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C’est la traduction de la version intégrale issue du site du Kremlin (ou ici en russe, ou là).En effet, pour faire tenir cette interview de 41 minutes en 24 minutes, TF1 a sabré largement dans certaines parties. Comme il a été décidé de couper des éléments essentiels sur la Crimée, l’opposition dans les médias français, et de laisser des propos sans intérêts genre sur la langue qu’il utilise avec Hollande, le mot censure me semble adapté – vu qu’il y a rétention d’informations importantes qui éclaireraient le public français.

D’autant que rien n’empêchait de mettre en ligne sur le web la version complète… Et je reviendrais sur la faute inacceptable de traduction quand il parle d’Hillary Clinton.Ceci étant, reconnaissons qu’il est salutaire que TF1 et Europe1 aient interviewé Vladimir Poutine…Tout est donc traduit ici – les passages censurés sont en exergue – à vous de voir s’ils méritaient de l’être… Voici la version TF1 (24’28) : AgoraVox le média citoyen. Le Bondy Blog. Internet, facile bouc émissaire. Il est frappant de constater combien les transformations liées au numérique sont souvent le facile bouc émissaire de tous les maux de notre société contemporaine.

Internet, facile bouc émissaire

Le numérique est accusé de tout : de l’individuation de la société, de l’infobésité contemporaine, d’être le caniveau de l’information, de tuer le livre, le cinéma, la musique, de favoriser les échanges (non-marchands au détriment des échanges marchands), d’avoir déstructuré le travail, de la désindustrialisation, de tuer le lien social, de favoriser la violence, le terrorisme, la solitude, de détruire notre cerveau… La liste des reproches anxyogènes qu’on lui adresse semble sans fin – à l’image des espoirs qu’il cristalise en miroir. Pourtant dès qu’on y regarde de plus près, bien souvent, le numérique n’est pas à l’origine des problèmes qu’on observe.