com L'annonce: How to be a stylish designer. | I love graphics! You don’t know how to dress. Fashion has no meaning to you, other than buying a pair of jeans every two years or so. You don’t get the point of wearing anything otther than black.

And there you are, a designer. Which means, you SHOULD be well-dressed, stylish, arty, whatever adjectives that fit your fancy. Or at least, that what it means for a lot of people in the street. So what? A few tips to look like a graphic-designer, and finally end those suspicious looks from your friends. This is a polyvore set. 1. After this, if you’re mommy still thinks you look like an accountant on a funeral, I’m no help. See you tommorow for a real post, May the ampersand be with you, Zélia.