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Conséquences

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Cyberaction Evaluation des OGM. Cette cyberaction est maintenant terminée Mise en ligne du 03/01/2013 au 26/03/2013 L'Agence Européenne de Sécurité des Aliments (AESA, ou EFSA en Anglais) évalue les dossiers d'autorisation d'OGM et produit des Lignes Directrices qui indiquent aux industriels qui demandent une autorisation pour un OGM ce qu'ils doivent produire comme étude. Bilan de la cyberaction : Suite à la cyberaction demandant de changer le règlement européen sur l'évaluation des OGM, satisfaction a été obtenue sur un point et une étude de toxicologie 90 jours sur rongeur sera obligatoire pour tous les OGM à un transgène.

Par contre, une autre disposition demeure, qui ouvre la porte aux cultures d'OGM. En effet, dans ce même règlement, il est écrit que tous les dossiers de demande d'autorisation déjà déposés ne seront pas concernés par ce règlement. Présentation de la cyberaction : Ces nouvelles Lignes Directrices apportent des améliorations, certes encore insuffisantes, mais néanmoins significatives. Pour M. Credible. Effets à long terme des OGM : l’UE et la France lancent deux appels d’offres différents. L’évaluation des risques des plantes génétiquement modifiées (PGM) est critiquée depuis longtemps : manque de connaissances sur les risques à long terme, faiblesse de la puissance statistique des études de toxicologie, etc. L’étude de G. -E. Séralini qui concluait à des impacts sanitaires sur des rats nourris avec du maïs GM NK603 et son herbicide associé, le Roundup, est une des trois seules études de toxicologie faites à long terme [3]) selon le Haut Conseil des biotechnologies (HCB).

En France, suite à cette publication, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) avait recommandé que soient conduites « des recherches visant à décrire les effets potentiels sur le long terme d’OGM », une demande également relayée par le Comité éthique, économique et social du Haut Conseil des biotechnologies [4].

La Commission souhaite une étude de cancérogenèse sur le maïs NK603 sans Roundup La France veut compléter le projet européen G-E. OGM : les études de toxicité passent à deux ans. C’est à croire que l’Efsa, l’autorité européenne de sécurité des aliments, ne voulait pas que ça se sache. C’est en toute discrétion que l’organisme a publié hier, dernier jour du mois de juillet, un communiqué pourtant « ultra-important », selon l’eurodéputée Corinne Lepage. Il s’agit des nouveaux principes directeurs des études portant sur le risque de cancer et/ou la toxicité des aliments entiers une fois qu’ils ont été commercialisés. Rien de très palpitant à première vue. Et pourtant ce document porte la durée des futures études à deux ans, contre 90 jours auparavant (durée définie à la fin de l’année 2011). « En formulant ses principes directeurs, l’Efsa a tenu compte des points de vue d’experts des Etats membres de l’UE, qui ont été consultés via le réseau scientifique d’évaluation des risques des OGM », précise l’autorité dans son communiqué.

Le Criigen (Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie Genétique) applaudit des deux mains. Commission des Pétitions : OGM et évaluations des risques. Mai 27, 2013 at 5:14 À l’agenda de la Commission des Pétitions ce lundi 27 mai 2013, trois pétitions déposées au Parlement européen sur les organismes génétiquement modifiés (OGM) et leurs processus d’autorisation dans l’Union européenne en présence du professeur Gilles Eric Seralini. Le débat faisait salle comble alors que samedi dernier, des milliers de personnes manifestaient dans plusieurs villes européennes, notamment aux Pays-Bas, en France, en Autriche et en Allemagne, pour protester contre le géant américain de l’agrochimie Monsanto, et plus généralement contre les OGM, pesticides et autres produits chimiques.

Cette audition était une nouvelle occasion de rappeler la nécessité d’améliorer l’évaluation scientifique et sa transparence ainsi que d’en éliminer les conflits d’intérêt chez les experts. La séance s’est d’ailleurs conclue sur l’accord des députés européens d’appeler l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) à une "transparence accrue" dans ses travaux. Paris demandera l'interdiction des OGM si leur danger est avéré. Le premier ministre Jean-Marc Ayrault a annoncé, jeudi 20 septembre à Dijon, que si le danger des OGM était avéré, la France "défendrait au niveau européen" leur interdiction, après une étude alarmante sur le sujet.

Paris et Bruxelles ont saisi mercredi leurs autorités sanitaires respectives après la publication d'une étude choc de chercheurs français, montrant des tumeurs grosses comme des balles de ping-pong sur des rats nourris avec un maïs OGM de la firme Monsanto, importé en Europe. Lire "Un maïs OGM de Monsanto soupçonné de toxicité" La veille, le ministre de l'agriculture, Stéphane Le Foll, a déclaré vouloir revoir les procédures d'homologation des OGM au sein de l'Union européenne.

M. Le Foll a rappelé la position de la France en faveur d'un moratoire sur son territoire de toutes les cultures d'organismes génétiquement modifiés, qui ne concerne actuellement que le maïs MON810 de Monsanto. OGM : peut-on faire une étude à long terme de toxicologie incontestable ? De nombreux comités d’experts nationaux ou européen en charge de l’évaluation des OGM ont été mobilisés pour évaluer la publication de G. -E. Séralini. Tous ont rendu des avis rapidement, en insistant sur les limites de l’expérience menée et l’ont jugée non concluante. En France, le 20 octobre, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et le Comité Économique, Éthique et Social (CEES) du Haut Conseil sur les Biotechnologies (HCB) ont souhaité qu’une étude à long terme soit menée [1].

Différents scénarios : du rien... à l’étude participative Inf’OGM a interrogé de nombreux acteurs pour voir les différents scénarios possibles. Côté entreprises, les positions sont très attentistes, et semblent, hypocritement, renvoyer la balle aux seules autorités. Les discussions avancent... sans la société civile La Commission européenne « réfléchit actuellement à la pertinence de mener une telle étude sur un OGM, sans savoir encore lequel » [6]. L'indépendance de l'expertise ne repose pas sur des "moines-chercheurs" Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marc Mortureux, directeur général de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail La controverse sur l'étude du professeur Gilles-Eric Séralini sur la toxicité des OGM a relancé le débat sur l'indépendance de l'expertise scientifique – et de ceux qui la rendent. On ne s'entend plus sur les mots et la confusion règne dans les esprits.

Qu'est-ce que l'expertise scientifique ? Qui est garant de son indépendance ? Selon quelles modalités ? Peut-on croire la parole des experts ? Dans notre "société du risque zéro", toute nouvelle expertise est immédiatement suspectée de présupposés idéologiques ou de compromission avec des lobbies. Revenons donc à l'essentiel. Pour autant, vouloir l'indépendance de l'expertise ne signifie pas sélectionner comme experts des "moines-chercheurs", des ermites coupés du monde et des préoccupations de la société dans laquelle ils vivent. OGM : une proposition de résolution pour mieux documenter les risques. OGM: après Séralini, l’Europe va mener des études à deux ans. À Bruxelles, le patron de la DG Sanco (Direction générale de la santé et de la protection des consommateurs) Ladislav Miko a annoncé discrètement la semaine dernière que la Commission Européenne essayait de réunir un budget pour mener une étude à long terme de deux ans sur les OGM.

C’est ce que révèle un article du Journal EU Food Policy en date du 17 décembre. Cette décision fait suite à l’étude controversée sur des rats conduite par le Professeur Gilles-Eric Séralini, de l’Université de Caen. Ce dernier a été entendu le 14 décembre dernier par la Commission Européenne. Pour le moment, Bruxelles n’a pas été plus précise sur le protocole de l’étude qu’elle chercherait à lancer. Il semblerait toutefois que la Commission envisage de tester un maïs différent de celui testé par le Pr Séralini, le Monsanto 810. Contrairement au NK 603, il n’est pas tolérant à un herbicide, mais sécrète son propre pesticide pour résister à ses prédateurs. Rachel MulotSciences et Avenir. Agriculture : Stéphane le Foll veut ouvrir le débat au-delà des OGM. Faut-il avoir peur des OGM? sur Shopwise.fr. "Oui, les organismes génétiquement modifiés sont des poisons". Voilà le résultat, publié en exclusivité par "Le Nouvel Observateur" et qui fait l’effet d’une bombe.

Cette étude a été menée par Gilles-Eric Séralini. Mais il se trouve que ce professeur est aussi un farouche détracteur des OGM. Comme toujours, les réactions sont très contrastées : les anti-OGM sont confortés dans leurs convictions, tandis que les pro-OGM mettent en doute la manière dont l'étude a été conduite et demandent que soit nommée une commission d'enquête sur le laboratoire dans lequel l'expérience a été faite. Qu’apporte de nouveau cette étude ? Le Dr Séralini est soutenu par un centre qui se présente comme indépendant et non-militant, mais dont l'administration comporte des personnes clairement positionnées contre les OGM. Cette étude est-elle crédible et solide ou contestable ? Alors pourquoi un tel intérêt pour elle? Cette affaire apporte la preuve de la nécessité d'une meilleure expertise des OGM. Corinne Lepage: Quand la jurisprudence de l'Aquila s'appliquera aux OGM. L'apparente polémique autour des OGM cache un sujet éminemment trivial : l'organisation de l'irresponsabilité pénale et même civile de tous les acteurs.

Ces acteurs savent que le NK603 n'aurait jamais du être autorisé compte tenu des irrégularités de procédure et surtout des anomalies déjà apparentes dans l'étude sur les rats à 90 jours. Comment donc couvrir la responsabilité de ceux qui l'ont autorisé ? En conspuant l'étude de Gilles Eric Séralini et en oubliant que la faiblesse statistique de cette étude est moindre que celle qui a servi de base à l'autorisation... ce qu'un juge ne manquerait pas de relever. Ce sont donc les mêmes ou leurs soutiens qui se chargent de critiquer l'étude de Séralini, leurs intérêts étant conjoints. Mais, la question n'est pas que pour le passé. La jurisprudence de l'Aquila devrait sonner comme un révélateur même s'il s'agit d'une jurisprudence italienne. Royal, Voynet et Lepage veulent une révision des autorisations pour l'OGM NK603. Trois anciennes ministres de l’environnement, Ségolène Royal, Dominique Voynet et Corinne Lepage, demandent dans une tribune que soient revues les études qui ont permis l’autorisation de mise sur le marché du maïs transgénique NK603 et du désherbant Round Up.

Dans une tribune à paraître lundi dans le journal gratuit 20 minutes, les trois anciennes ministres déclarent se réjouir «de la volonté exprimée par le gouvernement (...) de remettre à plat les systèmes d'évaluation des OGM et des pesticides» après la polémique née de l'étude du Pr Gilles-Eric Séralini. «En attendant que soient réalisées les nouvelles études et afin de s’assurer de la protection de la santé humaine, en l’absence de mesure de suspension du NK603 et du Round Up, nous demandons que soient revues, comme le permettent les textes communautaires et nationaux, les études qui ont permis (leur) autorisation de mise sur le marché», écrivent-elles.

Le lobby OGM persona non grata. OGM : l'abcès est crevé. OGM : Il a montré leur toxicité, il doit être exécuté. L’étude de Gilles-Eric Séralini et de son équipe de l’Université de Caen sur le maïs génétiquement modifié NK603 et l’herbicide Roundup, publiée le 19 septembre dernier dans l’excellente revue internationale Food & Chemical Toxicology1, a provoqué un tollé mondial. Il s’agit de l’étude toxicologique la plus longue et la plus complète jamais réalisée au monde sur un organisme génétiquement modifié (OGM) et un herbicide sous sa formulation commerciale : elle a été effectuée sur 200 rats (100 mâles et 100 femelles) pendant deux ans (c’est-à-dire tout au long de leur vie) avec plus de 100 paramètres analysés sur chacun d’eux.

Pour bien comprendre ce qui a conduit G.E. Suite & texte complet. Étude sur les OGM, comment Gilles-Eric Séralini a gagné la partie. OGM - Un fin stratège? Tout porte à croire qu'en publiant une étude sur le maïs OGM NK603 Gilles-Éric Séralini savait très bien ce qu'il faisait. Largement médiatisée, objet d'un plan com' savamment orchestré, l'étude du professeur Gilles-Éric Séralini, qui démontre que les rats nourris pendant deux ans avec un maïs OGM meurent plus jeunes et souffrent plus souvent de cancers, semble n'avoir eu qu'une seule finalité: relancer le débat sur les OGM et leurs conditions d'évaluation. C'est désormais chose faite. L'étude de Gilles-Éric Séralini a au moins servi à montrer la "nécessité de bouger" estimait ce matin la ministre de l'Écologie Delphine Batho après que le Haut conseil des biotechnologies ait recommandé qu'une "étude de long terme, indépendante et contradictoire soit entreprise sous l'égide des pouvoirs publics quant à la sécurité sanitaire du maïs NK603".

Lire aussi: Maïs OGM: le Haut conseil des biotechnologies réfute les conclusions de Séralini Acte 1 - Le choc des photos. Maïs OGM: les organismes sanitaires français demandent une nouvelle étude. Maïs OGM: les organismes sanitaires français demandent une nouvelle étude PARIS - Les organismes sanitaires français ont réfuté lundi les conclusions des travaux du professeur Séralini sur la toxicité d'un maïs OGM produit par Monsanto, mais ont tous les deux recommandé des études sur les effets à long terme de la consommation d'OGM. Premier à se prononcer, le Haut conseil des biotechnologies (HCB) estime que les conclusions d'effets délétères de la consommation de maïs NK603 ne sont pas soutenues par l'analyse des résultats présentés dans l'article, publié par le Pr Gilles-Eric Séralini dans la revue scientifique Food and Chemical Toxicology le 19 septembre.

Le Haut conseil, qui statue sur les risques sanitaires et environnementaux des plantes génétiquement modifiées, estime donc que cet article ne remet pas en cause les conclusions des évaluations précédentes sur cet OGM, qui avaient conclu à l'innocuité du produit. Ouverture d'esprit. Paris souhaite interdire les OGM de ses cantines scolaires. Des cantines scolaires plus saines? Le Conseil de Paris a souhaité, mardi 16 octobre, que tout aliment contenant des OGM soit exclu des menus des cantines scolaires de la Ville. Le Conseil a adopté un voeu du groupe PCF-PG demandant que la municipalité "propose à chaque caisse des écoles d'introduire une clause spécifique dans les marchés qu'elles passent avec leurs fournisseurs excluant totalement les OGM".

L'amélioration de la qualité Le texte rappelle que la composition et le choix des denrées alimentaire relèvent de la compétence exclusive de la caisse des écoles de chaque arrondissement. Par conséquent, "cet acte sera valorisé dans les conventions d'objectif ayant trait à l'amélioration de la qualité, que chaque caisse des écoles passe avec la ville", ajoute le texte. Avec. Gouvernement Français et Union Européenne : évaluez les dangers de l’herbicide #Roundup. Europe-wide ban on Monsanto GM corn imminent in wake of French study linking it to cancer. Pétition Lettre ouverte aux Ministres : OGM - Santé publique. Une autre défaîte pour Monsanto.

OGM : le Conseil régional doit renforcer son action! Propositions des élu-es EELV pour une Région sans OGM » Europe Ecologie Les Verts au Conseil régional Midi-Pyrénées. TOUS COBAYES ? Alliance internationale Terre Citoyenne : Notre éditorial. Tous cobayes ! Les effets toxiques graves d’un OGM et de l’herbicide le plus vendu au monde… OGM : vers une alerte mondiale ? OGM : crise aiguë à Bruxelles. OGM : l'Autriche emboîte le pas à la France. La Russie suspend l'importation du maïs Monsanto. Le Conseil national veut prolonger le moratoire sur les OGM. Bové : "Je demande l’interdiction des 2 OGM autorisés dans l’UE" FRANCE – Nombreuses réactions après la publication d’une étude explosive sur un maïs OGM. Paris demandera l'interdiction des OGM si leur danger est vérifié. OGM : le gouvernement prend l'étude de Séralini très au sérieux.