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Sihem Badi répond à Souad Abderrahim. Mme. Sihem Badi, ministre de la Femme, de la Famille et des Personnes âgées, a accordé une interview à Assabah El Ousboui. Interrogée sur les mères célibataires, Mme Badi a précisé qu’elles sont victimes de leur entourage qui n'a pas réussi à les instruire sur les conséquences de l'interdit et le pourquoi de l'interdit. « Le phénomène « Les mères célibataires et l’enfant né hors mariage » est très ancien. Il existe depuis toujours. Meriem.Kh. Sihem Badi : « Le mariage coutumier est une liberté personnelle » Le ministère des Affaires de la femme réagit sur l'excision. Le ministère des Affaires de la femme et de la famille appelle à «la prudence face aux déclarations sur l'excision qui n'a aucun rapport avec la religion islamique ni avec les traditions tunisiennes». Suite aux déclarations du prêcheur Wajdi Ghanim en faveur de l'excision, le ministère signale, jeudi 16 février 2016, dans un communiqué, que toutes les conventions internationales interdisent ces pratiques, notamment les conventions relatives aux droits de l'Homme et de l'enfant ou pour l'élimination de toutes formes de discrimination contre la femme.

Par ailleurs, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et d'autres instances internationales considèrent l'excision comme un acte nuisible à la santé physique et psychique de la fillette. Sihem Badi : « l’excision est une insulte pour la Femme ! » : Le ministère de la Femme et de la Famille lutte définitivement contre l’excision en Tunisie. Le CPR, plus islamiste que les islamistes…

Moncef Marzouki : «Le parti Ettahrir doit être légalisé et obtenir son visa» (vidéo) Dans une interview accordée à la chaine de télévision britannique «BBC Arabe» en date du 12 février 2012, le président provisoire de la République Moncef Marzouki a répondu à plusieurs questions relatives notamment à la politique étrangère, à la place qu’occupe l’Islamisme dans la vie politique en Tunisie et à diverses interrogations générales à propos du Code du StatutPersonnel, de la libération des détenus ou encore de la peine de mort contre laquelle il est opposé.

A propos justement de la grâce accordée à quelque 8000 détenus, Moncef Marzouki dit assumer totalement sa responsabilité et affirme avoir été conscient des risques de récidive qui ne peuvent jamais être nulles. Il a ajouté : «Sur les 8000 détenus libérés, il est tout à fait prévisible de voir 20 ou 30 parmi eux récidiver. C’était un risque à prendre!». Par ailleurs, M. Moncef Marzouki : «Le gouvernement a besoin de 2 ou 3 ans pour fonder des bases solides» (vidéo) Dans une interview accordée à Euronews en date du 7 février 2012, le président de la république tunisienne Moncef Marzouki a déclaré : «Il faut que les gens comprennent que ce gouvernement n’est là que depuis deux mois. Il a besoin de deux ou trois ans pour fonder des bases solides afin de faire renaître le pays sur le plan économique. Le gouvernement est en train de poser les pierres angulaires des réformes fondamentales, dont nous verrons les résultats dans cinq ans au moins, c’est ce que les gens sont appelés à comprendre».

Justifiant sa réaction dans le dossier syrien, M. Marzouki a rappelé que la Tunisie est bien le premier pays à avoir réussi la révolution et doit donc servir de modèle. Par ailleurs, M. Cette position serait en contradiction avec la volonté d’extrader Ben Ali d’Arabie Saoudite, une question que Moncef Marzouki a volontairement esquivé.