Une prothèse neuro-robotique fabriquée par une start-up. Une start-up américaine installée à Cambridge, dans le Massachusetts, a conçu une attelle neuro-robotique qui vise à venir en aide aux patients ayant connu une perte de motricité.
Le mPower 1000 est un appareil conçu par Myomo, Inc, une start-up de douze employés à Cambridge. La société compte présenter le produit au colloque/salon annuel de l'American Occupational Therapy Association (Association américaine d'ergothérapie), qui se tiendra du 14 au 17 avril à Philadelphie. L'appareil s'enfile comme une manche sur le bras du patient et intègre des "capteurs qui, posés à la surface de la peau, détectent les signaux musculaires les plus infimes", selon le dernier communiqué de la société.
Quand le cerveau adresse une instruction aux muscles, le mPower 1000 enclenche ses moteurs et assiste le bras dans son mouvement. Au fil du temps, l'appareil peut aider les patients à réapprendre à bouger. Un usage déjà autorisé aux Etats-Unis Un marché en pleine essor. Cyberdyne présente son exosquelette HAL. La société japonaise Cyberdyne a profité du forum Netexplorateur (qui se tenait les 3 et 4 février à l'Unesco à Paris) pour présenter (ou re-présenter) son invention.
Il s'agit d'un exosquelette robotisé, qui permettrait de décupler les forces de son utilisateur. Le exosquelette robotisé Hal capte les impulsions bioélectriques émises par le cerveau Illustration: extrait de la video de présentation Cyberdyne HAL pèse 23 kilos et possède une batterie permettant une autonomie de 2h40. Son utilisation peut être multiple. S'il est possible d'en trouver une utilité dans la manutention (HAL peut facilement soulever de lourdes charges: avec un seul bras, il peut soulever sans effort un poids (Le poids est la force de pesanteur, d'origine gravitationnelle et inertielle, exercée par la Terre sur un corps massique en raison uniquement du voisinage de la Terre. L'inventeur de cet exosquelette, le professeur Sankai, a commencé ses travaux il y a 20 ans avec de petits moyens.
Eliezer Yudkowsky: Scruter la Singularité (Hache/essais) La version courte : Si les vitesses de calcul doublent tous les deux ans, qu’arrive-t-il quand des IA informatisées font la recherche ?
La vitesse de calcul double tous les deux ans. La vitesse de calcul double tous les deux ans de travail. La vitesse de calcul double tous les deux ans subjectifs de travail. Deux ans après que les Intelligences artificielles ont atteint l’équivalence humaine, leur vitesse double. Six mois ; trois mois ; 1,5 mois… Singularité. Prenez les valeurs correspondant aux vitesses de calcul actuelles, à leur temps de doublement actuel, et à une estimation de la puissance de calcul brute du cerveau humain, et les valeurs coïncident en : 2021. Mais personnellement, j’aimerais le faire plus tôt. 1. L’Histoire a commencé il y a trois milliards et demi d’années dans une flaque de boue, quand une molécule a fait une copie d’elle-même et est ainsi devenue l’ancêtre ultime de toute vie terrestre.
Il y a cinquante mille ans avec l’émergence d’Homo sapiens sapiens. HAL-5 : un exosquelette qui rend dix fois plus fort. La firme japonaise Cyberdyne a créé une combinaison robotisée qui, dit-on, décuple la force de son utilisateur.
Nommé HAL-5 (Hybrid Assistive Limbs), l’exosquelette a été présenté lors du CES 2011 à Las Vegas. Le véritable point fort d’HAL-5 réside dans le fait qu’il reçoit des signaux bioélectriques venant des muscles de son utilisateur pour réagir intelligemment avec le système nerveux humain. Évidemment, des capteurs sont derrière cette faculté. Cyberdyne vise les hôpitaux pour assister le personnel médical en portant les malades, les patients inaptes à se déplacer, etc. Ils peuvent également aider les personnes à mobilité réduite, les ouvriers et sans doute l’armée. HAL-5 n’est pas un concept délirant et sans espoir de commercialisation. Des lunettes qui reconnaissent les gens
Exemple typique de réalité augmentée : des renseignements s’affichent devant le regard.
Ici, ils concernent la personne, reconnue par le système. © Multidisciplinary Institute of Digitalisation and Energy/Université Aalto Des lunettes qui reconnaissent les gens… - 1 Photo Sur Facebook, chacun peut lire toutes sortes de renseignements sur un « ami » : son prénom et celui de ses enfants, mais aussi sa pizza préférée, le nom de son chien, le dernier film, etc. Mais lorsqu’on croise quelqu’un dans la rue ou au bureau, on ne peut se fier qu’à sa mémoire… À qui n’est-il pas arrivé de ne pas se souvenir du nom d’une personne croisée et pourtant connue ? Lancé à l’université Aalto, en Finlande, le projet UI-ART (Urban contextual information interfaces with multimodal augmented reality) veut nous aider dans ce genre de situation.