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Tunisie en France

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Tunisie libre. Coup de soleil. L’enfance aux stigmates. A Redeyef, outre Zakia Difhaouis qui tient une place particulière dans les combats du bassin minier, l’on me parle de trois femmes importantes dans les manifestations féminines de 2008.

L’enfance aux stigmates

Elles ont pour maris des hommes influents du mouvement syndical et reconnus comme meneurs des manifestations d’avril 2008, c’est pourquoi ils furent parmi les plus sévèrement punis. Arrestations musclées, emprisonnements, tortures, jugements iniques et falsifiés furent le lot des hommes. Mais les femmes ont également subi des violences morales, psychiques et parfois physiques. C’est le cas de Leila Khaled, la femme de Béchir Labidi, Djemaa Hajji la femme de Adnane et Khamsa, la femme de Taïeb Ben Othmen.